Référence : séduire à l’école ou au bureau
Difficulté : ** (sur 5)
Téléchargement : immédiat
Enregistré : oui
Prérequis : –
Objectifs : 1 – comprendre les différences entre un milieu dit « ouvert » avec renouvellement de têtes (grande ville, soirées, etc.) et un milieu dit « fermé » (petite ville, école, bureau) où vous côtoyez un nombre fini de personnes avec peu ou pas de renouvellement– 2 – décliner les techniques de séduction traditionnelles à ces contextes spécifiques – 3 – découvrir des tactiques inédites qui ne fonctionnent que dans ces contextes spécifiques
Durée totale : journée
Tarif : 150€ la demi-journée ou dégressif avec le nombre de séminaires commandés
Séminaires complémentaires recommandés : plus jamais d’obsession amoureuse, savoir se vendre
En séminaire, vous êtes nombreux à le savoir, nous commençons toujours par s’amuser à remarquer les récurrences que personne n’avait vu avant. Et en l’occurrence, je vais vous en donner une à laquelle vous n’aviez probablement jamais pensé : toutes les « théories » de séduction (qu’on les appelle techniques, méthodes, tactiques…) ont été conçues dans des capitales. Ou dans des (très) grandes villes.
Prenez les gurus américains, par exemple. Le « noyau dur » (Strauss et Cie) a théorisé ses concepts dans, ou aux abords de, Los-Angeles. En Europe, c’est à Londres, Dublin, Paris, Amsterdam, Zaghreb, Bucarest que résident et pratiquent les coachs et autres experts de la « drague ». Ceci est-il anodin sur l’efficacité des dites méthodes ? Bien sûr que non !
Le principe d’une capitale, sa raison d’être, c’est la taille (et donc la variété) de la population, qui font que vous pouvez sortir tous les soirs de la semaine et socialiser avec 100% des inconnu(e)s que vous croiserez sans revoir une seule de ces personnes le soir suivant. Idem le soir suivant. Et le soir suivant. Dans une mégapole, il s’écoule des semaines (des mois) avant croiser deux fois les mêmes personnes. Et parfois, ça n’arrive même jamais.
C’est dans ce contexte sociologique précis que sont nées ces méthodes, et donc dans ce contexte sociologique précis qu’elles sont efficaces. Mais dans les autres contextes, quid ?
L’école et le bureau sont 2 contextes très spécifiques…
… qui n’ont jamais été abordés sérieusement
Les scientifiques parmi vous, même amateurs, le comprendront en moins d’1 seconde : si vous changez les paramètres d’une expérimentation, vous changez aussi… les résultats ! Donc…
… Comment des techniques de séduction conçues et optimisées pour des « viviers infinis » de femmes disponibles se transposent-elles aux contextes particuliers que sont une entreprise et une école où, justement, la population n’est pas infinie du tout, et reste même identique sur plusieurs années ?
Réponse : mal. Elles se transposent, oui… mais mal :/
A fortiori si vous passez beaucoup de temps au bureau. Ou à l’école. Ou si vous habitez une ville de taille petite à moyenne. Ou si vous fréquentez souvent telle ou telle institution mixte où les gens se connaissent et se recroisent souvent (réseau d’expats, cours de danse, etc.).
Dans ces conditions, hors de question de « dégainer » dès la succession de 2 ou 3 signes d’intérêt concordants, on ne peut pas se comporter dans son cercle comme dans un vide social, au risque de se voir rapidement désinviter de tout, puis tout simplement ignoré. Bref, j’ose le mot : désocialisé.
Et pourtant, statistiquement, c’est bien plus souvent dans ces types de réseaux (scolaire et/ou professionnel) que vous aurez des opportunités de rencontre, qu’avec des êtres croisés par hasard dans la rue.
Dans un contexte où vous allez revoir la personne à un grand nombre de reprises, vos armes s’appellent :
- l’absence d’affect trop visible (ou apprendre le self control)
- la dé-corrélé des actions (ou apprendre à utiliser le temps en votre faveur)
- la stratégie (ma stratégie)
Comme d’hab : inédite. Comme d’hab : exclusive. Comme d’hab : fonctionnelle (= qui marche même si elle ne fait pas plaisir à lire ou à entendre)
Une stratégie inédite, dont nous vous dévoilons quelques principes :
Outre les réponses aux questions que vous pourrez nous poser en avance par email, ce que vous apprendrez pendant la journée :
Matinée
- Constat sociologique et explications façon gifle sur la progression des rencontres au travail et à l’école
- La réalité des rencontres à l’école, versus ce qu’on en dit (et parmi « la réalité », des élèves filles qui couchent avec le prof 25 ans plus âgé qu’elles, etc.)
- La réalité des rencontres au travail, versus ce qu’on en dit
- Comment se renseigner sur une personne avec la discrétion et l’efficacité d’un espion
- Comment conserver du mystère malgré « l’ouverture » de l’open space / de l’amphi
- Réputation-séduction 1 : savoir ce qu’on pense de vous dans votre école / entreprise
- Et bien plus d’autres conseils pragmatiques, intelligents, et qui fonctionnent…
Après-midi
- Pourquoi la pause déjeuner est une fausse bonne idée pour séduire…
- … Et pourquoi vous intéresser plus particulièrement aux temps de transport
- Réputation-séduction 2 : quelles informations personnelles laisser filtrer et lesquelles garder pour vous
- 2 méthodes de prise de contact par mail et/ou intranet
- 3 stratégies inédites de séduction « long terme », sans aucun risque d’échec frontal
- Comment cultiver la rareté tout en se croisant tous les jours
- Contourner et effacer la « peur que ça se sache »
- Et bien plus d’autres conseils pragmatiques, intelligents, et qui fonctionnent…
Témoignages sur la pertinence des analyses, méthodes et conseils Spikeseduction
Si nos témoignages sont toujours aussi bon d’année en année, c’est purement, simplement, logique :
- Nous sommes les seuls de « l’univers séduction » Internet – presse papier – radio – tv (je n’aime pas le nom « communauté »), à avoir un vrai diplôme en sciences humaines (sociologie),
- Nos analyses sont remises à plat régulièrement et updatées en fonction des grands changements sociaux qui traversent le monde depuis 10 ans (par exemple, on ne communique plus de la même façon depuis Facebook qu’avant, c’est un fait, et qu’on aime ce réseau social ou non, il faut l’intégrer à l’analyse pour avancer, cf notre séminaire 100 jours pour la rendre amoureuse),
- Nous avons donné plus de séminaires, ateliers et coachings depuis 2006 que la plupart des autres réunis, donc nous connaissons mieux vos problématiques concrètes. La preuve dans nos nombreux phone coachings mis gratuitement à votre disposition sur le site, où je devine quasiment mot pour mot les phrases, réactions et stratégies de la fille avant même que l’interlocuteur n’ait fini sa phrase.
Crédit photo : melburnian
@Jp: on attends ton article! :p
attention le « Une de perdue, dix de retrouvées » ca fonctionne a 20 ans quand le vivier de cibles est important mais plus a 30 ou 40 ans quand tout est maqué et sors plus. faudrait peut-etre aussi ecrire un article sur car ce fait est ultra important pour la suite, experience perso.
Oui, c’est plus clair comme tu dis.
C’est surtout en me mettant à la place d’un nouveau visiteur, on aurait eu tendance à se poser la question « Oui mais qu’est-ce que je vais apprendre concrètement ? ». Je ne doute pas de la présence et de la pertinence du contenu, bien évidement.
Merci @Stéphane
Done. C’est plus clair ?
@Damien : oui, évidemment.
@Léo : je mets à jour l’annonce
C’est juste différent de tous les autres séminaires que j’ai vu!
J’ai remarqué que quand le détail est énoncé, il évolue après, à cause du temps qu’il se passe entre l’annonce et l’événement.
Je fais aussi partie de ceux qui aimeraient tous les points cités dans l’annonce soient abordés, mais je ne peux pas me plaindre puisque je n’y assiste jamais physiquement pour poser les questions.
Est-ce qu’on pourra donc poser les questions avant, comme tu l’avais proposé pour le précédent?
@Léo : c’est vraiment important d’avoir le détail ligne par ligne ?
J’ai l’impression que c’est l’un des premiers séminaires dans lequel le contenu n’est pas explicitement énoncé ?
Quid du matin ? De l’après midi ?
@Estrelina : remarque très intéressante, que je complèterais ainsi : l’abordage « à tout va » n’est de toutes façons qu’une illusion. Faisable qu’un temps, puis soudain totalement inconcevable (âge, localisation), et c’est le retour au milieu que j’appelle dans l’annonce « fermé », donc où l’univers des possibles n’est constitué que d’un nombre restreint de personnes (bureau, club d’amis, etc.) Mais très bonne remarque, on en veut plus des commentaires comme le tien, argumenté et tout !
Ce cher monsieur Wang avec ses critères à dormir debout est plus dans le vrai que bon nombre d’hommes sur Terre. En effet, le « next » et le « une de perdue, dix de retrouvées » entraîne tout droit à ne pas avoir de goût en matière de femme ce qui mène à demeurer avec celles qui ont bien voulues d’eux plus que celles qu’ils ont voulu le plus.
« A moins d’arpenter les rues d’une mégapole tous les jours, du lundi au dimanche, d’oser aborder toute les personnes qui semblent (de loin) correspondre à votre secret agenda, et d’avoir des arguments en « or massif » »
Le but de la vie n’est-il pas de développer SES arguments en « or massif » en rapport avec ses goûts personnels plutôt que d’apprendre des techniques de drague et aborder partout à tout va? (Question rhétorique)
Je distribue rarement des compliments mais là j’admire la cohérence des thèmes des séminaires. Un des précédents s’appelait Survivre au salariat dont la présentation laissait deviner que vu le temps passé au travail ou plutôt entre le moment où on se lève du lit pour y aller et celui où on rentre chez soi (du travail) ajouté à celui consacré au sommeil, le nombre de possibilités était très réduit ce qui nous amenait à vivre en milieux fermés assez restreints même dans leur nombre. Ainsi, celui qui traite de la séduction en milieu fermé tombe à pic.
7 février, 13h13 : résas ouvertes, 10 places seulement à 100€, puis 110, puis 120, puis 130, etc.
Un séminaire qui tombe pile pour ma situation: nouvelle ville, nouveau job, nouveau tout.
J’attends l’ouverture!
Au risque de me répéter, l’écriture de Stéphane est toujours aussi amusante et affutée. Séminaire commandé donc, avec beaucoup de curiosité car une fois n’est pas coutume, j’ai du mal à anticiper son contenu.