Où il est question de connexion émotionnelle avec une femme et de séduction sur le long terme plutôt que de dragouille et batifolage.
Il y a des voyages dans l’espace qui sont comme des voyages dans le temps. Alors que le train entrait dans la gare de Grenoble, au terme d’un ralentissement infiniment doux, je m’apprêtais à endosser le costume d’une Diane, laissée là il y a longtemps, et m’attendant à chaque retour avec la fidélité d’un vieux chien. Je ne devais rester que peu de temps avant de repartir avec mes deux sœurs pour la maison familiale et je me pressai donc pour avoir une heure ou deux avec mon amie d’enfance, Louise.
A peine assises devant un thé fumant, nous voici en train de passer en revue l’actualité brûlante de sa vie amoureuse. Il y a d’abord celui qui est en couple mais avec qui c’est toujours assez ambigu , puis un bel interne qu’elle a ramené un soir chez elle mais avec qui il ne s’est rien passé, et aussi ce gars qu’elle embrasse souvent en soirée mais avec qui ça reste très superficiel et tant d’autres sur les derniers mois qu’elle doit me rappeler sans cesse leurs prénoms pour que je retrouve mon chemin.
A côté de ce fourmillement de rencontres et de peut-être, mes propres amours commencent à me sembler presque banals, assez conventionnels même quand, soudain, je réalise qu’en dépit des dizaines d’ « histoires » qu’elle me raconte à chaque fois, rien de concret ne se produit jamais. En fait, quand j’y pense bien, sa dernière relation remonte à plus d’un an et a duré…Attendez que je m’en souvienne…moins d’un mois ! Louise, c’est l’anti connexion émotionnelle.
Quand la multiplication des possibilités devient contre-productif ou de l’intérêt de créer une véritable connexion émotionnelle
Je ne sais pas si, comme moi, vous aimiez lire les journaux du forum mais, si c’est le cas, vous avez du remarquer le nombre incroyable de filles mentionnées dans certains. J’ai compté 8 targets en même temps pour l’un d’entre eux ! Ce qui me frappe, moi, c’est qu’il s’agit souvent des membres les moins actifs en matière de séduction (une vraie rencontre/approche tous les 6 mois).
Le diagnostic est en fait le même que pour Louise : à multiplier les situations de séduction avec tous les représentants du sexe opposé, non seulement vous devenez fainéant (« vu toutes les opportunités que j’ai, ça devrait se faire tout seul ! ») mais en plus vous perdez en crédibilité si ces personnes appartiennent au même cercle relationnel (bientôt on vous surnommera « Monsieur tout-ce-qui bouge » !).
Attention, je ne dis absolument pas de vous focaliser sur une seule fille au premier sourire de sa part car c’est ce qui conduit directement à une belle obsession amoureuse. Je vous dis que de prendre toutes les interactions un peu ambigües pour des histoires amoureuses vous fait vivre une illusion d’abondance qui neutralise toute action et tout choix et vous condamne à une procrastination sans fin. En vous occupant l’esprit d’espoirs vains, vous consumez votre énergie, votre temps et votre motivation.
Et surtout, comment voulez-vous créez une quelconque connexion émotionnelle avec une fille alors que vous vous comportez exactement pareil avec sa voisine ? Comment voulez-vous passer pour autre chose qu’un gros lourd quand vous draguez avec insistance 5 collègues de bureau en même temps ? Cela me semble complètement trivial mais manifestement c’est loin d’être évident pour tout le monde… La connexion émotionnelle n’est pas compatible avec la drague forcée.
A l’inverse, tout l’art de la séduction consiste à trouver un équilibre entre connexion émotionnelle (montrer que la personne nous plait indépendamment d’une quelconque pulsion copulatrice) et la sexualisation de la conversation (montrer qu’on est un homme en face d’une femme).
La connexion émotionnelle, c’est à la fois le plus facile et le plus difficile. L’idée, c’est de faire ressentir à l’autre sa singularité mais, souvent, avouez que c’est un peu dur ; soit parce qu’elle ne vous semble pas si particulière (explication méchante), soit parce que vous la connaissez depuis moins de 10 minutes (explication gentille). Si vous n’avez pas d’inspiration, gardez à l’esprit qu’une femme appréciera toujours d’être « vue » sous le masque social qu’elle porte.
Exemple :
« Ce que j’aime chez toi, c’est que tu donnes l’impression d’être quelqu’un de froid, presque agressif (facilement applicable en street ! Mouahaha !) alors que je sens chez toi quelque chose de très sensible, presque un excès de gentillesse. »
Ou a l’inverse :
« Tu donnes l’image d’une fille toute timide mais je suis sûr qu’en réalité tu es quelqu’un de vraiment drôle. »
Le mode on/off, vs l’exception qui devient la règle
La chose qui me frappe vraiment avec Louise, c’est qu’à plusieurs années d’intervalles, elle se laisse toujours squatter le cerveau par les mêmes mecs. Ce n’est pas très distingué comme formule mais comment, nom de Dieu, peut-elle passer l’éponge aussi facilement ? Je n’exagère pas : je vous parle de quelqu’un qui s’est remis en couple avec son amour de lycée qui l’a trahie et trompée de toutes les façons pour se faire, à nouveau, trahir et tromper de toutes les façons (aux dernières nouvelles, il traîne toujours dans son cercle d’amis…) !
Poussée par l’inaction (traduire par : « lors de mes deux premières années d’Ecole de Commerce »), j’avoue avoir aussi succombé à l’affreuse manie de « nuancer ». Résultat ? J’ai récolté deux années de total fiasco sentimental ! Pour parler comme sur Facebook, les choses ne sont pas « compliquées » mais, au contraire, très simples. Soit les deux se plaisent et c’est « ON », soit l’un des deux n’a pas vraiment d’intérêt (vous ou elle) et c’est « OFF ». Quand on commence à donner des excuses ou à inventer des subtilités incroyables pour expliquer des choses simples, on se voile la face, c’est tout.
L’exception ne confirme absolument pas la règle (la citation latine est, d’ailleurs, très mal traduite) et non seulement vous offrez votre postérieur à une belle fessée mais en plus vous jetez votre dignité aux orties en acceptant de vous faire piétiner à l’aller et au retour !
Evidemment, j’ai tenté (pas subtilement du tout comme s’imaginent bien ceux qui me connaissent) de faire valoir mon point de vue. Sa réponse :
« De toutes façons je m’ennuie alors ça m’occupe d’avoir mes petites histoires à droite à gauche et si rien ne se passe, c’est parce que je n’en ai pas envie. En résumé, c’est uniquement pour passer le temps en attendant quelqu’un pour qui je ressente réellement quelque chose.»
Que ça occupe, ça, je suis d’accord. Mais est-ce vraiment moins « ennuyeux » de se prendre la tête avec 10 gars en parallèle ? N’est-ce pas un moyen de combler un vide ? N’est-ce pas, en somme, une échappatoire à l’incapacité d’avoir par soi-même une vie intéressante ? Généralement, quand notre vie affective est notre seule préoccupation, c’est qu’on stagne. Se poser des questions sur les relations humaines, oui, bonne initiative. Analyser le moindre clignement d’œil d’une fille, non, vous n’êtes pas sur la voie de l’épanouissement !
Quant à dire que le jour où ça sera important, ça sera différent, ça, j’en doute fortement (cf. l’exemple, du lycée qui poursuit ses méfaits des années après). Pourquoi ? Parce que la dignité est un muscle que l’on forge en se respectant et s’aimant. Parce qu’il est encore plus difficile d’être dur avec celui que l’on regarde avec douceur. Parce qu’une réputation, ça reste. Parce qu’en étant comme tout le monde, on rencontre n’importe qui. Et pour tant d’autres raisons, qu’un seul article ni suffirait pas.
Conclusion
Louise n’est pas un cas désespéré, juste un exemple qui nous apprend deux choses importantes : Premièrement, au lieu de vous imaginer des liaisons amoureuses avec tout votre entourage, apprenez plutôt à créer une véritable connexion émotionnelle avec des inconnues.
Deuxièmement, avoir un interrupteur ON/OFF (ou la philosophie du next pour parler comme Stéphane) c’est facile en théorie mais beaucoup moins en pratique. Entre l’espoir de renverser la tendance et la difficulté d’admettre son échec, l’orgueil vous poussera toujours à nier la réalité. Gardez les exceptions pour les cas exceptionnels, vous vivrez plus sereins.
Diane
PS : La prochaine fois, je vous ferai tous pleurer en vous expliquant pourquoi, même le jour où vous tomberez sur du tout cuit miraculeux (= la fille canon qui est folle de vous), vous pouvez encore tout foirer en beauté. Et je vous préviens, le premier qui m’explique que « quant l’amour é sinsére tou ce fais san prise de tet », je le trouve et je le brûle. C’est méchant mais c’est amplement mérité.
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« La prochaine fois, je vous ferai tous pleurer en vous expliquant pourquoi, même le jour où vous tomberez sur du tout cuit miraculeux (= la fille canon qui est folle de vous), vous pouvez encore tout foirer en beauté. »
C’est pour quand la suite? Mon paquet de mouchoir est prêt depuis 5mois haha
« Si vous n’avez pas d’inspiration, gardez à l’esprit qu’une femme appréciera toujours d’être « vue » sous le masque social qu’elle porte. »
Je reviens sur ta phrase, Diane, qui m’a fait réfléchir une partie de l’après-midi.
Quel intérêt d’établir de la connexion avec une femme qu’on ne trouve justement pas singulière ?
C’est non seulement de la comédie mais aussi malhonnête ; une connexion c’est aussi une façon de dire à la personne qu’on ne s’intéresse pas qu’à son cul. Si en tant que mec je ne m’intéressais pas à grand chose de plus que son physique je me sentirais mal de vanter chez elle des qualités « grattées » de ce que son attitude et ses mots me dévoilent.
Autant rester sur un ton léger et sans promesse (par promesse comprendre le « tu m’intéresse assez pour que j’aie envie de te revoir après qu’on ait couché ensemble » qui est véhiculé par la connexion).
De plus, j’ai du mal à croire que du baratin du style « sous ton apparence froide, tu as l’air d’une fille sensible » puisse être honnêtement perçu comme une remarque spontanée de la part de… n’importe quelle femme pas trop cruche.
Comment faire de la connexion alors ? En faisant en sorte de connaître assez bien la personne pour que la connexion nous vienne naturellement aux lèvres et que l’on prenne doucement conscience de ce qui rend la femme qu’on a devant les yeux vraiment unique.
Comme disait un habitué du forum dont j’apprécie le journal : il n’y a de connexion que spontanée. Toute connexion calculée n’est pas une vraie connexion, juste du charabia de dragueur.
Habituellement je trouve les articles de Diane très bon. Mais là j’ai l’impression que c’est un article exutoire. J’ai personnellement un blog, et je ne mettrai jamais le nom de quelqu’un de mon entourage comme contre-exemple. J’ai vraiment eu l’impression de lire un article où Diane se défoule sur Louise.
On a beau dire que c’est pour le style, quand on lit un article pour avoir des conseils, on se sent un peu vexé de lire un article dans lequel l’auteur se défoule sur l’un(e) des ses ami(e).
Sinon, Stéphane dit dans la vidéo : entretient NOVEMBRE 2011, qu’à certains moment de sa vie, un homme ou une femme recherchera plus une relation sérieuse, où de à se forger une expérience. Cette article donne l’impression qu’il a été fait seul, sans relecture des autres auteurs. C’est désagréable de lire un conseil et son contraire.
Sinon, pour finir sur un point positif, j’ai trouver très intéressant la critique sur le fait de papillonner dans son cercle d’amis plutôt que de se bouger à aller voir des inconnus.
quant l’amour é sinsére tou ce fais san prise de tet
Article mal écrit et non abouti. Visiblement l’auteur ne maîtrise pas son sujet et n’a que très peu d’expérience dans le domaine de la séduction.
Il est dommage de trouver sur ce site des articles si médiocres alors qu’il y a 4 ans de cela leur qualité était indéniable.
« De toutes façons je m’ennuie alors ça m’occupe d’avoir mes petites histoires à droite à gauche et si rien ne se passe, c’est parce que je n’en ai pas envie.»
Ok oui, mais c’est plutôt une réponse toute faite pour masquer son inconscient qui dit le contraire. Si elle choisit un homme en fonction de ses besoins, son faire valoir qu’elle ne veut pas, elle le garde juste pour se la coller gratuit et aller voir intouchables ? Quant au cul, on dirait qu’elle n’en obtient pas tant que ça, c’est justement ça le problème. M’enfin, j’arrête de parler d’elle, je ne la connait pas.
@Ramoucho :
Tu pense qu’une fille change ses prétentions en fonction des hommes qu’elle rencontre. C’est l’inverse. Elle choisi un homme en fonction de ses besoins (qui peuvent changer au court du temps).
« qui dit qu’elle fait partie de ces 80% ? »
La réponse est dans la question (et dans l’article).
je lis les messages du forum par défaut. je m’attend à un déclic ou à des conseils lumineux (ca arrive), y a aussi le mail qui tombe dans ma messagerie, du coup je vais voir ca..
plus je lis les messages du forum, les interventions, les articles, plus je me rend compte combien les gens sont dans une solitude terrible. y compris ceux qui multiplient les sorties (et se dépêchent de venir raconter leurs virées pour se rassurer). une course folle à la rentabilité en matière de fesse, la recherche du sentiment de « se regarder vivre pleinement », comme deux êtres (l’un qui jouit, l’autre qui valide cette jouissance).
la faim sexuelle aussi, les FClose érigés en trophées. enrobés de se raffinement à la con (alors que c’est le plus primaire des instincts).
ca me glaçe le sang de voir autant de reflexions sur des choses qui devraient etre « normales », j’ai la trouille de lire le discours aseptisé que pondent des gamins de 17 ans qui planifient leurs relations avec les femmes comme un trekking.. j’ai l’impression que les gens dans ce forum sont des êtres incapables de se blesser ou d’être amoureux.
j’espère que toutes les femmes ne sont pas aussi sophistiquées que Diane, qu’il reste encore des femmes simples qui cherchent à fonder une famille, avoir des gosses et s’occuper de leurs maris. j’espère qu’il me reste encore une chance (à 32 ans) de trouver le véritable amour, inconditionnelle, vrai et pas aussi dégoulinant de stratégies à la noix.
LeMarquis, qui dit qu’elle fait partie de ces 80% ? :) Tu n’irais pas un peu vite, en oubliant les autres possibilités ? confiance en soi, adéquation entre les mecs qui la veulent comme plan cul/relation, ou critères de choix ?
Pour moi, l’exemple de Louise montre le fait que faute de princesse ou de prince charmant arrivant (du fait de notre sélection de plus en plus haute), nombre d’entre nous ratissent dans leur friend zone, si bien que celle ci n’a plus de limites précises. A force d’hésiter pour tel ou tel côté de la barrière, ça fait des histoires foireuses.
J’aime cet article car c’est écrit par une femme, donc toujours à coté de la plaque sur la conclusion.
Résumons : Louise, un cas d’école, comme 80% des filles de moins de 30 ans cherche du fun (donc du cul). Dans son armée de prétendants, étrangement aucun ne cherche à avoir une histoire sérieuse / connexion avec elle (tu m’étonne qu’avec autant de plans cul presque aucun mec sérieux n’en veuille).
En vérité elle ment, elle doit avoir un « faire-valoir » ou deux qui lui fait la court et lui propose des sorties sympa.
Seulement voilà, elle n’en veut pas et invente une excuse bidon.
La vrai morale de l’histoire :
Les mecs décomplexés « sans prise de tête » lui montent dessus.
Ceux qui tentent de créer de la connexion lui payent à boire et dorment sur la béquille.
Un bel article. La seule personne à (encore) écrire bien sur ce site.
S’il n’y avait qu’une seule chose à retenir de cet excellent site, c’est le désormais célèbre « privilégier la qualité sur la quantité », que cet article décline encore sous un autre jour avec succès !
» Est-ce vraiment moins « ennuyeux » de se prendre la tête avec 10 gars en parallèle ? N’est-ce pas un moyen de combler un vide ? N’est-ce pas, en somme, une échappatoire à l’incapacité d’avoir par soi-même une vie intéressante ? »
-> Je trouve l’analyse pertinente et je l’ai constaté moi même. L’expression que tu as utilisée « se prendre la tête » m’a fait pensé à certaines personnes du site permettant aux filles d’adopter un mec : en parcourant les profils, je me suis rendu compte qu’ils étaient de 2 types différents : celles (et ceux bien-sûr) qui n’ont pas de vie très intéressante, et celles et ceux qui n’ont aucun vide à combler. Chez les premiers, on retrouve toujours exactement les mêmes ingrédients : le « je ne me prends pas la tête », « j’attends du respect », des photos prises à bout de bras, et non par quelqu’un d’autre, la mention « j’aime les soirées entre amis », pas de loisir particulier, et enfin « plan cul s’abstenir » en majuscules. Chez les seconds, chaque profil est plus ou moins unique, avec la description d’une vraie personnalité. Louise n’est peut être pas comme les premiers, mais les personnes en général que tu as décrites en font partie : s’inscrire représente pour elles une nouvelle chance de tomber sur l’exception qui sera enfin autre chose qu’une pseudo histoire ou un plan cul.
Captain Obvious strikes again!
Diane, j’ai beaucoup aimé ton article, même si je ne me sens pas trop concerné par ce problème. On en apprend tous les jours, c’est bon à savoir.
PS: petite critique (je déteste en faire !!!) je trouve que la qualité littéraire des articles de l’ensemble des rédacteurs ont un défaut commun : le superflu stylistique :s
Votre syntaxe est claire, les articles ont une bonne architecture mais j’ai l’impression que les superflus stylistiques deviennent monnaie courante. Un petit effort et on atteint la perfection.
De la branlette intellectuelle pratiqué par des doights fée, j’en presque jouï a te lire,c’est du boulot de professionelle ça, Diane, qu’est ce que tu fous encore sur un blog ?
A te lire on a l’impression d’avoir a faire a une fille torturé aigri qui en sentimentalement bavé, mais je suis sur que t’es hyper sympas et joviale en vrai !!!
Dans la famille des effets pernicieux de l’entourage…
Une gifle de lucidité.
Excellent article.
Merci Diane, continue !
Diane tu gates :)
Comme je le disais récemment :
« Tant que tu vis ce genre d’histoire, tu te rends indisponible pour quelque chose d’entier »
En éparpillant son capital de connexion sur un grand nombre de gens on n’achète rien nulle part, et on trompe notre cortex en lui donnant l’illusion d’une vie sentimentale pleine.
Un article écrit en toute légèreté, je suis vraiment fan de vos article Diane. C’est toujours intéressant d’avoir l’avis d’une femme surtout si, en plus, l’article est très pertinent. Je pense que si un jour j’ai l’occasion de vous parler, j’apprends des choses, et je passerai un moment aussi agréable que de vous lire.
J’ai pas trouvé le bouton « j’aime beaucoup » …
Tu es très forte, Diane, tu as mis le doigt sur les deux problèmes actuels de ma vie affective actuelle : Garder son ex dans un coin de la tête, et papillonner autour de toutes les fleurs que je connais.
Pour les fleurs, j’ai passé un bon coup de tondeuse il y a 2 semaines je les ai toutes laissées tomber d’un coup.
Pour l’ex c’est devenu un peu plus compliqué avec le sevrage brutal de toute la prairie… Mais j’ai un concours à passer en juin, et je verrai après.
D’ici là, soit elle aura réglé ses problèmes et ce sera plus simple, soit je l’aurai sorti de ma tête, et ce sera plus simple également.
Merci en tout cas pour cet article de grande qualité, j’avoue avoir à chaque fois un grand plaisir à te lire, et un peu mal à la fois… Comme un parfum de cuir et de menottes !
J’attends ton prochain article avec impatience.
Un article exceptionnel avec de très belles perles.
Merci.
Très bon article
Il est bon d’avoir des sites où certaines réalités sociales sont verbalisées. Ca rajoute de bons outils dans la machine de conceptualisation de la réalité (le cerveau…). Alors merci :)
Encore une fois un article d’une grande qualité.
On croirait lire Stephane à certains moments ;p
Merci à toi, en espérant lire bientôt cet article qui me fera pleurer comme une madeleine.
Et merci pour m’avoir fait découvrir le vrais sens de la maxime sur l’exception :
http://fr.wiktionary.org/wiki/exception_qui_confirme_la_r%C3%A8gle