Cher Stéphane,
Je suis remonté dans mes archives pour trouver le premier mail que j’ai pu t’écrire, un certain 26 janvier 2010, et à l’époque j’avais déjà mis sans doute quelques années pour t’écrire.
Je voudrais te remercier de toute l’aide que tu m’as apporté (forum tout d’abord, site, podcasts, séminaires…)
Je voudrais te remercier de m’avoir aidé à devenir l’homme que je suis aujourd’hui et plus particulièrement avec les femmes.
Aujourd’hui tu es attaqué de toute part par des femmes (le plus souvent) mais aussi des hommes qui ne savent pas ce que des hommes comme moi on vécu et ressenti avant de tomber sur ton site.
Loin de moi l’idée d’être à 100% d’accord avec toi, mais heureusement que nous ne sommes pas tous d’accord entre nous, mais cela ne mérite pas le déchainement de bave que tu subis.
Ta verve et tes claques de réalismes sont loin d’être de la méchanceté, mais juste un moyen de nous confronter à la réalité. Mais certaines personnes qui démarrent au quart de tour ne prennent pas le recul suffisant pour s’apercevoir de leurs erreurs. Enfin cela tu le sais déjà.
Merci de m’avoir permis de rencontrer ma femme et de m’avoir permis de la choisir en tout état de conscience à l’époque (femme enfant qui souffle le chaud et le froid). Aujourd’hui nous venons de fêter 3 ans de mariage.
Merci pour ta claque de réalisme lors de ton atelier dream Job et de cette phrase pour moi dont je me souviens encore aujourd’hui :
« Tu as toujours besoin de la validation de quelqu’un d’autre »
Criant de vérité en ce qui me concerne, et qui m’a encore plus poussé vers une introspection personnelle.
Merci de ne jamais t’arrêter, et surtout de ne rien lâcher.
Et comme je sais que tu es fan de belles citations je finirais par la plus importante que j’ai pu retenir qui est sans doute un mix :
« Avant d’être heureux à deux soit heureux seul et construit les piliers de ta vie, rien ou presque n’est irréversible »
Clément
PS : ma femme t’adore à l’émission ;)
PS 2 : J’espère avoir la chance un jour de pouvoir faire un relooking avec toi
Page suivante, témoignage d’Adam : « tu n’es pas un coach«
- Osez aborder les gens qui vous intéressent
- Consolidez les relations et épanouissez-vous en couple
- Décodez la psychologie féminine comme un livre ouvert
- Gagnez en intelligence sociale et en aisance relationnelle
- Agrandissez votre réseau
- Découvrez les petits secrets des hommes séduisants
- Terrassez la timidité à grands coups de poings dans la g.
@Lea sujet ters interessant
les blacks et metis pourquoi vous etes racistes entre vous ? comment vous pouvez accusez les blancs d’etre racistes si vous etes racistes entre vous ?
ou alors reconnaissons que le racisme est qq chose de naturel , qui existe meme chez les animaux et d’ordre genetique.
Certaines femmes blacks comme lea veulent pas des mecs blacks et idem pour les hommes qui preferent draguer les blanches plutot que les femmes noires meme dans des milieux mixtes.
stephane tu pourrais pas faire un artcile sur ce sujet tabou (et delicat il est vrai) en France mais qui m’interesse au plus haut point ? rien sur les sites de seduction !
Bonjour,
Je suis enchantée et honorée que vous ayez lu mon commentaire, j’ai vu qu’il était sur votre page Facebook par contre j’ai aussi lu quelques commentaires qui me poussent à vous écrire ce deuxième commentaire pour préciser quelques points:
– premièrement je ne suis pas sexuellement attirée par vous. Je vous trouve très beau mais je n’ai jamais été attirée par les hommes noirs ou métisses. Je suis noire donc ça peut paraître étrange mais c’est en lien avec l’éducation de ma mère (elle avait une vraie défiance vis-à-vis des hommes noirs qu’elle ne jugeait pas fiables à cause de mon père qui l’avait « abandonné »… Et cette défiance est restée empreinte en moi) et puis j’aime les mélanges et les histoires compliquées voire quasi impossibles du coup je suis plutôt attirée par la différence (les hommes juifs (et la culture juive) en particulier … Ça doit être une histoire de camembert (sourire) mais aussi en lien avec des notions d’injustice et de famille unie). Bref tout ça pour dire que contrairement aux commentaires d’un type de Facebook je ne vous drague pas. (En écrivant ces mots, et à cause/grâce à vous, je me demande si je suis attirée par eux à cause de la tendance vénale des femmes… Si c’est le cas c’est pathétique et tellement cliché que je me déçois profondément…en même temps je me rassure en me disant que si j’ai bien fait votre test je suis H52-F48 donc peut être pas si vénale)
– deuxièmement il s’agissait d’un commentaire de remerciement et de soutien et pas d’intérêt (l’altruisme ultime n’existe pas ok mais l’empathie si. En vous écoutant j’ai entendu que vous étiez passionné et hyper compétent du coup j’avais juste envie de vous dire Merci!, sincèrement et simplement, parce qu’étant professionnellement aussi passionée, à l’écoute et compétente que vous je sais à quel point ça coûte d’être comme ça). Je vous trouve drôle et j’adorerais être votre amie, vous comprendre (particulièrement comprendre pourquoi vous ne voulez pas avoir d’enfants) mais je ne pense pas avoir besoin de vous activement en temps que coach et je sais qu’on ne doit pas devenir ami avec ses patients/clients. En vous écoutant gratuitement, je cherche à comprendre comment les hommes (et les femmes) fonctionnent pour aller sainement, lorsque je me sentirai prête, vers la bonne personne en étant plus femme que femme-enfant et si un jour j’avais besoin d’un phonecoaching (consult Skype) je changerai d’avis et je vous contacterai et paierai. Je bosse en libéral, je paie beaucoup d’impôts et même si je suis la première à m’arnaquer toute seule en passant beaucoup de temps avec mes patient(e)s sans faire de dépassements d’honoraires, j’ai conscience que tout travail mérite salaire et puis je vous ai dit que j’ai fait une analyse donc je sais l’importance que l’acte de payer à pour que la démarche soit efficiente.
– et enfin je trouve ça triste que des gens jugent mon commentaire sans me connaître mais je pense que les femmes-enfants qu’ils ont rencontré leurs ont fait énormément de mal et que je ne dois pas prendre leurs remarques pour moi. Mais même si je ne suis « rien » pour vous, vous êtes quelqu’un d’important pour moi maintenant… Au même titre qu’un grand réalisateur ou écrivain qui grâce à son art m’aide à m’interroger. Et étant donné que vous êtes accessible je tenais à vous expliquer « la conclusion » de mon analyse pour que vous ne soyez pas influencé par les propos des gens sur Facebook (et peut être parce que j’ai l’outrecuidance de vouloir vous apprendre quelque chose, … je suis ambitieuse-prétentieuse… plus sérieusement je ne suis pas certaine de vous apprendre quelque chose mais je tente, si ça vous fait réfléchir à quelque chose qui vous aide à affirmer ou développer une théorie je serai trop contente d’avoir rendu un peu à quelqu’un qui m’a donné beaucoup).
Donc mes antécédents familiaux « lourds » sont une mère schizophrène et un père absent depuis mes 3ans (j’en ai 34 maintenant donc j’ai relativisé et repris contact avec lui… étant donné la mère que j’ai je peux comprendre son absence (sans l’excuser)) donc beaucoup de responsabilités à gérer tôt face à cette mère défaillante et ce père absent et quelques traumatismes mais je suis resiliente donc ça va. En quittant ce foyer à 19ans j’ai réagi (en réaction) en jouant la gamine à la recherche du père, j’avais l’envie/la soif de découvrir et comprendre les hommes (probablement de m’en venger aussi malheureusement…). Et en ce qui concerne le passage de femme-enfant à femme-femme effectivement le trop plein de dévoiement m’a aidé à comprendre qu’il y avait un problème… Mais pas à résoudre le problème. J’ai toujours cherché « à soigner » des hommes à problèmes (artistes torturés…) en tentant de résoudre leurs problèmes pour oublier les miens, je pensais qu’une fois qu’ils iraient mieux ils m’aideraient à résoudre les miens, j’ai toujours un peu fait la psychologue en fait (comme avec ma mère, avec mes amies) mais lorsqu’on va mieux on dit au revoir à son psy et je pense que c’est aussi pour ça que les hommes me quittaient. Et pour conclure mon analyse m’a permis de comprendre que j’ai toujours cherché à partager beaucoup de plaisir sexuel avec les hommes (je n’ai jamais été aussi heureuse que dans l’excès et la débauche… Les fuckfriend s’étaient vraiment très sympa même si avec le temps et l’attachement je lâchais de moins en moins prise) mais étrangement lorsque j’étais amoureuse je ressentais (et probablement donnais) beaucoup moins de plaisir sexuel, peut être à cause de l’enjeux… l’intérêt… (En vous écoutant je découvre que je devais cerner inconsciemment le conflit entre protection et sexualité et étant amoureuse je devais avoir peur de les perdre si je lâchais trop prise… Je vais continuer à vous écouter pour mieux comprendre tout ça). Tout ce que je sais c’est que malgré une vie sentimentale nourrie je n’ai quasiment jamais atteint l’orgasme, le saint-graal (sourire). Et je ne pense pouvoir l’atteindre que lorsque je quitterai la scène de l’enfance, chemin que je dois affronter seule mais qui se clôturera accompagnée (j’espère). Je pense que pour les femmes resilientes qui sont capables d’intellectualiser les choses et qui sont honnêtes avec elles mêmes, l’orgasme n’est pas si simple à atteindre, c’est quelque chose de rare. Et lorsqu’une femme-fille comme moi arrive à l’atteindre elle devient femme-femme parce qu’elles coupent réellement le cordon avec sa mère (ses parents) et par conséquent devient capable de devenir une mère « suffisamment bonne » comme dirait Winnicott. Je ne sais pas si vous pourrez me comprendre parce que c’est très psy et peut-être très singulier mais je tenais à vous le préciser. (Ex: lorsqu’une femme-enfant devient mère à l’accouchement en présence de sa propre mère plutôt que de son conjoint c’est le drama).
– Et enfin pour le commentaire sur la femme « légo » je ne connais pas encore votre théorie à ce sujet mais je vais la découvrir en vous écoutant. J’espère que je ne vais pas Encore! me prendre une claque mais si c’est en lien avec l’égo, il est vrai que j’ai un égo problematique parce que pas assez fort dans certain cas légitimes mais tout de même bien présent et peut être trop fort dans d’autres cas moins légitimes… La preuve je vous écris un roman pour me défendre face à des commentaires que j’ai trouvé injustes.
Voilà très cher. (Si ce commentaire pouvait rester entre vous et moi ce serait bien… Je suis très contente que vous ayez publié l’autre s’il vous a touché mais celui là est très personnel).