Chercher l’amour sur internet, est-ce vraiment une bonne idée ? Prenons le temps d’analyser ce que cela implique concrètement en termes de relations hommes-femmes. Quand on réfléchit sur les relations humaines, on finit toujours par s’apercevoir que de nombreuses dynamiques sociales qui s’opèrent au niveau individuel sont en réalité la traduction de mouvements sociétaux plus vastes qui les dépassent.

Ainsi, de grandes évolutions de la société se déclinent par un effet d’entonnoir aux plus petites échelles. Par exemple, l’introduction du « burger » sur les cartes des restaurants français (hors fast food), sont une des déclinaisons les plus visibles de la mondialisation, au centre de laquelle se trouve la culture américaine.

Deux mouvements de grand ensemble se distinguent actuellement pour caractériser les rencontres hommes-femmes en France en 2017 : l’aggravation constante des inégalités et l’extension des sites de rencontre.

Un contexte économique global qui exacerbe l’hypergamie

Quoiqu’en veuillent, disent et pensent les féminazis, hommes et Femmes ont chacun leur part d’ombre, leur dark side of the moon que le courant évolutionniste a depuis longtemps mis en évidence. Ils sont chacun la déclinaison de la même pression biologique liée à la reproduction. Cependant, tous les hommes et les femmes n’y sont pas sensibles au même degré :

  • Si les hommes sont avant tout des « animaux visuels » qui peuvent se transformer en « salauds » en quête frénétique de faveurs sexuelles,
  • les femmes ont pour elles la tendance à l’hypergamie.
chercher l'amour sur internet
Sur internet, la part d’ombre des hommes entretient celle des femmes dans un cercle vicieux

L’hypergamie veut que les femmes choisissent majoritairement des hommes de statut supérieur ou égal à elles pour se mettre en couple. De cela résulte mécaniquement un célibat important des jeunes hommes de milieu social modeste, mais aussi celui des femmes à statut social élevé*.

Il ne faut pas y voir une tendance binaire à la manière d’une couche de peinture étalée de manière uniforme sur la société. Il s’agit plutôt de touches plus ou moins marquées suivant les individus, mais qui revêt néanmoins le caractère de tendance de fond.

Depuis quarante ans, nous sommes en présence d’une aggravation des tensions économiques ainsi que des inégalités à l’échelle mondiale qui ne sauraient avoir une influence neutre sur le substrat social. L’augmentation des inégalités s’observe par l’apparition de riches toujours plus riches, dont le pouvoir prend maintenant la forme d’entreprises en mesure de rivaliser avec les plus grandes puissances. La possibilité offerte aux entreprises par le TAFTA et le CETA de poursuivre en justice des États de moins en moins souverains, et même de participer à la conception des lois sont des exemples particulièrement criants du pouvoir croissant de l’argent.

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Depuis toutes petites, les femmes rêvent d’épouser un prince. Mais sociologiquement, c’est quoi un prince aujourd’hui ?

Grâce à leur clairvoyance qui semble permise par des antennes cachées, les femmes ont parfaitement capté par intuition cette évolution de la société. L’hypergamie jouant toujours en coulisses, les femmes s’adaptent à la situation en mettant la barre plus haut face à leurs prétendants. Si je ne devais donner qu’un seul conseil à la génération future d’hommes, ce serait de bien prendre en compte cette évolution sociétale au moment de choisir vers quel style de vie se diriger et comment en organiser les piliers.

S’il était possible il y a plusieurs années de se démarquer uniquement grâce à sa personnalité et son talent, il faut maintenant déployer des ressources d’ordres différents pour séduire la femme qui vous plaît. Autrement dit, l’âge d’or du gladiateur de la rencontre, armé uniquement de sa personnalité, son courage et de son humour, commence à s’éteindre à petit feu. Ceci est valable dès l’adolescence, tranche d’âge dans laquelle le bad boy, blouson en cuir au guidon de sa moto, commence à laisser la place au prépy BCBG.

Conclusion provisoire

Les inégalités économiques sont en train de rayer la séduction de la carte des comportements socialement autorisés dans les rapports hommes-femmes. Mais ce n’est pas tout.

L’extension des sites de rencontre : le cheval de Troie d’une société dystopique

D’un autre côté, on constate que les sites de rencontre ont le vent en poupe. Depuis le début des années 2000, leur usage s’est répandu comme une traînée de poudre, si bien qu’aujourd’hui presqu’un Français sur deux reconnaît s’y être inscrit au moins une fois**. Un tel phénomène ne peut avoir une influence neutre sur les relations sentimentales. Tâchons donc d’analyser les conséquences qu’un tel recours massif peut avoir sur la rencontre hommes-femmes en France.

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Les sites de rencontre sont sans le savoir les meilleurs porte-étendards du féminisme, car les femmes y ont le pouvoir : les hommes s’y offrant gratuitement dans l’espoir (souvent vain) d’une relation sexuelle sans lendemain, c’est woman power à tous les étages.

Le succès des sites et applications de rencontre s’explique surtout parce que dans notre société, la timidité se répand pour des raisons objectives qui ont été longuement analysées par d’autres. Ce succès des sites de rencontre s’explique aussi parce que les hommes se retrouvent dans ce mode de fonctionnement poussant à la surconsommation par la marchandisation (pour tout le raisonnement, voir 3 raisons d’arrêter tinder). Ceci sans pour autant arriver à leur fin, puisqu’in fine, ce sont les femmes qui décident.

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Les sites de rencontre exacerbent un sentiment de staritude féminin. En italien, c’est le phénomène de la primadonna.

La facilité que propose la dématérialisation des rencontres incite en effet les hommes à chercher l’amour sur internet plutôt que dans la réalité : elle les incite à aborder sur internet par message des femmes à qui ils n’oseraient pas parler dans la rue.

Conséquence : une demande masculine plus importante, pour un nombre de femmes globalement constant ou tout du moins comparable. Or dans un marché où la demande augmente plus vite que l’offre, les prix montent. Les femmes s’y retrouvant sur-sollicitées, les sites de rencontre deviennent un puissant catalyseur pour l’hypergamie féminine, à l’exclusion de la classe des hyper riches, où l’on se rencontre uniquement par entregent, mais dont l’accroissement du nombre nécessitera des sites de rencontre réservés aux milliardaires.

Plus les prix sont élevés sur ce marché de la rencontre, plus les hommes ont du mal à trouver une partenaire virtuelle. Cet échec entame au final durablement la confiance en soi de l’individu, critère principal pour aborder une inconnue, ce qui lui interdira définitivement d’aborder une femme qui lui plaît dans la réalité. Il se retrouve alors condamné par la double peine d’abord virtuelle, puis réelle.

* Hervé Le Braset Benjamin Stora, Les mariages mixtes visés, Libération, 2007-10-18

** http://www.ifop.com/media/poll/3045-1-study_file.pdf

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DancingRonin

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47 commentaires

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  • Sans oublier que plus on avance dans le temps, plus la femme devient une merde de plus en plus superficielle, matérialiste, stupide, et surtout fénaiante. On remarquera très très vite que la femme en fait le strict minimum lors d’échanges virtuels et que la plupart du temps, elle vous reprochera de n’avoir aucune information ( ce qui de la part de petites merdes qui se contente de un mot ou deux par réponse est extrêmement gonflé). Donc moi j’ai arrêté la gentillesse et je les envoies méchamment péter quand ça vire au importe quoi !!

  • Ok continuons ici alors mais en plus cool merci …
    Pour la 3e fois je dis la même chose que vous tous , je sais que c’est difficile mais pas seulement pour les trentenaires .
    Seul avantage de l’époque c’est quand même assez facile de baiser , ça compense un peu la dérive affective et puis parfois au détour d’un plan sensuel on peut très bien tomber sur une perle , si si ça m’est arrivé.
    L’éphémère c’est pas mon truc à la base mais je n’ai pas le choix pour le moment , c’est soit ça ou bien soit la mante religieuse qui veut me coincer et m’étouffer , le juste milieu est très rare .
    Mon ex s’est barrée pour vivre une autre vie à force de s’être fait bourrer le mou par les médias , les copines , les feuilletons , les films , qui lui ont fait croire que célibataire et indépendante à 50 ans passés c’était le grand kiff , et bien nous en reparlerons quand elle aura goûté à quelques malabars pas toujours bien intentionnés ou qu’elle n’intéressera que quelques déprimés de passage , sauf méga chance je ne la vois pas finir sa vie avec un gentil rentier lui passant ses caprices de mémé !!
    Oui , les femmes Françaises sont devenues capricieuses voire pire et comme j’habite la côte d’uzure le terrain d’investigation est riche , très riche même mais … quelle pauvreté humaine !
    Il y a sans doute des manipulations sordides derrière tout ça et comme la plupart d’entre elles sont un peu naïves (nunuches?), elles gobent tout depuis environ 25 ans je dirais .
    On leur a fait croire qu’elles étaient supérieures alors qu’elles sont différentes , on les a mises en scène et magnifiées les rendant de fait … capricieuses .
    Dans le même temps on a cassé l’image masculine , on a forcé les hommes à se féminiser et elles ne trouvent plus de vrais de vrais parait-il , ben forcément !
    Et puis beaucoup se sont senties investies d’une mission , celle de venger Mères et Grand-mères de leurs propres Pères que parfois elles recherchent chez un homme plus mature et très masculin , comme c’est bizarre … Dichotomie ou connerie humaine ?
    Un peu comme les sales gosses qui le sont parce que les parents leur passent tout , j’ai vu le changement à ce niveau et l’enfant roi ça vient d’outre Atlantique , comme le féminisme tiens comme c’est bizarre encore une fois !
    Je n’ai trouvé me concernant que la méthode du détachement pour ne plus me cogner la tête dans les murs , il faut laisser passer cette sale époque et la nature reprendra ses droits c’est certain , soyez patients car à 30 ans justement on a beaucoup plus de temps qu’à mon âge ;-))

  • Franck
    Encore une fois je n’en ai pas spécialement aprés vous vu que vous ne semblez pas faire partie des nantis a 2K5 de retraites par mois.
    Des passions personnelles nous en avons pour beaucoup qu’elles soient le sport la ou la generation de nos parents avaient complétement délaissé leurs physiques ou la musique pour certains.

    Le divorce de masse est un héritage de votre génération, nous en subissons encore les consequences merci beaucoup au passage de bazarder l’héritage pour continuer de jouir encore un peu.

    Quant au fait d’être détaché disons qu’on fait au mieux pour d’épanouir et dans notre travail et nos passions mais ça ne semble pas suffisant et je peux t’assurer que des mecs plus que bien foutu avec un niveau social trés correct galèrent à trouver des filles françaises auxquelles s’attacher ; nous ne sommes pas frustrés et voulons justement nous en sortir par le haut.

    Si tu veux continuer a discuter autour d’une bière dans le réel je suis toujours ouvert, sinon on peut continuer ici ;)

  • Rien contre moi ? apparemment si et vous êtes déjà le 2e , c’est bien dommage car je viens juste bavarder et pas me mesurer la kékette en attaques personnelles alors que je tente juste de débattre d’une situation générale …
    La génération qui a bien profité c’est celle de mes parents faut pas confondre et je n’ai rien en patrimoine ni carrière prodigieuse , je suis déjà passé très tôt dans le presse-purée des DRH en tous poils payés pour traire les ressources … humaines et j’ai casqué toute ma vie pour élever votre génération pourrie gâtée et mis à part certains , sans grandes passions personnelles .
    Je viens juste vous expliquer qu’avec les femmes il faut être plus détachés et moins morts de faim et ça m’a pris des années à le comprendre mais ça semble toucher vos orgueils de petits coqs au point de vous rendre condescendants à mon égard en la jouant tais toi le vieux !
    Tu le cours en combien le marathon toi petit coq ? et c’est quelle génération qui a inventé le sexe jetable , le couple jetable , la consommation des relations , c’est quelle génération qui ne vit que dans le virtuel et les amitiés et les amours en carton , c’est la mienne peut-être !?
    Allez salut démerdez vous , ça m’apprendra à croire qu’on peut taper la causette simple en partageant une bière avec des frustrés  »érudits » qui font la leçon à des naïfs avec un jargon tel qu’ils penseraient donc détenir une vérité suprême et moderne …
    Pour les retraites et autres avantages , va donc causer avec la financiarisation supérieure , la caste des 1% qui a décidé de dépoiler tout le monde , faut pas se tromper de cible hein !

  • haha les bons conseils de vie de baby boomers post 68 ca me manquait…
    venir expliquer aux jeunes actifs ce qu’ils doivent penser quand eux ont détruit tous les repères: religion, nation, identité sexuelle et qui ont bénéficié du plein emploi et des années 70 ou ils ont eu la chance d’avoir une vie facile et de pouvoir pour la plupart mettre un bon paquet de capital de côté.
    Je n’ai rien contre vous particulièrement Franck mais ayez au moins de l’empathie vis a vis des jeunes qui paieront votre retraite quand vous continuerez de baiser a couille rabattues jusqu’à vos 95 ans entre voyages a l’étranger et autres cures thermales payés par les jeunes et a défaut ne venez pas nous dire comment vivre…

  • Mais quelque part je trouve qu’on dit un peu la même chose , en plus technique vous concernant il faut juste vous relire plusieurs fois , ce que vous auriez du faire me concernant pour éviter des amalgames un peu réducteurs ;-))
    Donc les hommes lachent un peu l’affaire nous sommes d’accord , c’est aussi la solution (en partant d’une conséquence) pour redevenir plus attractifs puisque moins  »toutous » à fifilles capricieuses , elles perdent du terrain et la balle revient vers le centre (ça ne sera jamais totalement équitable malgré tout).
    Mais sinon , quand j’étais ado et jusqu’à mon mariage la séduction fonctionnait mais c’était assez long et il fallait bien ramer pour inspirer confiance et comme on baisait sans capotes le risque de grossesse c’était aussi le méga-stress !!
    Alors oui le relationnel homme/femme était plus sain , plus naturel (quoiqu’il y avait déjà de belles garces) mais les nanas étaient quand même bien plus coincées qu’aujourd’hui et pas de sites de rencontres etc ..; juste les boites à jeu de dupe .
    Post 68 c’était peut-être beaucoup dans les milieux artistiques ou perchés mais pas dans la vie courante et banale et je me souviens de certains Pater à l’époque qui pistaient ceux qui arrivaient à dévergonder leurs filles , attention !! (j’ai presque vécu des convocations en duel lol ).
    Marié à 22 ans ben oui , le coup de foudre tout simplement avec une nana géniale qui m’a beaucoup appris même si je n’étais plus débutant pourtant , cqfd sur l’expérience très longue à acquérir .
    Baiser à couilles rabattues c’était au début du divorce et ça remonte à 13 ans , entre-temps re-rangé 10 ans et ça m’allait très bien , j’y serai encore si mon ex n’avait eu son retour d’envie de séduire et papillonner , c’est la vie .
    Alors aujourd’hui le projet de vie me concernant c’est de profiter des quelques fugaces années restantes , tant qu’à faire avec une seule mais bien choisie (ça on ne sait jamais vraiment , reprendre les propos de Gabin par exemple) mais pour le moment pas moyen de trouver d’autres rencontres que de l’éphémère ou alors des entretiens d’embauches dignes des pires DRH avec questionnaire en 100 points et gare s’il en manque un seul ! alors soit , je ne lutte plus et je laisse venir (et du coup ça vient pas si mal), je n’ai aucune revanche à prendre au contraire je conseille de la jouer cool sans prise de tête , quel rapport avec une maturité déficiente ? allons Monsieur voyons voyons …

  • @Franck : votre expérience est certainement subjective pour une raison de décalage de générationnel, mais je pense qu’elle l’est aussi par rapport à votre singularité : je trouve étrange que quelqu’un qui a 59 ans aujourd’hui donc qui avait 20 ans en 1977 dise que c’était « difficile » à l’époque, alors qu’on était encore dans une nonchalance soixante-huitarde (avec certes un choc pétrolier récent mais le réveil ne se fera qu’au milieu des années 80 avec la montée du féminisme et l’échange sexe contre ressources). Tout nos ainés disent que c’était plus facile à l’époque, que les femmes étaient plus généreuses et que baiser était presque un acte militant (cf. « misère du désir »).. Que vous ayez trouvé cela difficile au point de vous être rangé à 22 ans c’est assez singulier.

    L’autre point c’est votre discours, à 59 ans vous dites être encore en train de galérer entre deux jobs mal payés, être inscrit sur Meetic.. chacun est évidemment libre, mais on ne sent pas trop le projet de vie, plutôt une certaine revanche sur le temps passé, une volonté un peu destroy et un manque de maturité. il y a aussi de la contradiction dans le discours : vous dénoncez la « vulgarité des bimbos à 2 cts » mais vous admettez vouloir « baiser à couilles rabattues ».. il faudrait savoir.

    il faut se mettre à la place d’hommes trentenaires ou qui s’en approchent et qui ont réfléchit sur les dynamiques des rencontres contemporaines en occident. Ce n’est pas un hasard si 29% seulement des mecs Américains envisagent de se marier un jour, ce n’est pas une mode si beaucoup de mecs sortent du schéma traditionnel (dating, mariage) et se déclarent en grève (cf. « Men on Strike » – Hélène Smith), c’est qu’il y a bien une vague de fond, un phénomène qui rapplique (en masse) et qui va être la réaction logique à ce féminisme délirant : sortir du game ou jouer « occasionnellement », pour le fun.

    Les hommes sentent qu’ils sont perdants au change, ils le sentent car primo ils sont habitué au principe de réalité, au fait de bosser (une des raisons pour lesquelles un homme change souvent de boulot) et secundo ils sont les pourvoyeurs éternels, les payeurs « by default » du ménage : une femme qui pond un gosse puis décide de se « consacrer à sa famille » loin de l’enfer du salariat = Normal. Un homme qui essaye d’envisager de faire la même chose = Divorce certain dans l’année.. Du coup, ces hommes, en faisant leurs calculs, se sont rendus compte qu’aujourd’hui il y a un tel déséquilibre offre/demande que le cout minimum pour « jouer » devient astronomique ÉVIDEMMENT pour ceux qui n’ont pas un physique avantageux, ni notoriété, ni job « sexy » dans l’inconscient collectif.. bref, les centaines de milliers de Monsieur tout le monde qui faisait le gros des troupes des familles et qui cherchent « juste » un partenaire pour se caser se retrouvent sur la touche parce qu’on exige d’eux les mêmes ressources qu’un courtier, parce que leurs gueules ne reviennent pas trop aux femmes trop habituées qu’elles sont aux bellâtres de Tinder (« logique » du « j’ai eu mieux = je vaux mieux »).

    Dans ce cas, deux possibilités s’offrent à nous : soit plonger dans ce marécage, lutter et ramer avec (contre) les autres en se lançant dans de multiples chantiers de développement personnel (améliorer sa voix, sa posture, s’habiller de telle ou telle façon, réseauter, apprendre à projeter une image particulière .. tout ces efforts (en argent et temps qui se chiffre en k-Heures) pour .. pour quoi finalement ? avoir un peu d’affection/sexe lorsqu’on est en relation libre, auquel il faut rajouter les nombreuses prises de têtes en relation longue.

    Tout cela existait auparavant, il n’est pas question de ne plus assumer son rôle d’homme.. mais en face, il y avait des femmes de qualités. Le « marché » était simple : l’homme épousait une jeune femme féminine et adroite, il profitait de sa jeunesse, sa fertilité et une exclusivité sexuelle. En échange, il la protégeait et veillait sur elle pendant les années ou son corps devenait moins attrayant, ou elle perdait sa valeur. Par la meme occasion elle lui assurait une descendance fiable. Cet accord implicite était équitable (sinon il aurait été remplacé par la sélection au fil des millénaires). Aujourd’hui les femmes veulent gagner sur tout les cotés : vivre la débauche au pas de charge pendant leur état de grace (si j’ose dire) puis se prendre un époux fidèle et plein de ressources au tournant de la trentaine (bien poussée). Elle gagne sur les deux tableaux. Les hommes ne veulent plus de ce système.

    « Baiser » est certainement une géniale liberté pour ceux qui ont une gueule, des ressources; c’est fun, mais pour les autres, le cout aujourd’hui dépasse largement les bénéfices. Un peu comme le cout d’extraction du pétrole : même le baril valait 1 million d’€ personne n’irait le chercher si le cout d’extraction est d’1.5 million.

    Ceux qui ont réfléchit donc à ce phénomène (la majorité est encore sous l’illusion de Tinder.. à mon avis c’est la raison pour laquelle il est devenu payant : ils essayent de presser le jus avant que le fruit ne se dessèche par lui même) ont décidé de « zapper » cette période de « free sex » ou de la dé-prioriser de leurs vie (priorité 5 ou 6 derrière les amis, la famille, la santé, les hobbies/voyages et évidemment, certainement, le travail/carrière/projet de vie)..

    Bonne nouvelle : développer sa carrière, sa vie, permet d’avoir les femmes qu’on désire et qui sont compatibles avec ladite vie, d’autant plus qu’on n’en a pas trop besoin (absence du coté needy). On découvre qu’il est possible de « bander » sur d’autres sujets, on devient plus profond, on voit la beauté, le caractère complexe dans des choses qu’on ne soupçonnait pas avant, la curiosité se développe..etc c’est une dynamique fructueuse à plusieurs niveaux.

    Je pense qu’il faut rentrer dans un nouveau paradigme, si pour devenir séduisant il fallait descendre les femmes du piédestal, désormais il s’agit de leurs faire prendre l’ascenseur et les descendre à -1 ou -2 voir au parking. Le mindset c’est de considérer les femmes comme la cerise sur le gâteau d’une vie bien remplie (oublier les niaiserie Hollywoodienne du genre « partenaire de vie », elles ne le pensent pas un instant, vous non plus), avoir des relations légères de temps en temps, et n’envisager un réel engagement que comme un contrat bien énoncé (comme un businessman) : un tableau à double entrées avec des paramètres quantifiables (age, origine familiale, valeurs morales, savoir faire, dextérité, vision du mariage, vision de la famille..).

  • Hello ,
    J’aime bien me balader ici car même à 59 balais j’en apprends encore pas mal des plus jeunes que moi c’est marrant et instructif …
    Mais en tant qu’ancien qui a connu une époque ou pour coucher avec une fille c’était encore bien pire que tout ce que vous racontez , car la différence vient de la com’ à tout va et internet qui permet de la consommation , certes pas toujours enrichissante , mais de l’action sexuelle quand même !
    Evidemment je me suis marié en rencontrant dans la vie normale (ben oui c’était la norme) à 22 ans , puis 2 enfants et 23 ans plus tard j’ai explosé ce couple au ron-ron ennuyeux et l’envie de vivre ce que j’avais oublié plus jeune … baiser à couilles rabattues ! (pas assez longtemps quoi , ben oui 22 ans et encore je n’étais pas le plus frustré ça marchait pas mal).
    Depuis 10 ans donc je me suis habitué aux rencontres meetic et ma foi ça marche pas si mal mais ma méthode est simple en fait , je suis fainéant en séduction (ma marque de fabrique depuis toujours) j’ai un physique sportif et passionné surtout donc attirant et comestible encore aujourd’hui , incredible !
    Alors ma méthode au fait ? et bien l’anti-prise de choux par excellence (et croyez moi j’ai essayé la prise de choux , au secours c’était plus moi !!!) donc je ne fais quasi rien , j’ai un profil simple avec des photos de ma vie en plein air et je laisse venir à moi celles qui apprécient mon profil .
    Il y a de tout , ça va de la jeunette de 40 ans (ben oui relatif à mon âge hein lol) à la mamy de 55 ans (ben ouais elles sont vraiment mémères au secours , pas de ma faute ) .
    En 6 mois j’ai eu exactement 10 conclusions (allo jean claude duss) et une histoire un peu plus intense (1 mois quel exploit pour une cinglée instable lol ) et bien souvent des bombes sexuelles qui désespèrent de trouver un homme un vrai , à l’ancienne quoi …
    En fait elles ne l’avoueront jamais mais elles rament ne croyez pas , enfin à leur manière car la barre est si haute qu’elles s’auto-frustrent finalement .
    Moi je me suis fait à l’idée et ça n’a pas été simple à accepter , que pas une pour l’instant n’est suffisamment stable dans sa tête pour envisager une vraie relation comme j’aimerai , comme j’avais avec mon ex qui s’est barrée pour faire la jeunette libre (54 ans mdrrr) après 10 ans de vie commune et pas mal de libertinage en plus donc pas frustrée normalement hein ? ben si finalement …
    Alors c’est super toutes vos analyses sociologiques franchement c’est intelligent et étayé mais vos hormones mâles sont plus fortes que votre volonté (inversement proportionnel à l’âge en plus) et les ptits culs vous avez pas fini de baver pour les avoir parce que franchement c’est quand même le panard de baiser merde !
    Mais ce que vous pouvez changer les gars , c’est votre perception du truc , alors ok elles sont les reines blablablas tout ça ( c’est vrai depuis la nuit des temps) mais les hommes qui ont toujours tiré leur épingle du jeu sont les plus « détachés » (en apparence ben oui) car ça les énerve beaucoup ces coquines là , un mec qui est inaccessible ça les excite , challenge one !
    Pas besoin de fric et apparences matérielles etc (ça facilite ok mais bon) je suis fauché et toujours entre 2 jobs à la con mal payés , par contre je semble peu motivé ou juste in peu , je prends beaucoup de temps (alors que bien souvent je la culbuterai tout de suite là ggnnn ) et j’écoute beaucoup les messages cachés (à peine) , je suis un roc j’aime ça et elles aussi !
    Si demain la majorité des hommes la jouaient moins pressés , plus cool et plus désirables car pas « faciles » , s’ils arrêtaient de tirer la langue comme des benêts devant des beaux nichons et des culs galbés (j’ai bien dit devant elles, ils ont le droit de bander en secret oui) et bien vous verriez une autre tendance se dessiner c’est absolument certain .
    En plus effet connexe , vous devenez clairvoyants et de plus en plus écoeurés de la grande vulgarité finalement de certaines jouant les bimbos à 2 cts et vous verrez au milieu de cette fange des filles plus discrètes qui sont des trésors de féminité naturelle , des adorables poupées à combler et comme en plus elles auront moins peur de vous puisque plus des morts de faim à la con , et bien leurs signaux et appels de phares deviendront plus visibles …
    La solution est là , revenir à des fondamentaux mais ça prendra du temps , la paix des genres est la logique naturelle de la vie , pas tout ce cirque à la con que l’on vous vend et que vous achetez pauvres de vous ! (j’ai fait pareil , j’ai été très con aussi lol)

  • @Lecter : Ton analyse se résume au mouvement MGTOW – Men Going Their Own Way, mouvement américain qui commence à faire ses premiers pas en France, avec quelques années de retard.

    Aujourd’hui en France, la mise en couple avec une femme est devenue très risquée pour un homme; selon moi, cela amène plus de problèmes que de résoudre les problèmes inhérents au célibat.

    Jusqu’à la cohabitation ou la naissance d’un enfant tu ne peux jamais savoir à qui tu as affaire, car la plupart des femmes tombent le masque et révèlent leur visage hideux que lorsque l’homme s’est « matériellement engagé » dans la relation : achat en commun, naissance d’un enfant, mariage…

    Ce visage hideux, je l’ai déjà aperçu chez mon ex-copine; un jour, j’ai eu à faire face à un moment d’énervement de sa part, et l’expression de son visage a littéralement changé en l’espace de même pas une seconde comme si elle était « possédée ».

    Ce la a même été décrit dans le livre « The Predatory Female », et cela s’appelle le « flash », le moment où la femme révèle son moi véritable.

    En réalité, la société féministe impose les femmes aux hommes : mixité scolaire, éclatement des familles avec garde exclusive confiée à la mère, sélection de profils de plus en plus féminins dans le monde du travail et surtout chez les fonctionnaires, que des femmes dans les crèches et les écoles, collège, lycée…

    En tant qu’homme, je n’ai eu que très peu d’influence masculine dans ma vie mais d’un autre côté, en tant qu’enfant unique, j’ai appris à me créer un monde intérieur et cela m’a beaucoup été reproché par les institutrices quand j’étais à l’école primaire; en fait, j’ai été pris en grippe très tôt par ces femmes détraquées.

    En France, de mon point de vue qui n’engage que moi, les femmes sont un danger car elles peuvent générer beaucoup de problèmes. Mon ex-copine était prête à faire un enfant sans me demander mon avis et à l’élever dans sa propre famille et bien sur, j’aurais du payer sans avoir d’influence ou d’autorité sur l’enfant.

    Sinon, imaginez un achat immobilier et tous les engagements pris et ensuite une rupture mais les échéances qui continuent à courir; l’homme qui doit quitter le logement, tout en continuant à payer…

    Il n’y a aucun garde-fou, aucune barrière pour juguler cette hystérie féminine; à partir de ces données, le célibat choisi me paraît être le meilleur choix.

  • Estrelinha, l’homme que j’imagine n’est pas perché dans les cimes, il descend de temps en temps des hauteurs et offre temps, intérêt et énergie aux femmes qui lui plaisent. Ce n’est donc pas un ex alcoolique qui fait un détour pour ne pas passer devant un bar.
    Sauf qu’il n’attend absolument rien de ces « nouvelles » femmes, justement, parce qu’il a assimilé la nouvelle donne (hypergamie démentielle dans un contexte de crise sociale). Il sourit de cet état des choses, il trouve que « c’est dommage », il aurait dit la même chose s’il n’y avait plus de moutarde dans son frigo ou de lait pour finir ses céréales. Les paramètres de sa vie sont suffisamment fixés et solides pour ne pas stresser pour un hypothétique « épanouissement » que lui donnerait une femme moderne.
    En bon calculateur, il a comprit que c’est un investissement trop grand pour la réalité de l’offre (chimère). Je pense que dans cet état d’esprit que ce cache la future riposte masculine, j’appelle ça « le génie créatif de contournement », une résistance passive en quelques sorte, mais qui réclame un immense travail sur ses croyances et estime de soi.

  • @lecter: Le problème est que tu prends à chaque fois les choses dans le mauvais sens parce que ‘j’ai l’impression que tu fantasmes encore un peu trop ou plutôt que tu es encore sous le coup d’un vague à l’âme liée aux fantasmes déçus par une réalité qui serait moins haute.

    Ainsi connaître F et en prendre compte devient une abdication car (la) F(emme) telle qu’elle est moins noble et pure que dans tes hautes idées desquelles proviennent tes exigences alors que sans connaissance, l’exigence n’est rien.
    En constatant que le monde réel des relations hommes-femmes, tu tentes de revenir « dans les hauteurs » via une liberté qui passerait par le fait de n’avoir plus besoin des femmes. Or en tant qu’hétérosexuel et terrien, les femmes font partie de ton environnement et il n’y a pas de liberté possible sans maîtrise/compréhension de son environnement, sans savoir composer avec celui-ci. Se créer un monde parfait hors du réel, hors de son environnement en se cloisonnant ce n’est pas la liberté mais quelque chose ressemblant au comportement d’une personne souffrant d’une addiction.

    Défaits-toi de tes hautes idées basées plus des fausses croyances que de la connaissance et tu verras que c’est marrant le réel.

    @Clément: Ce genre de lois institue un crime dans lequel la prétendue victime est également le juge donc la différence se fera à la discrétion de celle-ci…..autant dire que le risque est énorme pour celui qui voudrait aborder « une inconnue qui lui plaît en y mettant les formes » pour un gain très faible. Encore quand ce dernier était le seul inconvénient, ça allait mais risquer la plainte et le commissariat pour si peu , c’est d’autant plus « sans moi » que la solution existe: le contenu de Stéphane via sa mise en pratique nous apprend énormément sur les relations humaines et les femmes, si tu développes ta valeur simultanément, tu peux faire partie de 20% qui sont du bon côté des choses.

    Seulement, il faut avoir conscience que l’apogée masculin n’a pas lieu au même moment que l’apogée féminin et agir en conséquence. Si dès 15 ans, tu passes ton temps à courir auprès des filles dont les 2/3 ne veulent pas de toi dans le but de se poser comme on dit entre 27 et 30 ans avec femme, maison et premier enfant , tu te cales sur le rythme féminin et séduis durant la période d’apogée des femmes donc si tu n’es pas une exception (très beau, célèbre, disposant de ressources superlatives ou le cumul de plusieurs des trois éléments), tu vas ramer et tu subiras les conséquences du déséquilibre démographique que je vois de plus en plus c’est-à-dire des couples où d’un point de physique, l’homme est beaucoup que la femme alors que l’inverse devient de plus en plus rare, c’est-à-dire que dans ce cas, la femme est gagnante sur les deux tableaux : celui des ressources avec un homme qui gagne plus qu’elle et celui plus biologique, de la beauté, des beaux gènes.

  • Le pression monte autour du harcèlement de rue. Le législateur se pose maintenant la question de créer un cadre légal :

    http://start.lesechos.fr/continuer-etudes/vie-etudiante/sur-le-web-la-sensibilisation-contre-le-harcelement-de-rue-s-organise-6822.php#xtor=CS2-11

    A votre avis, il y a combien de chances pour qu’une éventuelle loi fasse la différence entre un harceleur et un homme qui aborde une inconnue qui lui plaît en y mettant les formes ?

  • @mindstyle et Estrelinha : en lisant votre analyse cruellement véridique, je me suis demandé si la le fait d’admettre le concept de F va justement dans le sens de cette abdication : car au lieu de rester attaché à ses valeurs, être exigent (principe de réciprocité) et intolérant vis à vis de la trahison ou de la « prospection de marché » alors qu’on est sensé être en couple .. au lieu de cela donc, on décrète que ces agissements sont le fruits d’un « éternel féminin » (surtout, un éternel féminin « hot ») et que pour rester entouré de ce genre de femmes, il faut tolérer cet état constant de malaise et ce doute sur la relation (absence de « formule » de possession).

    Mais dans une période ou la plupart des hommes sont « sur la dèche », la vraie liberté n’est-elle pas de ne plus (réellement) avoir besoin des femmes ? non pas parce qu’on est en « abondance », chose qui implique de modeler sa vie pour attirer l’autre, ce qui revient à admettre implicitement, par ses actions, qu’on a un besoin profond des femmes (c’est pire que de le penser) ; mais parce qu’on est obsédé par sa propre vie, son propre accomplissement. Tracer son chemin sans attendre aucune validation féminine, signe d’intérêt, sexe. Aller vers une femme qui nous plait sans stratégie, sur le moment, proposer de se revoir et accepter le refus en souriant puis partir bien plutôt que les hordes d’affamés, parce que franchement on a d’autres choses à foutre.
    Personnellement, je suis loin de cet état d’esprit, j’y arrive quelques fois mais ca fluctue énormément, Je ne sais même pas si c’est possible de le maintenir, mais sur le papier ca a l’air franchement fun.

  • @Lecter:

    « J’ai une amie qui rentre à 100% dans ce cas de figure, elle a un job très banal, mais passe son temps à voyager (tout frais payé), Irlande, Écosse, Espagne et tout récemment Uruguay (10 jours). chaque fois l’avion est payé, ainsi que les séjours/ballades..  »

    Tu m’excuseras pour ton amie mais ça me fait penser à http://tagthesponsor.com/ ou ça https://www.seekingarrangement.com/

    « cette situation de célibat ne serait pas mauvaise s’ils avaient des aventures passagères »

    Le célibat c’est comme le chômage, c’est admis comme étant une régulation. En réalité, cela a ses mauvais côtés mais selon ce qu’on en fait, cela peut constituer un moment de remise en question salutaire.

    Toujours est-il qu’en dehors de cela, c’est que dans ce barnum des relations hommes-femmes même si pour prendre une métaphore tennistique, les femmes au XXième siècle joue sur leur surface favorite devant un public acquis à leur cause, en majorité, elles jouent beaucoup mieux leur carte et leur intérêt personnels que la majorité des hommes (je m’y inclus), il faut rendre à César ce qu’il revient à César donc savoir le reconnaître.

    Elles maximisent leur période d’apogée de potentiel de séduction en s’amusant à se donnant uniquement à « la crème de la crème » dans une certaine mesure des hommes pour acquérir les meilleures ressources possibles, ce qui fait qu’un nombre suffisamment élevé d’hommes dans la dèche devenus des « bêta » qui constituent une cour prête à lui rendre plein de petits services pour avoir un instant fugace de compagnie féminine.

    Quand elles sentent que leur apogée est terminée, elles feignent la maturité en prétendant être devenues sérieuses dans le but de réaliser leur secret agenda donc parlent mariage, maison et bébé. Pour cela, quand elles n’ont pas réussi à cranter suffisamment avec un homme de la « crème de la crème », elles se servent parmi les « bêta » qui ont le plus de ressources, des hommes qu’elle a ignoré en tant que probable partenaire sexuel depuis ses 13 ans au moins, rendus très faciles par la dèche (non pas qu’ils n’ont aucune expérience mais qu’ils rament clairement) qu’ils ont connu qu’elles abreuveront de semi-mensonges selon lesquels « elle a grandi, elle préfère un homme gentil et honnête plutôt que les connards qu’elle a eu le malheur de rencontrer et qui lui ont fait souffrir ».

    A côté de cela, la majorité des hommes sont très mauvais par ignorance. Déjà, ils n’ont vraiment pas conscience de qui ils ont face d’eux et c’est là que le travail de Stéphane est salutaire et presque d’ordre public. Cela les aurait aidé déjà à connaître la période d’apogée et de début du déclin des femmes, ce qui les auraient permis entre autres de savoir qu’ils en ont également une période d’apogée sur le marché de séduction mais quand et sous quelles conditions, elle peut se produire. Cela leur éviterait d’aller à contre-courant en « jouant » le jeu des femmes dans la temporalité des femmes.

    Du coup, au lieu de bosser sur eux (leur vie, leurs projets, leur corps), l(a majorité d)es hommes dès leur adolescence perdent leur temps à vouloir séduire des filles qui ne veulent pas d’eux pour un bon nombre d’entre elles d’où une situation de dèche dur à vivre. Ce qui les rend très facile au point d’accepter tant de compromis ou de manquement chez les critères qui comptent pour les hommes que les femmes n’acceptent jamais par rapport aux critères qui comptent pour elles.

    Au final, à part pratiquer l’enseignement de Stéphane, mieux jouer sa carte personnelle en étant beaucoup moins tolérant vis à vis des femmes et en veillant à développer sa valeur en se recentrant un peu sur soi (c’est-à-dire, ses projets, sa vie, prendre soin de son corps), j’ai du mal à concevoir une solution collective qui ne passe pas une poussée d’individualisme plus nécessaire que saine côté masculin qui s’exprimerait également dans les relations hommes-femmes même au sein du couple.

  • @lecter : J’avais déjà intuitivement compris ton analyse sur les femmes « définitivement hackées » après avoir ouvert la boîte de Pandore des rencontre en ligne.

    Néanmoins, ça révèle une mentalité féminine adepte du contrôle, le contrôle total, la sélection du partenaire via une application qui permet de faire un choix parmi des milliers de profils sans laisser de place à la rencontre inopinée,

    Tôt ou tard, ce genre de femme devient un monstre dans l’intimité.

    Sachant qu’en plus, elles continuent à entretenir le contact Facebook avec leurs ex’ de la belle époque, on peut supposer le pire; j’avais espionné le Facebook de mon ex’, et j’avais surpris un message où elle disait qu’elle irait le voir dans son pays où il s’était récemment expatrié.

    En fin de compte, les contacts virtuels lèvent les barrières sociales qui empêchent normalement la plupart des femmes d’avoir accès à certains hommes. C’est une sorte de « crack » qui génère des « bugs » dans le programme des rencontres normales.

    De toutes manières, j’abhorre cette frénésie de pianotage sur un écran de smartphone et préfère la vraie communication, celle qui n’est pas déshumanisée par cette technologie insipide.

    J’aime les moments d’incertitude, d’ambiguïté dans l’échange mais ça fait longtemps que j’ai arrêté de rêver; la femelle moderne veut un accès immédiat aux biens de consommation et aux plaisirs éphémères.

    Elle peut avoir un enfant quand elle veut, avec qui elle veut (dans une certaine limite lol) et l’élever dans les circonstances qui l’arrangent, c’est à dire, éjecter le père et élever le gosse dans SA propre famille à ELLE tout en faisant raquer le père financièrement; c’était ce plan qui était prévu pour moi avec cette cinglée (et toute sa famille était déjà dans le coup).

    Aussi, je ne sais pas comment je pourrai fonder une famille dans un pays comme la France; on ne peut pas gagner contre un système qui oppresse ainsi les hommes à la base de la pyramide.

  • @mindstyle => « Les sites de rencontre permettent à des femmes d’un milieu moyen de rencontrer des hommes de milieux auxquels elles n’ont normalement pas accès dans leur vie quotidienne. »

    J’ai une amie qui rentre à 100% dans ce cas de figure, elle a un job très banal, mais passe son temps à voyager (tout frais payé), Irlande, Écosse, Espagne et tout récemment Uruguay (10 jours). chaque fois l’avion est payé, ainsi que les séjours/ballades.. elle sort exclusivement avec des gars de Tinder. Ces mecs, il n’y a aucune chance qu’elle puisse les rencontrer en live, meme dans des soirées un peu select, ils ne l’auraient jamais remarqué (au milieu des autres belles jeunes filles..).

    @Estrelinha : cette situation de célibat ne serait pas mauvaise s’ils avaient des aventures passagères (« why buy the cow if you can get the milk ? ») seulement voilà, cette hypergamie s’immisce aussi dans les coups d’un soir dés que la fille commence à imaginer le lifestyle du mec à travers la discussion : avantage immense pour le gars qui a un job qui « permet de voyager » et au gars qui « bosse dans la finance » (bien qu’elles n’aient aucune foutue idée sur ce que ca veut dire).. tu vois littéralement les femmes s’ouvrir (via leurs body langage) à ce genre de mecs. Mais en vrai, celui qui lance sa propre startup ou un petit business dont il rêvait quand il était gosse (genre être boulanger, faire son propre pain..) c’est 10 fois plus alpha et H qu’un mec qui subit l’enfer du salariat dans un boulot aliénant (en enrichissant son patron) juste pour être entretenu.

  • Les sites de rencontre permettent à des femmes d’un milieu moyen de rencontrer des hommes de milieux auxquels elles n’ont normalement pas accès dans leur vie quotidienne.

    Mon ex’ copine a rencontré tous ses ex’ sur les sites de rencontre; j’ai été le seul qu’elle avait rencontré IRL mais le mal était déjà fait.

    Elle se complaisait dans un style de vie rythmé par les voyages en permanence, une insouciance continue, une vie au jour le jour. Mais niveau sexe, c’était toujours parfait (en apparence, car elle utilisait le sexe à outrance pour me rendre accroc à la chose et me contrôler).

    Et puis un jour, elle a fait le voyage de trop (sans moi off course) d’une durée et à une distance indécente; alors selon le bon vieil adage « oeil pour oeil, dent pour dent » je suis resté avec elle mais je me suis juré de ne jamais m’engager et d’éprouver la relation jusqu’au bout, c’est à dire, jusqu’à ce que ses envies d’engagement deviennent tellement insoutenables que la rupture serait alors la seule solution; et alors, sachant que la durée de vie d’une femme sur le marché de la rencontre est limité, je lui aurais bien fat perdre ses dernières années de « potabilité ».

    Elle a tenté, sans succès, à plusieurs reprises de précipiter le rapport sexuel sans protection pour me piéger avec un gosse, mais je me suis toujours protégé avec cette cinglée; et puis un jour, elle m’a dit de façon mi pour rire, mi sérieuse qu’elle irait jusqu’à me droguer pour avoir un rapport sexuel sans protection;

    là j’ai senti le danger venir; d’autant plus qu’elle était dans le paramédical; cette cinglée commençait à devenir dangereuse et c’est cela qui m’a donné la force de rompre.

    Il est très difficile de s’extirper de ce genre de relation; j’ai du beaucoup me documenter sur ces femmes manipulatrices pour comprendre et analyser leur fonctionnement, comprendre la phase dans laquelle elles sont; les implications que ça soulève au niveau de la société dans son ensemble; la merde dans laquelle je me serais mis si elle était tombé enceinte.

    Je me suis même tourné vers Dieu pour qu’il m’aide à m’extirper de cet enfer tellement j’était déboussolé et j’ai réussi; moi qui ai réussi à arrêter la cigarette, quitter ce genre de femme a été plus difficile.

  • @Lecter: « d’où la propagation (selon moi, exponentielle depuis 2 ans) des mecs qu’on voit un peu partout, qui sont bien physiquement, avec de bon jobs (ingénieurs) qui ont des amis et un mode de vie sain mais qui n’ont pas eu de copine depuis des mois voir années depuis leurs dernière rupture. »

    Cette situation de célibat là est-elle si mauvaise ? Ce n’est pas certain que le mec même similaire englué dans un couple avec une femme-enfant qui n’aura pas su déceler donc lui fait des caprices auxquels il cède ou encore le « bêta » qui , avant 30 ans, fait le triplé maison-mariage-enfant avec une femme qui l’a jugé désirable uniquement quand il a commencé à occuper sa profession avec les ressources utiles dans la réalisation du secret agenda qui vont avec et surtout qui s’est tourné vers lui par défautfaute de n’avoir su cranté suffisamment avec les hommes du top 10% à qui elle s’est donné plus qu’il n’aurait fallu depuis ses 18 ans voire moins, soient en meilleure posture que lui.

  • @Clément: Le problème n’est pas que je ne verrais pas en quoi l’utilisation actuelle des sites de rencontre favorise l’hypergamie, tout le monde ici donc moi également a compris. Le véritable problème est que toi, tu traites le sujet comme si ceci ci-dessous…….

     » A mes yeux, la hausse de l’hypergamie de notre siècle a eu lieu quand les différents médias (journaux, magazines, films, télévision via la télé-réalité, les réseaux sociaux comme Facebook et Instagram) et aussi les firmes de l’industrie du luxe ont institué comme benchmark à l’ensemble de la population via tous ces canaux un lifestyle de fils de famille très aisée (pas forcément multimillionnaire) fait de week-end à l’étranger à chaque pont, consommation des produits de luxe dernier cri, soirées dans les lieux les plus branchés, séjours dans de beaux hotels auxquels les jeunes se mesurent extrêmement tôt. Un lifestyle d’escort girl, cette dernière d’ailleurs est devenu une figure féminine phare puisqu’elle réunit la sexytude, le côté « je maîtrise ma sexualité » le côté subversif et l’accès à cette vie de rêve. C’est ainsi que Zahia a été glorifiée. »

    …..n’avait jamais existé au vingt-et-unième siècle. Ce qui fait que tu nous écris un discours selon lequel la hausse galopante de l’hypergamie au vingt-et-unième siècle est due au recours aux sites de rencontre alors que ce qui est responsable à hauteur de 90% de ce pic d’hypergamie au XXIème siècle c’est tout ce qui est entre guillemets. Les sites de rencontre y contribuent mais à 10% à peine et surtout en conséquence de ce phénomène entre guillemets, en surfant sur sa vague. Du coup, on a bien du mal à concevoir l’utilité de ton réquisitoire contre leur utilisation.

    Tu proposes donc comme solution de « créer une génération qui sait aborder les femmes « , ce qui un excellent savoir et rend un homme plus plaisant sauf que finalement quand on reconsidère l’existence du phénomène de ma citation, on en voit vite l’écueil puisqu’on prend en compte une nouvelle information : les femmes ont changé. Une des conséquences de cela, c’est qu’elle considère comme valable un nombre beaucoup plus petit d’hommes qu’elles le faisaient au début du XXIème siècle. C’est très bien de savoir aborder des femmes, les capacités de séduction, mais tu ne plais pas à la base, c’est râpé d’emblée ou presque….surtout que pour avoir le « matériel » pour leur plaire, il faut de plus en plus cocher des cases (ou être en puissance de la faire cocher) énumérées dans la citation qui n’ont rien à voir avec le fait de savoir aborder les femmes ou notre propre personnalité. Au moment où l’utilité marginale du fait de savoir aborder les femmes décroit de plus en plus, tu proposes comme remède principal…de réapprendre à aborder les femmes correctement. Ca a un goût un peu trop prononcé de fausse bonne idée mais surtout on perçoit que dans ta logique, les choses ne vont que dans un seul sens:

    « Les hommes (ou plutôt des cons) ont harcelé en prétendant aborder dans le réel donc les femmes sont parties sur les sites de rencontre ».
    « Les hommes sont trop timides donc se réfugient dans la « douceur » de ces sites et comme ils sont trop viandards, ils likent tout donc les femmes sont devenues très hypergames ».

    Or en prenant en compte le passage en citation, on se rend compte que comme c’est un jeu de vases communicants entre les hommes, les femmes et la société, ces chers messieurs ne peuvent être responsables de tout: Les femmes ont changé. Comme ce sont elles qui disposent, qui ont le pouvoir sexuel le plus grand et qui n’ont pas à faire le premier pas, elles ont au final bien plus la main donc les responsabilités sur le(s évolutions du) paysage de la séduction chez les hommes qui s’y adaptent péniblement en moyenne d’où les multiples balles dans le pied qu’ils s’administrent car malgré tout, ils ont quand même une part même moindre mais bien existante de responsabilité.

    Alors franchement, des solutions collectives, j’en ai du mal à trouver de plus en plus, l’épreuve principale consiste à plaire à la fille d’abord ou plutôt en amont avant de faire la différence sur la personnalité et les capacités de séduction. A titre individuel, je conseillerais de bosser sur sa valeur pour franchir l’important premier pallier tout en maîtrisant les concepts prodigués par Stéphane sur la réalité des relations hommes-femmes pour ne pas gâcher sa valeur en courant avec persévérance après les mauvais lièvres et en sachant utiliser ses avantages comparatifs pour ne pas jouer le jeu des femmes.

  • @Estrelinha : si tu ne vois pas en quoi l’utilisation actuelle des sites de rencontre favorise l’hypergamie, va dans un restaurant qui a trop de clients, tu comprendras vite

  • @Estrelinha : +1.
    je pense aussi que l’hypergamie se manifeste dans les sociétés aisées (par définition, on regarde en haut lorsque ce « haut » existe et est visible / étalé) et libertaires (si on ne peut pas se rencontrer et coucher souvent, point d’hypergamie possible). Tinder ne va être qu’un outil de mesure de sa valeur sur le marché, outil biaisé d’ailleurs car les mecs plussoient toutes les filles.. on peut dire que c’est un outil pour se rassurer et satisfaire sa part narcissique (genre « miroir mon beau miroir »).

    en gros :
    – première vague : promotion du style bling bling / libertaire (miroiter aux caissières et aux étudiantes en galère un mode de vie alternatif et facile d’accés lorsqu’on est jolie)
    – deuxième vague : rassurer sur sa valeur et créer le déséquilibre offre/demande « pour tous » (rôle du virtuel).
    – troisième vague : déculpabiliser les femmes vis à vis de ce mode de vie décadent (fifty shades de mes deux, Kim, Zahia & Cie).

    conséquence :
    – toutes les femmes sont persuadées qu’elles ont le « droit » à sortir avec les 10% des hommes, le haut du panier sans rien mettre sur la table à part le fait d’etre une femme (typiquement la génération « fières de mes rondeurs ») .
    – les mecs normaux ou qui ont des jobs qui ne tapent pas dans l’inconscient collectif féminin comme prestigieux se retrouvent en cale sèche.

    d’où la propagation (selon moi, exponentielle depuis 2 ans) des mecs qu’on voit un peu partout, qui sont bien physiquement, avec de bon jobs (ingénieurs) qui ont des amis et un mode de vie sain mais qui n’ont pas eu de copine depuis des mois voir années depuis leurs dernière rupture. le système vend ca comme un mode d’épanouissement, car ils sont « libres » de coucher chaque soir avec une fille ramené depuis un bar (marchands de rêves).

    je pense pour ma part que ce phénomène de rencontres en ligne va se terminer par lui même, il n’est pas viable car les mecs en auront marre tout simplement. les mecs peuvent vivre en dehors de la sexualité et s’investir à fond dans d’autres domaines assez prenants, ils ne vont pas « jouer » seuls éternellement à un jeu qui normalement devrait se pratiquer à deux. Cette sortie sera accéléré par la monétisation des sites de rencontres (30€ / mois sur AUM, Tinder désormais payant pour être praticable..etc).

    Si on prend exemple sur les états unis comme étant une société en avance de 15 ans (grosso modo) sur la France en matière de féminisme, on constate que labas cette sortie a déjà passé la première et en phase d’accélération : phénomène MGTOW, chute drastique du nombre de mariages et du souhait de se marier chez les jeunes (seuls 29% des jeunes hommes Américains souhaitent se marier un jour), abordage d’inconnues quasiment inexistant (réservé à une élite) . c’est un peu extrême, mais ca montre la tendance générale, la vague de fond qui annonce la fin d’un cycle.

  • @JP: La tiers-mondisation des pays occidentaux qui n’a pas eu encore lieu (seule la Grèce pourrait prétendre l’avoir connue) n’a pas rendu les filles vénales. Une tiers-mondisation ne rend pas vénale bien au contraire mais diminue l’hypergamie. Dans les pays que tu qualifies de sous-développés, si l’argent est énoncé moins hypocritement comme critère, la quantité demandée est finalement bien plus faible même relativement à leur coût de la vue que le minimum non-dit dans l’Occident actuel. Le gars qui mène sa barque même avec un métier non-prestigieux, manuel et même au SMIC de là-bas quand cela existe se marie assez facilement et est en bien moins en galère que son équivalent en Occident. Ce sont les périodes de hausse du niveau de vie qui accentuent l’hypergamie. La hausse de vénalité des filles se produit quand on promeut le lifestyle à la Nabilla ou Kim Kardashian et l’accomplissement via la société de consommation, la célébrité ainsi que le narcissisme.

    @Clément: J’ai vraiment du mal à comprendre comment on peut penser que les sites de rencontre soient responsables d’une hausse galopante de l’hypergamie. A mes yeux, la hausse de l’hypergamie de notre siècle a eu lieu quand les différents médias (journaux, magazines, films, télévision via la télé-réalité, les réseaux sociaux comme Facebook et Instagram) et aussi les firmes de l’industrie du luxe ont institué comme benchmark à l’ensemble de la population via tous ces canaux un lifestyle de fils de famille très aisée (pas forcément multimillionnaire) fait de week-end à l’étranger à chaque pont, consommation des produits de luxe dernier cri, soirées dans les lieux les plus branchés, séjours dans de beaux hotels auxquels les jeunes se mesurent extrêmement tôt. Un lifestyle d’escort girl, cette dernière d’ailleurs est devenu une figure féminine phare puisqu’elle réunit la sexytude, le côté « je maîtrise ma sexualité » le côté subversif et l’accès à cette vie de rêve. C’est ainsi que Zahia a été glorifiée.

    A côté de cela, les sites de rencontre jouent à la marge, c’est juste un outil que les filles utilisent pour satisfaire leur hypergamie mais qui n’en est pas responsable. C’est comme Facebook et Twitter qui n’étaient pas fait pour être des albums à selfies. Mais visiblement, il semblerait que ce soit plus facile de taper sur les sites de rencontre que d’oser remettre en question les femmes, peut-être par peur de passer pour un frustré ou un misogyne. Décomplexe-toi, les femmes ne sont même pas responsables de cela, ce ne sont pas elles qui ont appuyé sur les boutons des mécanismes qui ont provoqué cet état de fait.

    Par rapport à ta solution, créer des hommes qui savent aborder est une bonne chose mais la séduction ne consiste pas à ouvrir des coffres forts, les femmes ont des volontés, des goûts, des souhaits comme tout être humain. Quand bien l’homme sait aborder, s’il ne plaît pas à la femme abordée c’est presque râpé d’emblée. Dans une certaine mesure, la femme « moyenne » ne veut plus de l’homme moyen physiquement à la vie moyenne, elle préfère largement être un sixième bureau du top 10%. L’abordage de rue n’est pas mort parce que des harceleurs ont pourri le jeu mais parce que les femmes « normales » ne veulent plus des mecs qui pourraient les solliciter dans la rue car les mecs du top 10% n’abordent pas ces femmes-là. Si tu apprenais à l’harceleur type à aborder correctement, la hausse de ses résultats concrets serait lilliputienne parce que le problème venait d’abord de lui avant même ses infâmes méthodes.

    Créer un esprit de groupe masculin? Ce genre de valeurs intéressante sonne un peu trop 20ème siècle donc ce serait quasiment impossible à mettre en place dans un contexte de concurrence des mâles très accru et dans une société très individualiste mais pour le fun on peut réfléchir à des actions à mener.
    Arrêter de solliciter excessivement n’importe quelle fille sur tous les canaux possibles? C’est une bonne piste mais le souci est que bien l’egotrip des possibilités offertes par ses sollicitations et ses « likes » facebook leur semble être très important, elles peuvent facilement faire sans cf le fait qu’un grand nombre de likes sont donnés par des femmes.
    Deux actions versant plutôt dans le côté obscur de la force auraient des chances d’être efficaces :

    – Que les hommes ferment totalement la boutique à tous les services et facilités de quelque ordre que ce soit qu’ils offrent aux (belles) femmes qui ne sont pas les leurs trop souvent du simple fait de leur présence ou même pour les séduire dans le but de faire se rendre compte à nouveau aux femmes de leur utilité.

    – Que tous les hommes soient bien plus drastiques en termes de critère de sélection des femmes.

  • @mindstyle : c’est la « hoock-up culture ». personne ne parle du cout énorme de ce genre « d’épanouissements »: argent, temps, supporter les caprices des « princesses », risques de maladies chroniques et bien sur conception miraculeuse (histoires sordides de sperme récupéré dans des condoms, tests de grossesse positifs vendues sur e-bay pour 50$ par des mères enceintes pour boucler leurs faim de mois et alpaguer les idiots) .. gros investissement pour finalement pas grand chose (un peu de sexe et des prises de tête) alors qu’au final ca revient au même si on s’était tenu à la tradition (désir sublimé).
    une vraie révolution serait d’enlever

  • Des hommes soi-disant « winners » qui ont baisé des femmes rencontrées sur Internet se sont fait assigner parfois des années plus tard pour une action en recherche de paternité avec les conséquences financières qui vont avec (pension alimentaire pour un enfant qu’ils n’ont jamais vu, ni connu) et c’est parfaitement légal.

    Alors arrêtez de croire que baiser à gauche à droite est un signe de victoire dans votre vie; dans la société actuelle, c’est un piège mortel car les lois sont faites à l’avantage des femmes.

    D’ailleurs, la promiscuité sexuelle est le symptôme de la recherche du plaisir à court-terme au détriment de plus grandes gratifications à long-terme et le propre des personnes intelligentes est de différer un petit plaisir à court-terme pour de plus grandes gratifications sur le long-terme.

  • Bon il faut monter un monastère l’amour de Dieu me semble plus sur. Laissons le monde laïque péricliter.

  • @lecter et Estrelinha : créer une génération d’hommes qui savent aborder des femmes permet deux choses :

    – neutraliser l’hypergamie galopante due aux sites de rencontre. Cela ne permet pas de réduire l’hypergamie jouant à l’extrême haute de la pyramide (elle a toujours existée et existera toujours) mais d’éviter qu’elle se répande à la majorité de la population féminine comme c’est le cas actuellement, avec les conséquences annoncées dans l’article

    – créer un un esprit masculin de groupe, chose qui fait actuellement défaut aux hommes et qui est la source de leurs déboires. Ce front uni se muant en tendance lourde, serait le seul contre-pouvoir à celle voulant que les compétences  » séduction  » perdent du terrain face aux ressources matérielles.

    D’abord on circonscrit l’incendie, ensuite on éteind les flammes.

  • @estrelinha

    Oui, je crois que c’est vrai la precarisation et les difficultés soscio-economiques objectives en France, si pas la tiers-moindisation des pays occidentaux ont rendu les femmes plus venales (comme dans les pays sous-developpés , no money no honey LOL)
    est-ce que le reve des jeunes francaises n’est pas de se faire entretenir par un riche et bogoss si possible avec un retour de la relation de soumission a l’homme sous une autre forme dehuisée (50 shades of grey), et plus l’emancipation par le travail comme par le passé ( qui est de plus en plus difficile). En somme les femmes veulent le beurre et l’argent du beurre, et baiser le cremier, Et les barrieres qui existaioent dans les sociétés primitrives (morales, sociales, religieuses sans parler de la pilule) qui n’existent plus leur donnent un pouvoir sexuel insoupconnable qu’elles peuvent marchander ?
    CQFD

  • @Estrelinha : j’ajoute un élément à ton analyse : l’ancien monde, le monde des valeurs si on veut, ou il y avait un contrôle de la « circulation des femmes » (comme dirait l’autre) était plus juste, malgré son apparence liberticide, car au fond, il bridait cette hypergamie en empêchant ceux qui avaient beaucoup de ressources de s’accaparer la majorité des femmes (frein au « dark side » coté masculin) et à ces dernières, du moins celles qui étaient les plus belles, d’être volage (frein au dark side féminin). il y avait équilibre, si bien que personne ne restait célibataire au delà de 25 ans.

    Après avoir mit au les femmes au travail et ôté les lois sur les moeurs, elles se sont retrouvées avec un double pouvoir (en plus de celui d’être toujours désirées par nous) :
    1- indépendance financière
    2- liberté sexuelle

    le seul « frein » restant était celui de la réputation dont les plus volages se trouvaient affublées, frein qui sauté complétement aprés les années 80 avec la génération porno et tout récemment avec les « chroniques » télé : promotion des Nabila et du lifestyle des escorts (pour permettre enfin aux riches enfoirés de drainer de la bourgeoise BCBG de 19 ans).

    dans l’absolu nous sommes plus « libres » que la génération de nos parents ou nos grands-parents, mais cette déréglementation ce « lâcher de bœufs » (« Turn the Bull Loose » à la Reagan) n’a profité qu’à une minorité : les hommes avec un minimum de ressources (.. qui s’accroit crescendo, y comprit à l’échelle microscopique du temps d’apparition des sites de séduction) et les belles femmes. Les hommes avec une vie « normale » et des attributs physique de monsieur tout le monde sont sur YouPorn, les femmes normales ne sont pas sollicitées par les mecs qui ont le choix.. ca ne les empêchent pas de continuer à rêver d’être en relation avec eux (Tinder est là pour ca) ..

    ..sauf que le vice de Tinder est qu’il change le rapport au réel de ces femmes (enfin, je dirais qu’elles ne l’ont jamais eu) : après avoir été utilisé comme coup d’un soir par un (souvent plusieurs) de ces types, ils leurs est juste impossible de redescendre au niveau des mecs qui les veulent vraiment ou qui veulent juste se caser, retrouver un semblant de vie stable.. Dans leurs têtes, elles appartiennent à ce milieu de la haute parce qu’elles ont couché avec des types de ce milieu, sortir avec un mec normal pour elle équivaut à une régression. Elles sont définitivement hackées et dans quelques années plus bonnes à rien.

  • Un autre gros problème lié à la recherche de l’amour sur internet c’est le risque très élevé de décevoir ou d’être déçu au moment de la rencontre réelle .Dans le premier cas vous vous sentez humilié et dans le deuxième vous vous retrouvez dans une situation très inconfortable (car à moins d’être un salaud c’est jamais agréable d’infliger un râteau à une personne). Quand vous rencontrez quelqu’un directement dans un bar ou une discothèque le risque de malentendu est moins élevé .

  • @Ronin : je ne comprends pas bien un truc : tu as compris et diagnostiqué que séduire par sa personnalité, son courage et sa confiance en soi n’est plus suffisant et que cet « age d’or » est révolu et tu prônes une éducation sentimentale / comment aborder une inconnue comme l’une des solutions pour s’en sortir ?

    si tu prends un raisonnement il faut le soutenir jusqu’au bout. Nous avons tous compris cette situation d’Hypergamie. d’ailleurs, c’est la raison pourquoi les mecs ont complétement laisser tombé les approches frontales, les hommes sont toujours en réaction par rapport à l’évolution des femmes (ce sont elles qui mènent la danse car nous avons plus de désir envers elles qu’elles envers nous), timidité oui, peut etre, mais alors il faut m’expliquer pourquoi cette « timidité » n’apparait pas lorsqu’on fait une présentation au boulot ou lorsqu’on sort avec une bande de joyeux copains ou qu’on voyage solo à l’étranger. Tout les mecs qui ont essayé le terrain, l’abordage d’inconnues ont compris que c’est un chemin de croix. A part les morts de faim et ceux qui n’ont aucune estime propre, personne n’a envie d’aborder 50 filles pour avoir un numéro ou un petite signe d’intérêt. D’ou le déploiement de nouvelles stratégies.

    Pourquoi la rue avait la cote ? parce qu’il s’agissait d’un terrain neutre, ou la mixité sociale était possible et ou on ne pouvait pas jouer de ses ressources matérielles.. c’est exactement ce qui caractérise les rencontres en lignes, ce semblant de neutralité. Internet = nouvelle rue. Sauf qu’on n’est pas obligé d’y etre physiquement, on peut juste laisser le profil « bosser » pour soi (si on a un peu de physique, qu’on est blanc et qu’on sait communiquer via les photos/hobbies).. mais comme la rue, il s’agit d’une illusion.

    Le problème ce n’est pas le moyen pour arriver aux femmes, le problème c’est la mentalité féminine en occident, et malheureusement, la Française est la plus chiante de tous. Ca ne donne pas envie de déployer les efforts demandés, c’est comme le prix de certains « apparts » qui n’a plus rien à voir avec le réel. On aime déployer des efforts dans un jeu qui est plaisant, ou la difficulté augmente avec les « levels » mais pas avoir un montre-boss à chaque demi-pas.

  •  » Nous ne sommes pas en train de faire un procès de l’hypergamie, mais de montrer en quoi le fait de chercher l’amour sur internet peut nous conduire à une hypergamie débridée »

    Pour commencer, merci à l’auteur de cet article dont l’argumentaire est étayée de fort belle manière. Seulement, mon avis sur ce thème diverge du sien surtout sur la phrase mise entre guillemets car je pense qu’il se trompe de sens à mes yeux: Ce n’est pas le fait de chercher l’amour sur internet qui mène vers une hypergamie débridée mais c’est l’hypergamie débridée qui mène à chercher l’amour sur internet.

    Premièrement, sur le plan chronologique, l’hypergamie « classique » dirons-nous, s’est renforcée bien avant l’invention de Meetic du fait de la libération des moeurs, de la société de consommation qui l’exacerbe et de la percée des femmes en tant que membre à part entière du monde du travail capitaliste ainsi qu’en tant que citoyen adulte dans la loi.

    C’est cette poussée d’hypergamie qui a rendu la séduction dans le monde réel frustrante pour les femmes puisqu’elle les a considérer à trouver la majorité d’hommes qu’elles côtoient plus ou moins longuement comme des mauvais partis alors que leurs mères et leurs grands-mères auraient jugé la majorité de ces derniers comme des bons partis. Dans le monde réel, ceux que nos femmes modernes considèrent comme bon partis sont plus difficiles à saisir car la plupart d’entre eux ne sont pas présent physiquement aux mêmes endroits. Quand ils sont présents, ces bons partis ne vont pas aborder ces femmes modernes puisqu’ils ont déjà leur circuit de rencontres.

    Comme la séduction dans le monde réel est devenu pour les femmes plus hypergamiques qu’il y a 60 ans de la merde, il leur a fallu un circuit dans lequel il était beaucoup plus simple d’exprimer cette hypergamie et paf, sont apparus les sites de rencontre qui ont comblé ce besoin. Pour couronner le tout pour elles, il leur faut limiter voire interdire toute séduction dans le monde réel car cette dernière comporte le risque de faire échouer l’hypergamie en leur faisant tomber amoureuses du « gladiateur de la rencontre, armé uniquement de sa personnalité, son courage et de son humour, commence à s’éteindre à petit feu » parce qu’étant devenues plus hypergamiques et vénales, ce n’est plus suffisant. Elles veulent à de degrés divers, un homme ayant un statut social conséquent avec les ressources permettant de vivre une vie « de rêve » consistant surtout à pouvoir bien consommer et avec également de la personnalité, du courage et de l’humour mais c’est bien le statut social qui est la condition nécessaire et suffisante.

    De ce fait, il me semble inutile et pas très pertinent de taper sur l’utilisation des sites de rencontre par les hommes quand bien même ce n’est pas le moyen le plus couillu ou sexué de faire des rencontres.

    Mon pronostic est que ce « piège mortel » commence à disparaître sous nos yeux même si ceux qui sont majeurs actuellement devront encore se le coltiner (leurs enfants moins et les petits-enfants pas du tout) puisque l’origine de cette hypergamie qui est l’apparition d’une société d’abondance soutenue par la croissance économique des Trente Glorieuses avec la hausse du niveau de vie ainsi que les ascensions sociales qui vont avec représente un contexte tombé en désuétude. Les femmes ont bénéficié énormément de toutes ces croissances et inventions technologiques qui ont dopé leur mobilité qui est le catalyseur de la liberté qui est le catalyseur de l’hypergamie.

    Le problème est que notre futur pour ne pas dire déjà le présent c’est de la paupérisation, ségrégation sociale, ségrégation spatiale avec la gentryfication qui accroît l’effet tunnel, communautarisme avec les tensions communautaires qui vont avec dans le cadre d’une société plus violente. On va revenir à un ordre du social du dix-neuvième siècle avec des moeurs vont évoluer de même (sauf dans les ilots de prospérité comme d’habitude) , un ordre qui fera chuter drastiquement l’hypergamie.

  • Re,
    Oui une sportive ce serait vraiment intéressant on partagerait des activités en commun ainsi que le sens de la contraposé exposé brillamment par Stephane (no pain no gain) et j’adore les filles tres naturelles.
    Je fais plus de sport en dehors de l’armée qu’a l’armée ;) Boxe, course et muscu.
    Et la féministe je lui donne de l’urticaire et me fait rapidemment insulter de fucking cis white male ou je ne sais quel truc de frustrée ce qui d’ailleurs en dehors de leur microcosme de grandes villes ne signifie absolument rien.

  • @ Percy (et un peu contre Clément, même si j’ai bien aimé son article).

    Je jette rapidement quelques idées un peu en vrac pour Percy, c’est juste du « brainstorming », il sera assez grand pour prendre et jeter. D’abord merci à tous les trois pour ce bien bel ensemble.

    Ce n’est pas tant le « niveau de filles » qui est en jeu que celles avec qui tu peux être compatible sur du long terme, Percy.
    On l’a vu dans l’émission de M6 (que je ne cesse de conseiller). Les personnes avec qui l’on peut être compatibles sont rares. Au final, pour une relation longue avec une femme pas légo, la vraie compatibilité avec une personne qui nous plaît (au moins un peu à la base) physiquement, c’est quoi ? 1/100 ? Je relativise le physique car lorsque l’on tombe sur une personne vraiment compatible et qui nous plaît juste « comme ça » physiquement, les barrières physiques tendent à tomber et on tend à voir la personne s’embellir dans notre esprit, selon un processus opposé à la dégradation immanquable du canon qui sonne creux après quelques nuits. Comme disait Proust, « laissons les belles femmes aux hommes sans imagination ».

    Je me souviens aussi de cette phrase de Stéphane qui veut que les personnes intéressantes fréquentent les lieux qui t’intéresseront, toi. Réfléchis à des lieux, des activités susceptibles de t’intéresser où tu serais susceptibles de rencontrer cette femme compatible. Comme tu le sais sans doute, la discothèque n’est pas un bon endroit.

    Tu trouveras une femme plutôt indépendante (pour supporter ces absences), avec des valeurs plutôt conservatrices (l’Eglise est l’ami du Soldat (le Rouge et le Noir quoi) et du Marin… tu t’en fiches de l’Eglise, peut-être, mais ce n’est peut-être pas une piste à négliger… de là des relations etc.) Sportif, tu peux aussi pratiquer peut-être en dehors de l’Armée (et d’ailleurs, je t’imagine plutôt avec une femme sportive car le soldat à tendance à devenir ramollo en dehors du service, pour l’entretien, c’est bien).

    Tu peux aussi développer des relations dans ton travail, de là être amené à connaître des soeurs, des amies (naturellement, évidemment). Bref, à mon sens, tu as du boulot potentiel plus en jouant du réseau.

    Contrairement à ce que pourrait laisser croire une vision parisiano-centrée, le prestige de l’uniforme n’est pas du tout négligé par certaines femmes, car il développe des valeurs physiques et morales qui valent bien largement 5k/mois. Une femme peut être plus fière d’avoir à son bras un beau gars baraqué et protecteur en lieu et place d’un métrosexuel banquier. Evidemment, on évitera la bobo féministe aux cheveux bleus – alias Vampirella du Métro. ;-)

  • Salut Clement, je suis le phone coaché, déjà encore bravo pour ton article je l’ai trouvé trés pertinent.
    Pour clarifier ma situation je dirai que le fait d’être para implique en moyenne une Opex (etranger 4 mois) tout les 2-3 ans puisque chez les sous off on part moins et parfois un stage ou une mission ce qui veut dire 1 mois par an dehors (en moyenne).
    Apres on a pas mal d’avantages aussi, semaines de recup assez frequentes ainsi que pas mal de congés a l’année ( 45 jours ouvrés).
    De plus les Opex et missions diverses constituent un apport financier non negligeable ( en OPEX tu peux mettre 12K euros de coté sans trop forcer). D’ou le fait que je souligne le paradoxe de vouloir tout et son contraire.

  • A Ferdinand, le phone coaché de la vidéo, cela nécessiterait une analyse beaucoup plus longue, mais pour l’essentiel de ta situation et connaissant bien ton problème :

    1) L’armée est un milieu en dehors de la société, cloisonné de manière hermétique avec ses propres codes et ses propres normes qui son rarement celles de la société civile, donc tu es par nature un « dissonant »

    2) Cet écart se traduit explicitement et implicitement par tout un tas de choses que tu dégages et que les femmes perçoivent, formant un marquant social qui te dessert, c’est un handicap social

    3) Pour cette raison, une femme de ton niveau intellectuel et physique, équilibrée, n’a actuellement aucun intérêt à se mettre avec quelqu’un de certes très intéressant, mais qui est absent une bonne partie de l’année. Elle a tellement de choix qu’elle préfèrera prendre du plus sûr, ce qui est normal. Ceci est d’autant plus vrai que tu es parachutiste, une des branches de l’armée dans laquelle tout les éléments que je viens d’énoncer sont en réalité amplifiés au maximum.

    Conclusion : Tu ne trouveras pas la femme que tu cherches avec ton actuel style de vie, donc tu dois soit revoir ton style de fille à la baisse, soit tu dois changer de job. Sorry bro

  • @clement. Leniveau de vie en pologne est similaire à celui de la France dans les grandes villes et au vu de l’évolution française il y aura même un effet ciseau bientôt. Plus de femmes que d’homme ? N’est ce pas le cas à paris et new york ? Quand à ma modeste personne, je suis parisien et je passe plus de temps à paris qu’en pologne donc je me permets d’apporter un éclairage plus complet que la conclusion lapidaire de l’article.

    J’étais sur d’avoir un retour de ce type qui me rappele quelqu’un m’expliquant que les femmes russes venaient en France pour se marier et pour le niveau de vie. Je lui ai fais remarquer que toutes celles que je connaissais étaient reparti en russie et que c’étaient les cadres mariés à des russe qui demandaient en masse la naturalisation russe.

    Bref, je persiste à dire que les généralités dans ce domaine n’ont pas grand intérêt. Rappelons que Tinder était un outil de one night fuck à ses début et que l’article de Vanity Fair de 2015 interviewant des jeunes cadres à New York montrait à quel point l’app avait rendu leurs nuits infernales avec des dizaines d’opportunités par nuit. Je pense sue cela n’aurait pas déplu à certains visiteurs de ce site.

  • Rien de bien réjouissant en fait. Avec ceux qui prévoit une pyramide sociale à la 19e siècle.

  • article caricatural qui enfonce des portes ouvertes, il met en evidence qqchose qui a toujours existé, les femmes cherchant un statut social. En fait c’est meme plus vrai dans les sociétés primitives
    En France par contre , Je connais des femmes de haut statut social et tres aisées financierement, en general de la quarantaine , qui se trouvent un boy, generalement plus jeune, et juste pour le sexe, parce que c’est dur de trouver autre chose au gars en question.
    L’homme est reduit a l’objet sexuel pur, qu’on jette et qu’on meprise parfois, le physique est important mais surtout la promesse de prouesse sexuelle (jeune, metissage ethnique car les noirs en ont une plus grande lol etc)
    Je connais aussi des gars de grande valeur de la trentaine dans mon entourgae qui sont celibataires , bogoss, tres aisés financierement. cherchez l’erreur. Ces mecs interessent pas le genre de femme plus haut car elles ont deja l’aisance financiere et le statut elle-memes.

  • @Joffe : cet article parle de la France et n’a aucunement la prétention de s’étendre à l’Europe de l’Est.

    D’ailleurs ta situation est tout à fait normale : tu es un étranger venant dans un pays dont le niveau de vie est plus faible et qui présente un sérieux déséquilibre avec beaucoup plus de femmes que d’hommes, donc là-bas le marché est en ta faveur.

    Rien de neuf sous le soleil en somme

  • Quelques bémols. J’utilise tinder par manque de temps (j’ai deux sociétés) et surtout en pologne où je suis domicilié. C’est gratuit et je matche une dizaine de filles par jour. Il y a de l’écrémage mais tinder a évolué et on tombe sur des filles très bien. Je dois gérer plusieurs relations comme pour mes business mais ça me convient. Donc l’omnipotence de la femme a aussi ses limites.

    J’ai la quarantaine et je jongle entre des trentenaires et jeunes quadras. Pour les plus jeunes, c’est plus compliqué. Je ne fais pas mon âge mais même en trichant un peu (38 ans) leurs critères de recherche sont bloqué avant 35 j’imagine.

    Je précise que tinder en france n’a aucun intérêt. Les française dupliquent leur insécurité et hystérie sur tinder. Il doit y avoir un gd nombre de ‘ego satisfaction’ chez ces dernières qui ne débouchent volontairement sur rien.

    Idem en bielorussie où j’ai aller qq jours. Des femmes très belles, cadres, parlant anglais et non ce ne sont pas des escorts. Bref Tinder présente un avantage certain pour raccourcir le process et surtout permet d’apprendre à ne pas trop s’investir au départ quitte à rencontrer la bonne ensuite.