Séduire une collègue de bureau est sans aucun doute l’une des entreprises les plus risquées de votre jeune carrière, alors ne vous lancez pas dans l’aventure de la drague au bureau sans réfléchir, au risque de vous faire autant d’ennemis que vous avez de collègues. Découvrez dans cet article les pièges de la séduction au travail, et ce qu’il faut vraiment faire pour y avoir sa chance sans s’attirer les foudres de la direction.Le boulot, on y passe notre vie et si ce n’est pas le cas on y passe tout de même le plus clair de notre temps. Cependant, séduire une personne sur notre lieu de travail comporte à l’heure actuelle un grand nombre de tabous et de potentiels désagréments… Qu’à cela ne tienne, c’est précisément ce qui va vous donner un avantage certain sur tous vos collègues banals et coincés. Un petit détail aussi, votre boite, selon sa taille, constitue un terrain de chasse aux ressources plus ou moins épuisables, à la différence de votre bar lounge favori (enfin pour les consultants qui changent de client tous les trois mois, pas de soucis à moins d’être vraiment très, très bon).
La différence entre séduire dehors et au bureau
Je vous épargnerai les évidences, non il n’y a pas de canapés cosy ni de musique electro-jazz (ou alors contactez moi j’ai quelques CV à vous donner) Résumons donc ! Vous êtes bien conscient qu’autant ; aborder quelqu’un dans la rue de n’importe quelle manière que ce soit, du plus gros des AFC au plus fin des séducteurs, vous ne courrez aucun risque ; autant au boulot, la donne change… du moins à première vue…
Jouons cinq minutes aux sociologues en herbe et décryptons le phénomène suivant ‘ah non non, je vais pas lui parler t’imagines si ça se sait ?’ Ce point là est très intéressant, en tout cas moi il me passionne et je parie que quand on va en avoir fait le tour, vous aussi vous allez aimer ! La plus grande différence entre la rue, les bars, boites et le bureau, c’est que les gens en général et nos cibles sur talons hauts en particulier, vont adopter des comportements différents… et quelquefois radicalement différents. Le masque au travail, on connaît tous, hein ? Si vous me dites non, vous êtes priez de relire vos cours sur l’observation ! Bon, il est vrai que même nous, ne partageons pas forcément les débriefings, de nos soirées threesome, avec nos collègues de boulot. Encore que… Toujours est-il qu’eux, (ce qui inclut les elles qui nous intéressent, on y vient, ne soyez pas pressés comme ça !) n’aborderont pas le thème de leurs soirées et de leurs activités qui sortent un tant soit peu de l’ordinaire. Une question, pourquoi ? (Et là petits sociologues apprentis que nous sommes, entrons en piste)
Au boulot, on veut paraître sérieux, convenables, normales, respectables; on se noie dans la masse comportementale. En somme il faut être bien vu. Ce comportement à, entre autre, une base logique, appelons celle-ci ‘l’effet langue de pute rétroactif’ (oui j’aime bien donner des petits noms à des concepts que des centaines de gens ont découverts et baptisés avant moi, mais dont je ne connais pas le nom). Le principe est simple, on arrive dans une boite. Les premiers trucs qu’on entend c’est des putasseries et commérages sur les uns et les autres, et souvent les nouveaux s’y mettent assez rapidement et rejoignent la masse. (Cf. effet de groupe). Donc, protection ; ne rien dévoilez d’intime sinon je suis une victime potentielle. Bonne nouvelle… Grâce à ça, vous avez le champ libre…
Ce n’est pas nouveau pour nous, on s’en moque de ce que les gens racontent ou pensent de notre vie. Vous allez être quasiment seul à draguer au bureau, un vrai petit vivier pour vous tout seul ! Soyez tout de même conscient que si vous gamer n’importe quelle nana de votre boite comme un gros bourrin, cela se saura très vite, ce n’est pas très grave en soi mais soyez en conscient selon qui vous vous voulez séduire…
Qui aborder au bureau ?
Ou apprenez avec qui vous bossez pour savoir comment les séduire ! Notre approche se doit d’être adaptée à la collègue de bureau que nous convoitons, c’est à peu près la même chose que dans un bar me direz-vous; à peu près seulement vous répondrai-je ! On peut catégoriser nos cibles en fonction de leur poste respectif ainsi que de leur position dans votre réseau social, et à chaque fois il faudra adapter votre game et agir avec discernement (oui donc on oublie l’entrée dans le bureau de la chef à 10h avec un air ahuri en sortant quelque chose du genre :
Mais t’es pas à ton entraînement de boxe anglaise toi à cette heure là?
Entrons dans le vif du sujet ! (Et épargnez-moi le jeu de mot pourri auquel vous venez juste de penser, bande de pervers). Le premier niveau de ce game assez particulier c’est la stagiaire ou l’étudiante venue là pour l’été, généralement peu habituée au monde de l’entreprise, ses signes d’intérêt ne seront pas très discrets, vous pouvez opener direct et à moins d’agir comme un needy devant tout le monde, vous pouvez y aller sans risques à la machine à café ou au détour d’un couloir. Personnellement, j’opte pour un opener entre pas fin et pas très fin, avec un gros niveau d’énergie.
M (prenant un air contrarié mais souriant en coin) : Tiens mais vous êtes qui vous, je ne me rappelle pas vous avoir embauché…
E : blablabla…
Celle la c’est easy game, comme au bar ! De toute façon dans quelques semaines ou mois elle ne sera sans doute plus là, risque zéro sur tous les plans ! L’étape suivante, le next step sur l’échelle sociale de votre game c’est notre séduisante petite collègue avec qui nous travaillons tous les jours. Pour l’ouverture, pas de problèmes on fait déjà partie de son réseau social ! Un bon niveau d’énergie en toute circonstances, se démarquer des autres veaux qui n’ont que trois répliques à la bouche : – Salut, ça va ? – t’as passé un bon week end ? – Tu veux un café ? ne devrait pas être une difficulté !
Pour ce qui des accroches, on en a des milliers, on bosse avec elle :
E : blablabla de boulot
M : … bon allez vas-y…
E : ? M : Ben je te voie là depuis tout à l’heure que tu cherches à me raconter ton week-end, alors vas-y !
E : blablablabla
Par contre, ne rester pas sur une accroche concernant le boulot, il doit toujours être un moyen d’embrayer sur un autre sujet beaucoup c&f dans les 10 secondes ! Vous êtes son rayon de soleil, sa pause bonne humeur dans la grisaille de sa muraille de béton et de préfabriqués. En terme de risque c’est un peu plus délicat, vous la voyez tous les jours, jouez franc jeu sur vos attentes respectives… Si vous jouez le ‘je cherche une relation classique’ et que vous la renvoyez dans ses chaumières après la première blowjob party sans explications, l’ambiance au boulot risque de se désagréger assez rapidement…
Les tours de maître de la séduction en milieu professionnel
Passons maintenant au cas de figure le plus fun, mon préféré, c’est évidemment la collègue de boulot que vous apercevez de temps en temps, celle avec qui vous ne bossez pas directement mais qui bosse dans votre boîte ! Ce cas là donne lieu au plus abouti des games ! Vous devez la jouer au choix discret : progression dans son réseau social pour l’atteindre (ça peut prendre 20 minutes comme quinze jours, selon votre game), ou l’engager comme un bourrin, de toute façon vous ne ferez que la recroiser à l’occasion ! Cela dit, si vous ne voulez pas passer pour un psychopathe et a moins d’avoir déceler des signes d’intérêt de manière claire, on préfèrera la première solution. Pas de risque dans ce game en somme, c’est du pur fun, vous pratiquez toutes les techniques de drague apprises et retenues ici même. En dehors du fait qu’elle aille raconter que vous l’avez fait grimper au rideau (ce qui est bon pour la suite) ou qu’elle vous à mis un râteau, il n’y a pas d’effets secondaires indésirables. Mais bon si vous draguez sur votre lieu de travail c’est que ce genre désagrément n’en est pas vraiment un…
La upper touch, c’est la cheftaine, la supérieure plus âgée que vous ! Facile de capter ses signes d’intérêt et ses contacts visuels, elle sera généralement bien moins discrète que les jeunes (revoir l’article séduire une femme mûre), sauf si elle est en couple ou marié, auquel cas elle ne réagira pas forcément à vos contacts visuels du premier coup, mais ça c’est une autre histoire. Cependant, avec elle, le mot d’ordre vis-à-vis des autres employés c’est la discrétion et le secret. Elle ne veut pas forcément que tout le monde sache que la directrice des ressources humaines se tape un jeune consultant qui pourrait être son fils. Veillez à être discret ou elle vous éjectera très très rapidement ! Privilégiez les endroits discrets, ou son bureau en partant encore une fois d’un prétexte professionnel (du moins c’est la manière la plus naturelle si ce n’est pas directement votre boss).
Allez, un petit bonus ! Je reprends pour ça un cas déjà exposé quelque part sur le forum par Stéphane et me permet de reprendre en partie ses mots, malgré tous les contacts visuels et signes d’intérêt que vous verrez, vous n’aurez que très rarement du succès avec les superbes hôtesses d’accueil, en tout cas il sera très difficile de discerner les vrais signes d’intérêt des ‘simulés’, c’est un peu son métier, disait-il… faites-vous une raison. Voilà en somme un tour d’horizon des cibles les plus fréquentes et des attitudes à avoir avec elles, pour ne pas se faire éjecter avant même d’avoir pu déployer votre game… Vous n’avez plus qu’à débarquer dans votre boîte avec un mojo de folie et mettre le feu à tous les étages ! Je vous invite également à consulter les nouveaux articles traitant de la drague au bureau, ici.
Olivier
Crédit photo : Carlton Theatre Group
- Consolidez les relations et épanouissez-vous en couple
- Décodez la psychologie féminine comme un livre ouvert
- Découvrez les petits secrets des hommes séduisants
- Changez de vie et exploitez votre potentiel
- Gagnez en intelligence sociale et en aisance relationnelle
- Décodez la psychologie féminine comme un livre ouvert
- Découvrez les petits secrets des hommes séduisants
Commenter