Le véganisme est le nouveau dogme de cette première moitié de XXIème siècle. Petit retour sur les contradictions de nos amis vegans. Ils posent les bonnes questions mais apportent des réponses un peu binaires. Un peu comme les féministes, vous avez dit ? Spécisme, quand tu nous tiens.
Alors vous allez me dire… tout le monde s’autorise à exprimer son opinion sur Youtube sans y être invité. Sans avoir fait preuve de la moindre expertise auparavant. Une expertise à expliquer la logique et la paralogique des hommes (et surtout des femmes), je l’ai démontré depuis 2006. Je ne vois donc pas pourquoi je serais le seul à ne pas voir le droit de m’exprimer sur ce sujet. Parce que comme paralogisme, le véganisme, ça se pose là.
Quand tu adoptes un mode de vie : sois cohérent !
Paradoxes des vegans que JE connais
- 100 % sont en fait d’anciens bouffeurs de junk food, nourriture industrielle ultra transformée, à connotation régressive. Et ils y retournent dans leurs phases carnivores
- 90 % sont citadins et ont un métier hautement improductif dans le tertiaire
- 80 % ne cuisinent pas/peu/ne savent pas cuisiner. Mais ils ont des livres de cuisine vegan plein les étagères
Puisque tu revendiques un mode de vie, sois logique ! En ce cas, si tu adoptes le véganisme, fais-le vraiment ! Si bien que, si tu le fais pour être en bonne santé, au resto, ne commande pas des légumes frits, baignant dans l’huile ! Si tu milites contre la torture des animaux, ne mange donc pas une tarte aux framboises recouverte de gélatine de porc ! Est-ce vraiment grave de manger du fromage de brebis, si on sait qu’elles sont bien traitées ? On peut avoir des convictions sans pour autant adopter un véganisme radical, sous peine de rupture si son conjoint mange de la viande !
Il n’y a aucune corrélation entre le buzz réalisé par quelques associations militantes vegan, et la volumétrie de consommateurs vegans dans la réalité. On parle plus de 5 nanas seins nus devant une boucherie en train de peindre du jambon en bleu, que de 32 « jeunes » d’origine inconnue (pour être cosmo politiquement correct) qui attaquent un bus armés de machettes et de sabres.
Avis aux coléreux !
Bon, pour la forme, et parce que nous sommes désormais officiellement dans une société communautaire et judiciarisée, où toute offense se paye cash par des sommations et des réparations, quelques précautions oratoires :
Vous m’entendrez dans cette vidéo parler alternativement de véganisme, de bio, d’éthique. Je ne confonds pas ces catégories, je fais très bien la différence. Je les mobilise à différents points de la démonstration, et de toutes façons ça renvoie pour une grande part à la même sociologie de consommateur
- Je n’ai a priori pas d’amitié ou d’inimitié particulière pour les gens sur la base de leur régime alimentaire. Cela va faire 15 jours que je n’ai pas consommé de bœuf, environ 3 semaines du poulet, j’ai juste sifflé quelques tranches de jambon bio à l’apéro ces derniers soirs
- Ma youtubeuse cuisine préférée est vegan (ainsi que l’une de mes ex les plus jolies)
- De surcroît, si je devais avoir de l’inimitié, ça ne serait pas a priori pour les vegans. Mon inimité irait/va en premier lieu à ceux dont le régime alimentaire entraîne des pathologies. Pathologies remboursées par la communauté. Je me fais défoncer d’impôt. Ça me rend fou qu’une partie aille à rembourser des anneaux gastriques à des gens qui ne peuvent pas s’empêcher de bouffer du Nutella, ou des trachéotomies à des fumeurs ! Tu as les moyens de fumer (8×365€ = 3000€/an en moyenne), tu as les moyens de payer ta trachéo) !
=> bref, ce qui va suivre est ni plus ni moins que mon avis, vous pensez absolument ce que vous voulez, ça m’en touche une sans m’en faire bouger l’autre
Un véganisme totalitariste
Contexte médiatique
Tout nouveau mouvement contestataire est fatalement confronté à une baisse tendancielle de son impact dans l’opinion (répétition, habitude, désintérêt). Certains vegans activistes semblent avoir choisi comme réponse la fuite en avant vers une radicalisation. Consommer en vegan dans la sphère privée est désormais trop tiède, trop permissif. Il faut désormais entrer en résistance : la résistance dite animaliste, résistance anti-spéciste. Comme le dit la mythique Solveig Halloin, le temps des choix individuels est révolu. Il faut imposer le véganisme à tout le monde, par la force, par le combat.
Paquetage de combat des militantes végans antispécistes
- Un champ lexical du véganisme, dont je ne suis pas certain qu’elles comprennent chaque mot : génocide systémique, désenfantement systémique, industrie du viol procréatif, gestation obligatoire, tortures eugénistes, mutilations, déportations, esclavage, les animaux seraient dans des « camps », la mort éthique serait un viol avec empathie, etc. etc.
- Un modus operandi en deux temps :
a- négation des constantes anthropologiques (si les sociétés durablement végétariennes sont anecdotiques à l’échelle mondiale, ce n’est pas un passage sur BFMTV qui va inverser le fondement biologique de l’humanité)
b- tentative de réduire les opposants au silence - Une organisation en réseau de solidarité permettant l’action collective sous forme de coups de force (actions coup de poing pouvant aller jusqu’à l’incendie d’abattoirs)
Vous l’avez compris le totalitarisme, ce bagage oublié de la Wehrmacht, revient sans les bottes à clous mais sous la forme d’une anorexique hystérique en t-shirt trop grand.
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