Ou la confrontation de la logique des femmes et de la logique des tribunaux pour faire, en résumé :

  1. de chaque individu de sexe masculin (fût-ce un adolescent tardif, ou un être dupé) un homme responsable de chacun de ses actes,
  2. de chaque homme soi-disant responsable, un géniteur potentiel,
  3. d’un géniteur, un père,
  4. d’un père, un débiteur,
  5. et de son ex, son créancier.

Vous apprécierez l’inamovible procureur de la République, calé sur son gros séant et dans ses certitudes, qui avec un matériel linguistique aussi faux que celui qu’est le sien, ne pourra jamais parvenir à une autre conclusion que celle qui est présentement la sienne. Car à croire que :

  • tout rapprochement d’un homme et d’une femme, fût-il sexuel et temporaire, constitue une entité couple (sic),
  • que les deux partenaires restent parfaitement froids et lucides pendant l’acte sexuel, comme pendant qu’il se feraient un sandwich au jambon,
  • et qu’une coïncidence malheureuse dans le calendrier des cycles de reproduction définit une paternité…

… on ne peut parvenir intellectuellement à aucune conclusion éthiquement juste, tout en prétendant incarner la justice.

Justice de femmes, suite

Justice servant de masque à une liturgie anti-hommes qui mériterait d’être psychanalysée, et dont on devine en points-tillés les secrètes revendications) :

  1. faire prendre la pilule aux hommes, histoire de se venger un peu,
  2. les forcer à aimer les femmes qu’ils n’ont fait que désirer (bis repetita),
  3. compenser par l’absurde une période de domination patriarcale appartenant désormais à l’histoire de la pensée.

Je vous laisse constater tout ça par vous-même.

Et pour répondre par avance à toute critique, comme je le dis dans l’épisode 4 du podcast qui vient d’être mis en ligne (en exclu 1 jour avant sur iTunes, demain sur Youtube) : on n’est jamais aussi misogyne que la réalité, et les femmes ne s’interrogent jamais autant qu’elles le devraient sur les conditions objectives de ce qui fondent leur pensée.

Si, comme disait Michel Houellebecq avant qu’il ne perde ses dents, les hommes beaux sont le plus souvent gentils (et développeront l’empathie nécessaire à former des jugements plus apaisants et conciliants que la moyenne), alors que penser des jugements d’une femme laide ?

Stéphane

Réalisé par Lorène Debaisieux

Crédit photo : scott1346


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6 commentaires

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  • Quelle horreur…

    Je désespère de plus en plus du droit.

    Ça donnerait presque envie de devenir homo, comme les grecs.

  • Les questions de mode de résidence sont assez différentes des questions de reconnaissance de paternité une fois l’enfant né.
    Cela dit, ce que l’on ne sait pas, c’est que 75% des décisions de justice sont favorables aux pères… lorsque ceux-ci réclament un mode de résidence précis. Dans la plupart des cas, ils baissent la tête comme des cons et acceptent la tyrannie du « je l’ai porté, je sais ce qui est bon pour mon enfant » et passent à la caisse. Le fait que « la plupart du temps, c’est la mère qui a la garde » cache cette réalité : Les hommes qui requièrent quelque chose l’obtiennent dans 3 cas sur 4.

  • Cruelle réalité. Mes parents se sont séparé quand j’avais un an, j’ai été élevé chez mon père qui à obtenue la garde.
    Aujourd’hui les pères qui ont la garde par la bienveillance des procureurs ne sont pas légions, serait-ce une des victoires du féminisme?
    je laisse quelqu’un de plus informé sur le sujet pour y répondre.