Je n’arrive pas à draguer : fais-tu partie de ces 7 types d’hommes ?



Ces 7 types d'hommes repoussent toutes les femmes; que font-ils pour sembler aussi indésirables?

L’avantage du recul, c’est l’expérience. Et l’expérience consiste d’abord, avant de se la péter, à savoir compter : compter les successoins de coïncidences, qui portent d’ailleurs un nom : les récurrences. J’ai côtoyé suffisamment de clients / amis / hommes en général en échec complet avec les femmes (ils se demandent « pourquoi je n’arrive pas à draguer ? » / « pourquoi je n’arrive pas à séduire les femmes qui m’intéressent ») pour en dresser une typologie assez parfaite, dont je vais vous livrer aujourd’hui quelques aperçus.

Prenons-là sous l’angle des hommes qui n’y arrive(ront) pas avec les femmes. Pire que les timides (car la timidité, elle, se soigne), ce sont ceux qui répètent inlassablement les mêmes erreurs dans leur mode de vie, et s’étonnent de l’absence de toute progression dans les résultats. Vous connaissez probablement la citation du même nom, inutile de vous la répéter.

Voici donc 7 types de garçons ou d’hommes qui n’arrivent pas à draguer ni à séduire durablement une femme qui leur plaît et, s’ils ne changent pas radicalement ce que je vais leur désigner, n’y parviendront jamais.

« Je n’arrive pas à draguer » : 7 types d’hommes inaptes à la drague

7. Le nerd / no-life / etc.

Inutile de s’acharner sur une ambulance…

Plus intéressante est la suite.

Je n'arrive pas a draguer
« Je n’arrive pas à draguer… » Oui ben là garçon, c’est normal. Il faut tout changer.

6. Le business man total

Plus inatendu (et donc plus intéressant) dans notre classement, le « total business man » ne désigne évidemment pas la catégorie des Bernard Tapie pleins de gouaille et de rouerie, ni celle d’un Lagardère avec ses contacts et sa ressource, mais plutôt ce que j’appellerais les  Dupond-Dupont du managériat, ou ces milliers d’hommes d’affaire anonymes avec téléphone de fonction, ordinateur portable IBM de fonction (beurk), voiture de fonction (double beurk), et surtout… cerveau de fonction.

Formé aux strates sclérosantes du secteur tertiaire (assurance, notariat, etc.) par ses voies les plus dématérialisées, isomorphes, ils sont globalement aussi performant et bien notés par leur entreprise qu’ils sont asexués dans la vie.

Une personne du sexe opposé qui ne s’intéresserait pas à leurs avances est un « problème » à « adresser » avec un certain nombres de « solutions » plus ou moins éprouvées qui doivent être mises en places dans des « meetings » organisés à intervalle réguliers. Les femmes, pour lesquelles ils n’ont jamais ressenti ce désir violent qui douloureux qui court du sexe au bas des tripes, se distinguent essentiellement par la couleur de leur cheveux : une telle est brune, l’autre blonde, la dernière rousse. Et cela s’arrête là. La poésie, l’art et les sentiments sont des catégories si étranges qu’il est bien normal qu’on les ait enfermées sous d’épais murs dans des musées.

Je n'arrive pas a seduire, je n'arrive pas a draguer : le business man
Contrairement aux attentes, le businessman acharné ne fait pas de rencontres. En dépit de son pouvoir d’achat, il n’arrive pas à séduire.

Avec cette catégorie-là, c’est généralement de deux choses l’une :

  • ou bien ils se rencontrent (entre eux) très tôt et scellent leur engagement très tôt pour se « débarrasser » le plus vite possible de ce problème relationnel et se concentrer sur le seul qui les intéresse vraiment : leur carrière (aussi appelé « syndrome Sciences-Po », où les seules filles disposées au jeu de la drague sont les étrangères en Erasmus, les françaises ayant trop peur de subir un revirement émotionnel juste avant un examen important, elles préfèrent sortir avec une lopette, ami de la famille, stable et sans danger)
  • ou bien ils finissent par avoir recours à des services tarifés, l’échange sexe ressource étant le mode de langage des femmes le plus proche de celui imprimé dans leur logiciel interne

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

  1. Pas grand chose à faire malheureusement, le cerveau n’est pas à disque dur sur lequel réinstaller un autre « OS »…
  2. …au mieux peut-on lui conseiller de fréquenter des endroits où les femmes parlent son langage, séminaires d’entreprise, salles d’attente d’aéroports liaisons courtes, etc.

5. Le « gros bosseur »

Socialement parfaitement accepté – car utile aux classes dominantes car corvéable à merci- mais en réalité parfaitement névrosé car inapte à gérer toute forme de solitude et donc à exister par lui-même, le gros bosseur (qu’il soit ou pas business man, cf catégorie précédente) présente surtout l’énorme inconvénient d’une très faible surface de contact avec le monde.

Paradoxalement bien calé dans ses piles de factures, rendez-vous clients et autres déclarations de TVA qui le rassurent et le stabilisent, il ne songe jamais à intercaler entre ses périodes de travail d’autres dites de simple « existence », comme

  • s’arrêter à une terrasse de café boire un Perrier menthe pour le seul plaisir de jouir du dernier rayon de soleil,
  • sortir de chez soi faire un tour, pour le simple plaisir de marcher et de regarder les gens
  • etc.

Il vit généralement le manque de femmes uniquement à la nuit tombée et comme des envies épisodiques à la résonance plus ou moins aiguë dans le bas ventre. Une fois le désir consommé, le gros bosseur va vite se coucher car demain il faut se lever tôt et tout recommencer.

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

  1. Etre résolu (par avance) à dire oui aux sollicitations extérieures quand et comme elles se présenteront
  2. Chercher et voir ses propres défauts chez les autres afin de s’en dégoûter régulièrement
  3. Chercher d’autres modes de réalisation personnelle que l’échange effort-travail-récompense
  4. Avoir des amis à son opposé (et les conserver)

4. Le faux sympa

… où la catégorie d’enfoirés (les vrais, pas les « Enfoirés » – avec un E majuscule – de la gauche caviar escrocs aux impôts qui viennent chanter tous les ans à la télé pour se rappeler au bon souvenir du public qui les subventionne en achetant leurs disques et autres places de cinéma) que j’ai peut-être mis le plus de temps à détecter.

Poli, relativement agréable physiquement et bien mis dans ses vêtements, par habitude, il suscite l’être « normal » une immédiate empathie et une envie de le connaître plus. Les coachs séduction, notamment, rencontrent fatalement cette typologie de client : on ne comprend sincèrement pas pourquoi diable il peut bien avoir des problèmes pour séduire ! Et, un peu de ce fait et aussi parce qu’on se prend d’une certaine tendresse pour lui, on se dit qu’on le verrait bien en ami. Alors on lui propose de se revoir, hors atelier et hors de toute relation financière. Flatté mais juste ce qu’il faut, pas trop, il réagit positivement à la sollicitation et, devient à défaut de bienveillant, toujours disponible.

Il faut des semaines, que dis-je, des mois, pour le démasquer cet enculé. Cela commence par des petits mensonges et/ou des micro-défauts. L’arnaque la plus classique touchant presque toujours au porte monnaie, c’est par là que j’ai appris à regarder en premier. Il dépense peu, laissant par là entendre une conjoncture économique personnelle un peu serrée (chômage, baisse provisoire de revenu, etc.) et puis un jour, au hasard d’un pull oublié à la maison, on découvre qu’il habite un appartement trois fois grand comme le nôtre, qu’il paye une misère grâce à une subtile arnaque aux HLM, un héritage familial qu’il n’avait surtout pas oublié de ne jamais mentionner, ou toute autre opération chanceuse à son profit.

Le faux sympa n'arrive pas a draguer, non plus
Le faux sympa ne doit pas comprendre pourquoi il n’arrive jamais à draguer 😂

Et de fil en aiguille, c’est désormais vers qui va progressivement révéler la face pourrie du fruit. Le gentil petit client / devenu élève / devenu copain / devenu ami n’a en réalité aucun problème réel à rencontrer des filles de son niveau (ndlr : on devrait tous rencontrer des femmes de notre niveau, ce serait la meilleure motivation à l’augmenter régulièrement) puisqu’il est même capable de les utiliser et de les quitter comme des ressources périssables, sans considération aucune pour la souffrance infligée – ce qui est la vraie marque du salaud -, mais il souffre en secret d’une frustration de ne pas mettre les filles plus belles dans son lit, et c’est pour ça qu’il a fait appel à vous.

Généralement complexé (par sa taille, son statut social, son manque de classe ou d’intelligence, ou bien le tout réuni), il voit le monde entier comme un pourvoyeur de ressources dans la quête de son but ultime, de sa délivrance personnelle : l’accès au corps parfait des femmes qui le terrorisent depuis toujours, et l’envie que cet accès suscitera sur les autres.

Heureux destin qui est celui des femmes très belles que de disposer, non pas d’un radar à connard, mais d’une protection naturelle contre les profiteurs, dont cette race fait partie. Les moins belles, malheureusement moins enclines par la nature à développer ce type de radar car non strictement nécessaire à leur survie, subiront toujours hélas les frais des mensonges liés à leur frustation (les mensonges étant presque toujours liés à une forme de frustration, car l’être pleinement épanoui n’a pas fondamentalement besoin de mentir)

Je sais que ce site est lu par tous les autres « coachs drague » (la plupart était d’ailleurs inscrits sur notre forum avant, vous retrouverez donc Nicolas Dolteau sous le pseudo de Bel Ami, Blusher sous son propre pseudo, etc. etc.), alors j’en profite pour leur passer le bonjour et tous mes voeux de bonheur car, avec des amis comme ça, on n’a pas besoin d’ennemis.

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

Souhaitons-lui de tomber sur une énorme manipulatrice, ça lui fera les pieds.

3. « Je n’arrive pas à draguer », suite : le faux hétéro

Plus évident à deviner (je n’ai pas dit à discréditer) que le faux gentil, plus digne de réelle empathie également, le faux hétéro en quête de (soi-disant) techniques de drague est celui de la liste que je vais ménager car, à contrario du précédent, il n’est pas fondamentalement mauvais.

Historiquement inversé dans sa sexualité pour des raisons familiales (mère omniprésente, disparition soudaine de modèle masculin, rôle social ambigu, etc.), il continue néanmoins de porter la lourde charge d’une nécessaire hétérosexualité, en réalité totalement simulée.

Entouré principalement de soeurs, cousines et nombreuses filles au sein de son cercle social bien fourni (filles qui ne ressentent en sa présence aucune gêne et aucun danger, comme en présence de l’une des leurs), il présente généralement ses échecs amoureux et / ou de drague comme une incapacité à choisir, à affirmer ses préférences, à tomber amoureux, à ressentir du désir. Bref, il ne sait pas ce qu’il veut.

Je n'arrive pas a draguer : le pb du faux hétéro
« Je n’arrive pas à draguer » ? Ne seriez-vous pas un faux hétéro ?

L’enchaînement (irrégulier mais néanmoins réel) de relations avec des femmes lui permet de donner le change avec bien plus d’aisance et de conviction que, par exemple, notre nolife qui n’a pour lui que le monde virtuel de la drague sur AdopteUnMec. Mais la répétition des ruptures, ainsi que l’extrême capacité à rester ami derrière – ce qui est impossible à tout homme très sexué -, doit néanmoins vous mettre la puce à l’oreille.

Tout comme l’est la complète incohérence de ses goûts féminins : soit disant attiré tour à tour par des morphotypes aussi opposés que les japonaises et les scandinaves, ou les africaines et les sud-américaines, il n’est en réalité – vous l’avez compris – attiré par aucune d’entre elles. Sinon par la « nouveauté » vécue comme une simple « expérience ».

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

Admettre sa sexualité lui-même comme un grand, parce que personne – aucun ami – ne l’aimera ni ne le détestera assez pour lui mettre devant les yeux la réalité de ce qu’il est.

2. Pacifiste idéologique ? Tu n’arriveras pas à draguer non plus !

Perçu quasi-unanimement comme faible par son entourage, notre « pacifiste » se caractérise non par sa neutralité mais par l’idée qu’entrer dans un rapport de force est toujours une option (totalement) exclue.

Profondément opposé à l’idée de conquérir son territoire (et parfois aussi à celle de défendre le sien), son idéologie le pousse à ne voir dans la drague qu’un processus retord de « manipulation » auquel il ne s’estime pas destiné, creusant ainsi les sillons de sa probable manipulation par le monde extérieur qui, lui, n’a jamais tant de scrupules.

Pour simplifier, ou pour trouver une analogie, on pourrait choisir celle-ci : ce sont les gens qui se désintéressent le plus de la publicité qui en sont le plus victimes, étrangers qu’ils sont à tous les ressorts de celle-ci.

Je n'arrive pas a draguer : les problemes du pacifiste ideologue
Je n’arrive pas à draguer : oui, mais si t’es un pacifiste idéologique, c’est normal…

La poursuite dans le temps d’un rapport humain étant toujours une affaire de pouvoir car basé sur le principe d’un échange d’une ressource plus pertinente pour l’autre qu’elle ne l’est pour soi (exemple : mon temps contre ton savoir, ton argent contre mon amour, mon admiration contre la satisfaction de ta vanité, etc), notre idéaliste, exclu de facto de toute possibilité de relation longue (qui implique de multiples tests, résistances, combats, oublis, pardons, sanctions, etc.) se retrouve réduit à la portion congrue des rencontres au hasard. Avec celles qui veulent bien de lui. Car elles possèdent déjà ce qui lui manque. En l’occurrence des couilles.

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

Une greffe.

1. Le robot social

Je n'arrive pas à draguer : le pb du robot social

Evidemment, avec l’ordre inversé, j’ai gardé le « meilleur » (du pire) pour la fin.

Sans aucune émotion (ou du moins il ne semble en avoir aucune, ce qui revient en relations sociales à peu près au même), le robot semble également dénué de toute âme, compassion, empathie, intelligence sensible. Bref, de toute humanité.

La séduction étant l’affaire de vivre des sensations suffisamment justes pour pouvoir s’y fier (cf lecture des signes d’intérêt) et suffisamment fortes pour pouvoir les faire ressentir à l’autre (cf créer de l’attraction), ce calculateur froid (derrière la façade duquel on trouve toujours un vrai timide) se retrouve logiquement et complètement démuni devant ces boules d’émotions que sont les femmes. Sa réponse ? Une perpétuelle fuite, toujours plus avant, vers la recherche de solutions rationnelles, toujours plus rationnelles, à cette absence d’attraction qui le poursuit et le mutile.

Après avoir ingéré dans les dernières années l’intégralité de la Mystery Method et autres techniques de drague américaines, qu’il avait dès leur sortie accréditées comme parfaitement efficaces puisque parfaitement algorithmiques, il est aujourd’hui toujours plus seul et toujours plus frustré. Bref, il ne sait toujours pas draguer. Pire, il est devenu méchant en prime.

Et comme il a beaucoup de temps pour lui puisqu’aucune copine pour le lui prendre, il hante internet à la recherche des gens plus heureux et/ou plus séduisants que lui pour tenter de leur pourrir la vie, afin de mettre un peu la sienne à niveau.

Ce qu’il devrait changer pour arriver à draguer

Accepter son erreur de jugement et re-naître avec une âme en lieu et place d’un « logiciel ».

On ne vit que deux fois.

Stéphane

Ps : ai-je raison ? Avez-vous des amis comme cela ? Je parie que oui, dites-le en commentaires

Crédit photo : Riccardo Cuppini


SEMINAIRE SUR CE THEME
- Commandez le séminaire "relations longues II : reconnaître les filles qu'il vous faut"
  1. Osez aborder les gens qui vous intéressent
  2. Consolidez les relations et épanouissez-vous en couple
  3. Décodez la psychologie féminine comme un livre ouvert
SEMINAIRE SUR CE THEME
- Commandez le séminaire "être un leader"
  1. Devenez plus écouté, plus intéressant et plus charismatique
  2. Ayez confiance en vous pour oser plus
  3. Développez votre énergie physique et votre force mentale
  4. Appliquez les techniques de séduction au monde professionnel
  5. Assumez et développez votre masculinité

66 commentaires

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

  • Il faut surtout admettre que les latines sont débiles, impolies, souvent irrespectueuses et dans le jugement ; et se surestiment beaucoup mais alors beaucoup. Surestiment aussi leurs options et donc l’effort qu’elles demandent a leurs seducteurs. À voir en France le nombre de femmes célibataires et sans enfants dans la tranche 35-40 c’est assez criant (sans parler de celles qui a 39 ou 40 a’s ‘decident’ de ne pas faire d’enfants… Drôle)
    Une ex à récemment peiné à retenir ses larmes quand je lui expliquais pourquoi ça n’avait pas marché (et vu son âge, elle va pouvoir prendre un chat). Une francaise, la 3eme cette année et elles répètent toutes le même schema. A jouer a attrape moi si tu peux, soit on finit seule, soit on se fait baiser par un connard qui servira n’importe quelle soupe qu’on lui demande, soit on finit avec ceux qui n’ont aucun ego…et pas trop de choix !
    Les femmes d’Europe de l’est, Allemagne et Autriche compris, et du nord ou d’Asie savent ce qu’elles veulent, ce qui rend tout le processus précèdent le couple beaucoup plus linéaire…et efficace ! Jamais l’une d’entre elle n’a conclu un échange sur application sans un au revoir. Ça m’est arrivé 2 fois cette semaine sur une appli, et il n’y aura pas de 3eme : je vais cibler d’autres origines géographiques.

  • Merci pour ces conseils qui laissent transpirer votre propre irrespect pour la nature humaine, plutôt que de m’aider, votre texte bien écrit m’a fait encore plus poser des questions sur moi-meme…
    Je pense que vous êtes une femme malheureuse, ou bien un homme et dans ce cas votre texte est tout bonnement inexcusable …vous pouvez peut etre Vous venter Vous d’avoir des couilles, tapis rouge bravo on applaudit, genial, ou d’avoir un cerveau, vousn’avez, à priori pas de cœur et c’est pourtant l’essentiel pour être heureux, ne prétendez pas que vous l’êtes car c’est faux ça se ressent à la moindre de vos lignes… Si vous evitez de comprendre la raison pour laquelle je dis tout ça (qui est a chercher chez vous oas chez moi), votre karma finira par le faire …quoi que vous pensez de cette réponse…bon courage avec ce dernier

  • Je ne sais pas si mon commentaire peut être utile à un homme hétérosexuel normal et équilibré. Si t’es un cas social tu n’aura pas les facultés intellectuelles pour comprendre, donc passe ton chemin …

    Sachez messieurs que la drague est un art et comme chaque art il y a des CODES très spécifiques.

    Parade nuptial oblige (c’est purement biologique) aucune femme avec un minimum de dignité ne prendra les devants. C’est à vous de faire la démarche (ouin ouin c’est pas juste) C’est la life! même le lion dans la savane ne décide pas quand il s’accouple! C’est la lionne aux moments des chaleurs qui donne le coup d’envoi bref on s’éloigne du sujet ….

    Bon mise à part une timidité extrême ou que le mec est long à la détente la nana pourra donner un coup de main pour faire avancer les choses. En résumé l’homme prend les devants mais pas n’importe comment…

    Si vous draguez « la toute venante » sans aucune ligne directrice je vous informe que vous avez 80% de chance de revenir bredouille. Cumuler les échecs c’est frustrant et à un moment vous allez taquiner l’aigreur et la névrose. Sachez qu’un mec aigri c’est pas attirant!!

    Sachez qu’il existe deux catégories de femme : celle sensible à votre charme et donc ouverte a la drague et celle insensible à votre charme et donc fermée a la drague. Avant toutes choses il faut déterminer dans quelle catégorie se situe votre « cible ».

    La nana fermée à la drague est souvent « jolie » elle peut aussi être « moche » . Son non-verbal est sans équivoque! Elle porte des écouteurs, elle marche vite, elle est souvent sur son smartphone et elle à un regard totalement fermé. Sur son front il y a écrit en encre invisible « va te faire ».

    Elle peut être élégante et/ou sexy niveau vestimentaire mais c’est purement stylistique. Elle ne fait pas ça pour attirer l’attention. Elle peut aussi s’habiller avec des couleurs sombres dans le but de se fondre dans la masse. En clair même si elle vous plait énormément malheureusement tenter une approche est une perte de temps. Elle va vous envoyez sur les roses poliment ou avec agressivité.

    La nana ouverte à la drague son comportement est explicite! elle sourit de toutes ses dents, elle regarde avec énormément d’attention et/ou insistance. Cependant attention!! Ne pas confondre drague et politesse!! Si la caissière d’Auchan vous sourit en rendant la monnaie c’est pas automatiquement de la drague.

    Les plus audacieuses pourront même attirer votre attention par un signe de main. Si vous cumulez le combo sourire+regard+clin d’oeil+signe de la main PAS DE DOUTE FAUT ABORDER…. le comportement à adopter avec elle pour conserver son intérêt c’est une autre affaire…

    Une femme belle ou moche sera sensible à 100% à l’esthétique d’un homme. Celles qui osent dire le contraire sont des menteuses. Un beau physique c’est 50% d’une drague réussie. Si aucune meuf te donne l’heure c’est que tu fais parti des mecs moyens voir médiocres physiquement. A ce moment là tu as intérêt d’avoir une personnalité et une intelligence émotionnelle 5 étoiles. .

    Par contre Si tu cumules le combo physique claqué + personnalité claquée avec l’option déni désolée frérot mais tu es foutu …

    Bref courage les célibataires par dépit, que la force mentale soit avec vous <3

  • Tous ces profils de gens décrits plus haut ont tous un point commun : ils sont terriblement matérialistes – à part peut être, et encore j’ai un doute, le pacifiste niais. Je me demande si monsieur Édouard s’en est rendu compte ou s’il est lui même trop matérialiste pour considérer cela comme un problème. Si l’on est pas matérialiste (anarchiste, marxiste, utilitariste, reductionniste, posthumaniste), que l’on a du caractère et de la culture, le culte du respect (un bon libéral), on ne se retrouve dans aucun de ces profils. Peut être que le manque de désir fulgurant, malgré une attirance pour les filles – décrit par monsieur Édouard dans le profil business man – serait tout simplement la véritable raison du problème et non un symptôme.

  • Un article pour autistes qui se masturbent avec le statut social, la réussite matérielle et le pouvoir sur autrui. Vous fustigez le profil « robot social » alors que vous en faites partie. Ne voir l’existence et les rapports amoureux que sous l’angle de la psychologie, de la sociologie ou de l’anthropologie, c’est se priver de la richesse et de la complexité des sentiments humains. Ca ne fonctionne qu’avec certaines typologies d’individus capables de dissocier l’esprit du corps et de vivre à la surface de leur être et des choses. (Ne parlons pas d’âme, c’est encore un autre débat qui serait stérile ici) D’autre part, vous devriez savoir que la plupart des pacifistes à l’heure actuelle ont un rapport étroit avec l’argent et le pouvoir (et donc avec un certain type de femmes), malgré ce qu’ils veulent bien laisser paraître, la seule vraie paix étant celle que l’on trouve à l’intérieur de soi et qu’on n’expose pas à tout va comme un parangon de vertu mais dont on use au quotidien dans ses paroles ou dans ses actes. Finalement, chacun choisit sa vie, qu’il l’assume ou pas. Il y a des no-lifes heureux, (j’en connais) et d’autres qui essaient de coller au schéma dominant, au règne tout-puissant de la biologie désincarnée qui voudrait nous classer dans des catégories intellectuelles détachées de la substance et de la pulsion de vie qui peut revêtir des aspects bien différents voire parfois même paradoxaux… Pour conclure, les conseils que vous donnez s’appliquent à une typologie d’hommes en relation à une typologie de femme, comme les étendards d’une normalité qui n’existe nulle part ailleurs que dans le fantasme de la maîtrise et de la compréhension du vivant, qui a pris son essor depuis quelques siècles et qui est en train de s’abîmer dans le spectacle désastreux d’une modernité qui essaie encore de s’accrocher à des poncifs scientistes et paternalistes mais qui se noie sous les effets de ses propres calculs. [Je pense donc je ne suis pas] Le retour de la spiritualité (la vraie) et de la puissance féminine va bousculer vos évidences.

  • analyse originale mais totalement merdique du début jusqu’à la fin . Si des hommes préfèrent draguer des étrangères c’est avant tout parce que les françaises sont elles-mêmes beaucoup trop difficile à draguer et pas parce qu’ils sont gays . C’est stupide comme raisonnement je trouve même pas digne d’un enfant de 3 ans

  • Plutôt le no life et le faux sympa. En plus je suis moche. Je n’aime pas la drague et la séduction même s’il y a des mignonne et attirantes. Pour moi elles ne sont pas attirantes elles me font plutôt fuir. Je préfèrerais une vie d’amitié masculine

  • Quand on correspond à ces différents types depuis des années (voire toujours) et peut être même avec un mix de plusieurs, il ne reste plus qu’à laisser tomber définitivement. On est simplement pas fait du tout pour ça et y vouloir persister ne serait qu’une succession de frustrations et galères perpétuelles.

  • Je suis le nerd no life alors c’est peut-être pour ça que je ne suis pas intéressé par la séduction et les femmes. Bien que certaines femmes me trouvent à leur goût

  • Bonjour a tous,
    Je viens de finir de lire et tout cela est très intéressant. Cependant elle ne donne pas de méthode concrète, ayant eu le même problème il y a d’ici quelques années, je tenais a vous partager ce qui a fonctionner pour moi : http://bit.ly/MaTechniquePourSeduire
    Vous trouverez ici tout les conseils dont vous avez besoin mais n’oubliez pas que cela a un prix et d’après moi il est justifier car cela correspond exactement aux types d’attentes que j’aurait pu moi même avoir, me baladant sur des sites.
    Merci et bonne chance :)

  • « Les « faux » sympas le sont jusqu’à ce que l’on abuse de leur gentillesse… »

    Et les autres sont quoi alors ?
    Réponse : des bonnes poires…

    Le juste au milieu c’est de poser un minimum de condition au début.

    Le mec sympa demande juste une chose : la réciprocité

    Qu’on ne lui mente pas et qu’on lui donne au moins autant en retour.

    Si ce n’est pas du sexe/affection, ça peut être autre chose (argent, services, invitations…)

    Les relations a sens unique, ça ne fonctionne pas, même en amitié.

  • Merci des conseils. J’en retiens surtout un : être bien né ça aide.

    Les businessmen et les bosseurs : heureusement qu’ils sont là pour faire fonctionner ce pays de feignants et de planqués.

    Les « faux » sympas le sont jusqu’à ce que l’on abuse de leur gentillesse…

    Heureusement que tous les hommes qui ont grandi sans réelle image paternelle ne sont pas devenus homo, sinon qu’aurait été la société française après 1914 ?

    Les pacifistes idéologiques séduisent bien plus et certainement bien mieux que toi Stéphane.
    Si j’avais été une femme et que j’avais dû blacklister un type d’homme, ce serait le tiens.
    Et tu n’influence rien ni personne, si ce n’est ton égo surdimensionné de parisien.

  • J’aime et j’aime, j’aime surtout ce petit courage Soralien à balancer les noms Stéphane : » vous retrouverez donc Nicolas Dolteau sous le pseudo de Bel Ami, Blusher sous son propre pseudo, etc. etc.) »

  • J’adore ce genre de commentaire écrit par quelqu’un qui démonte la plupart des hommes (en 1/ les classant puis en 2/ les ridiculisant) tout en se mettant à l’écart. Généralement ce genre de beauf lourdingue vous cite ensuite des extraits des films des « Bronzés ».

    C’est quand on voit son fameux tableau de chasse et la caste auquelle il appartient que l’on déchante: si jamais par chance ce fourbe faux-ami n’est pas resté anonyme…

  • Et comment osez vous critiquer le personnage  »pacifique  » , quelque de pacifique est une personne remarquable , arrêter de voir en la personne pacifique le petit fragile , il a bien plus de couille et une conscience de la réalité des choses que beaucoup d’entre vous .

    ET QUELLE HORREUR cette phrase =  »un rapport humain étant toujours une affaire de pouvoir car basé sur le principe d’un échange d’une ressource plus pertinente  »
    c’est cooooooooompletement , faux , mais vous vous rendez compte ce que vous dite , vous pronez une société individualiste ou chacun pense qu’a son petit confort , a sa toute petite personne a empiffrer de valeurs, c’est pas ça la vie bande égoïste.
    Vous aurez très besoin de devenir plus humain , ou de lire une bible .
    Voila sans rancune .

  • Ce site dit n’importe quoi , imagine des adolescent de 12 ,13 ans désespéré voit ça ,qui est ce qui vont penser ceux qui ne se reconnaisse dans ce classement , il vont penser que c’est des merdes parce que il sont pas homme qu’idéalise la société ?
    Heureusement d’autre gens font la remarque en commentaire ,merci .
    Ne vous inquiétez pas , la bonne fille viendras et chacun a ces goûts ,y’a pas des goûts universaux , c’est des conneries

  • Bien le type qui vient d’écrire cet article semble avoir des bouffées de bêtise à manger du foin ou quoi ?
    Mais le pire c’est qu’il ne le sait pas !
    On lit, on lit puis à la fin on se dit ; « mais mince quoi, oui et alors » ?
    Alors rien de rien c’est ça le souci, écrire pour ne rien dire, à la limite espérer se la péter, essayer de se la jouer condescendant mais condescendant blaireau, en espérant attirer le projo sur …sur on ne sait pas trop quoi d’ailleurs.

    Hey garçon tu as compris que ton article n’apporte rien, mais vraiment rien ??? J’aime bien ce site, mais là ………
    J’ai pourtant bien relu 2 fois pour être sur … rien on n’apprend rien, et rien n’est convaincant, même la syntaxe, le pire c’est que le garçon il ne s’en rend surement pas compte … Allllllllllllllllllllllooo ?

    P.S. : purée je regrette d’avoir perdu ces quelques minutes à lire cette daube, on dirait du « Libé » du pauvre !

  • Analyse ridicule des « types » d’hommes, il serait temps d’arrêter de mettre les gens dans des cases. Cet article transpire de condescendance et d’élitisme, la subjectivité est à supprimer également.

  • Typique de notre société actuelle, «si tu n’es pas un homme-plante dégoulinant de muscles tu ne PEUX PAS plaire». Dans ce classement figure mes deux types d’hommes et de toute manière, il est difficile de faire un « classement » à ce sujet car les avis différent à ce sujet, chaque personne a SA préférence.

  • Toujours facile de se poser en moralisateur. Tout le monde n’a pas la même vie et le même vécu.
    Pour ma part il n’y a que deux types d’hommes : ceux qui se prennent en main et font un max d’effort (et qui parfois échoue lamentablement d’ou la frustration) et les loosers inintéréssant (parfois j’hésite franchement à virer 2/3 de mes potes dans ce genre).

    N’écoutez pas les gens (« il est trop ci il est trop ça bla bla »). Si vous êtes un mec qui galère et pour qui la vie semble être un combat quotidien et que vous estimez *comparativement aux autres* que vous en avez fait plus avec ce que vous aviez a 18 ans (car avant tout dépend de votre éducation), allez vous n’avez pas de honte à avoir.

    Comme dirait Autodisciple : « c’est pas grave de pas être un Don Juan, ça fait pas de toi un sous-homme ».

  • Un beau ramassis de conneries et d’analyse condescendante envers ceux qui cherchent simplement un peu d’entre-aide masculine et qui essuient râteaux et rejets au quotidien.

    Je me demande dans quelle catégorie vous vous classeriez? Laissez-moi vous guider : celle certainement du pseudo homme parfait (en tous cas qui s’en est auto-convaincu) et qui pense parler à l’oreille des femmes comme l’autre qui parlait à l’oreille des chevaux. Tellement lisse et consensuel qu’il en a presque oublié d’avoir sa propre personnalité et sa propre paire de c……

    Nul doute que vous les faites toutes craquer mais alors quel pote ennuyeux vous devez Etre…

  • Vous me faites douter, autant une belle japonaise qu’une belle africaine me font palpiter.
    Serais-je un peu sur les bord ? non c’est ma dose de f lesbien on va dire :)

  • oe c’est sa le probleme des hommes d’aujourd’hui

    Il doivent devenir entier pour pouvoir conquérir leurs moitié… tu m’étonne que les couple ne tiennent pas et qu’ils y est de plus en plus de célibataires…

  • je ne sais pas si c’est un homme ou une femme qui as écrit cette article, mais moi j’y voit surtout un type d’homme pour chaque homme qui aurait des défault en séduction…en gros qui ne serait pas un séducteur née…

    le dernier type , par exemple:

    une perpetuelle fuite envers les femmes, je le reconnait je l’ai été, mais je me disait juste dans ces moment la, que j’avais comme tout le monde, mon vécut, avec ses effet sur mon devenir
    bref une personne comme les autre, en fait
    et que si j’avais des défault en matiere de confiance en moi, ben sa ne serait pas sur la nana a qui je galere a continuer une conversation qui va m’aider… d’autant plus que en générale c’est moi qui l’aborde même si je flip

    c’est quand doué d’un minimum d’empathie une meuf non? sa peut se dire que une présence paternel qui disparait par exemple (ou tout autre raison d’etre un peu une pierre emotionel) c’est pas notre faute…

    s’il faut devenir entier AVANT de rencontrer sa moitié, ben j’lemmerde ma moitié… plus besoin d’elle lol

  • Wow, je suis réellement soufflée par ton analyse Stéphane. J’ai 25 ans, je suis une fille et je vais de temps en temps sur ton blog, j’aime bien les articles et j’ai toujours voulu être anthropologue :)

    Je sors en ce moment avec un « gentil idéaliste » et je cherchais les raisons profondes qui vont me pousser à le quitter.

    Gentil garçon ayant fait une grande école d’ingénieur, il est incapable et refuse de sentir « l’air du temps » que ce soit en musique, films, style vestimentaire, etc. Considérant à tort que seuls les auteurs morts avant 1800 méritent son attention car ils ont résisté à l’épreuve du temps (ce qui donne une bibliothèque désespérément plate, remplie de tous les grands classiques sans aucune originalité), il enveloppe ses conquêtes dans un océan de douceur, incapable de provoquer la moindre altercation.

    Sous cette gentillesse effacée se cache selon moi une certaine prétention, celle de ne pas se plier aux dynamiques sociales (je suis trop bien pour ça, je m’en fous des autres) et une certaine faiblesse (si je fais tout ce qu’elle veut, elle ne peut que m’aimer).

    Un peu dur mais vrai. Ce qui ne m’empêchera pas d’être aussi gentille qu’il l’a été avec moi lors de la rupture.

  • j ‘ai besoin d’air j’a manque de sedution pour les femmes (j’aile courage c’est parler ou convaincre qu’il y a problème

  • Bonjour et merci pour ce super blog !

    Je me reconnais assez dans toutes ces descriptions mais surtout dans celle de l’homme sans sa paire de testicules, ça me fait un peu mal de le dire, mais je dois admettre que j’ai une vie de merde!

    Le problème qui se pose aujourd’hui, c’est comment on change, comment fait on pour devenir un homme sans le jouer mais en l’étant naturellement !

    J’ai toujours été le mec sympa qui fait tout pour arranger les choses qui évite les conflits, j’ai plus ou moins toujours eu des conquêtes mais plus par peur d’être seul que pour être épanoui dans ma vie, même si au début d’une relation ça met un coup de boost.

    Actuellement au chômage, j’en profite pour me remettre en question, je ne veux plus de ma vie de merde ou je me fais chier mais je n’ai pratiquement aucune aspiration sans doute du au fait que j’ai toujours été gentil et timide.

    Aujourd’hui je ne vois pas de trucs qui m’anime à part séduire des filles et voir que je leur plais, ça fait du bien à l’égo mais en finalité je reste creux!

    Si jamais tu as une solution pour moi avec plaisir

  • Je me retrouve beaucoup dans cette liste de tableaux un peu lapidaire et implacable.
    Ça fait mal de le reconnaitre.
    Vous avez tous l’air d’être d’accord de manière presque unanime sur le fait que ces types de personnes sont irrécupérables en matière de séduction.
    Y a de quoi vraiment déconcerter et a mon tour de vous demander si il y a vraiment aucun espoir?

  • @L’ami : et alors ? C’est parfaitement vrai que j’ai commencé sur FTS, dont j’ai d’ailleurs spontanément remercié le webmaster alors qu’il ne m’avait rien demandé. Tous les « coachs » l’ont-ils fait ? Cela m’étonnerait…

  • « Je sais que ce site est lu par tous les autres « coachs séduction » (la plupart était d’ailleurs inscrits sur notre forum avant, vous retrouverez donc Nicolas Dolteau sous le pseudo de Bel Ami, Blusher sous son propre pseudo, etc. etc.), alors j’en profite pour leur passer le bonjour et tous mes voeux de bonheur car, avec des amis comme ça, on n’a pas besoin d’ennemis »

    C’est, à peu de choses près, exactement ce qu’on peut lire de la part d’un certain Frenchkiss, initiateur du site FTS, au sujet d’un certain ‘spike’. Donc cela ne manque pas de sel
    Cdlt
    l’ami

  • Analyses pertinentes et très fines adoubées d’un bon sens de très haut niveau.
    Un article potentiellement déclencheur de profondes prises de conscience pour ceux qui sont honnêtes avec eux-mêmes combien même ils constatent avec effroi qu’ils sont dans l’erreur.

    « La poursuite dans le temps d’un rapport humain étant toujours une affaire de pouvoir car basé sur le principe d’un échange d’une ressource plus pertinente pour l’autre qu’elle ne l’est pour soi (exemple : mon temps contre ton savoir, ton argent contre mon amour, mon admiration contre la satisfaction de ta vanité, etc), »
    ==> A la lumière de cette phrase, 99% des ruptures et des « pertes » d’amis s’expliquent.

  • J’aime et j’aime, j’aime surtout ce petit courage Soralien à balancer les noms Stéphane :  » vous retrouverez donc Nicolas Dolteau sous le pseudo de Bel Ami, Blusher sous son propre pseudo, etc. etc.) »

    Et je confirme que, objectivement parlant, l’introduire dans la catégorie numéro 4 est validé par le fait que Mr Coach Séduction balance les photos de ses conquêtes (une partie de la conquête, un trophée) sur sa page fan sans le moindre remord. Mais un autre site fait pire

  • Bonsoir ,

    Je lis le 4 et je pense que le plus difficile n’est pas de reconnaître l’ordure dans une optique intellectuelle, dans un raisonnement mais de percevoir l’ordure dans une optique émotionnelle car l’ordure est censé être un « pote ».

    On se dit « Nan, c’est pas possible. J’ai du mal voir ! » alors qu’en fait, à 70% des cas , on a très bien vu.

    Avoir le courage de son opinion et quand il est temps de couper dans le lard, littéralement, ne pas avoir d’hésitation. On a qu’une vie.

    Certains personnes restent dans votre train pendant une longue période, d’autres font passer et certains doivent partir , manu militari.

    Remerciement à toutes les gens biens , les vrais potes que j’ai croisé et le reste, quel reste d’ailleurs ? : )

    A.

  • Reza oui sa femme joue avec un sextoy mais elle a choisi et recherché cet homme businessman, pour s’en plaindre et si elle le trompe, ce sera avec le même genre de mec

  • @Stéphane: Instructif comme article. Il m’a parlé, car je me suis reconnu dans 1-2 portraits.

    Il y en a 1 particulièrement qui m’a fait tiquer. J’ai une paire de couille, et suis capable de faire face à un rapport de force. Mais ce n’est pas quelque chose qui est normalisé pour moi. C’est-à-dire que si je peux le gérer sans difficulté, pour peu que je me rende compte de quoi il s’agit, ça me rendra malheureux qu’un proche rentre dans ce genre de rapport avec moi. De plus, quand je rentre dans ce type de rapport, ce n’est pas avec la simple volonté de vaincre, mais celle d’annihiler l’ennemi ! (j’espère que l’image est parlante :D .) D’où je parlais de mon absence de normalisation de ce type de rapports.

    Donc je voulais te demander si tu as des idées pour réaliser cette « normalisation ».

  • Les Nerds : il serait utile de définir ce que tu appelles un nerd, parce que d’une certaine manière on peut me définir comme tel, et pourtant, je n’ai pas trop de mal avec les femmes.

    Les « Business Man » et « Gros bosseurs », j’ai du mal à les distinguer. L’un est un « winner » (cadre sup’ après avoir réussi des études sélectives), l’autre juste un « workaholic » qui fait un métier moins reconnu socialement ? Allons, ce sont les mêmes au fond. D’ailleurs si le « business man » a réussi ses études, ne se pourrait-il pas, au moins en partie, parce que c’est un « gros bosseur » ? (et par ailleurs, « no life » est un terme qui s’applique bien aussi à ces gens, même s’ils ne passent pas leur temps sur internet).

    Le « faux sympa », il me fait penser à ce qu’on appelle « pervers narcissiques » dans certains livres psy. Tous ne sont pas radins ; par contre la radinerie de ceux (celui?) dont tu parles doit expliquer en partie pourquoi il n’arrive pas à choper les plus belles. Ils ont peu d’émotions, mais au contraire du robot, savent les imiter, manipulateurs qu’ils sont. Ils sont forts complexés en cachette, et essaye de le cacher en pensant que tout leur est du (y compris en ce qui nous préoccupe, les plus jolis femmes). La jalousie est le moteur qui les anime ; s’il ne mentionne par leur héritage, c’est pour ne pas te rendre jaloux. Je ne lui souhaite même pas de tomber sur une manipulatrice, ça ne fera que renforcer les conviction manipulatrices de ce genre de personnage. D’ailleurs, ils ont tendance à se mettre en couple avec des manipulatrices LSE. Qui se ressemble…

    Le « faux hétéro » n’est-il pas aussi très souvent doublé d’un « pacifiste » ?

    Quand au robot, je n’en ai jamais rencontré, mais ça me fait un peu penser à un autiste qui aurait lu un manuel de séduction. Si quelqu’un devait se reconnaitre dans cette description, je ne peux que lui conseiller de s’intéresser au sujet de l’autisme, notamment l’autisme dit de « haut niveau » ou syndrome d’Asperger.

  • Et bien, je suis un robot. L’analyse tombe juste ( à part l’aspect méchant qui rabaisse les autres au lieux de tenter de s’élever au dessus d’eux. ).

    Je ne suis, pour ma part, pas dénué d’émotion, c’est juste que si il n’y a aucun engagement émotionnel il ne peut y avoir aucune déception et par conséquent aucune souffrance.

    Cela m’a paru attrayant, peut-être qu’un jours je changerai d’avis. Mais pour l’instant je ne vois pas cela comme une barrière, c’est plutôt une autre façon de voir le monde.

    En mettant de côté l’aspect émotionnel, on se concentre sur l’essentiel ( même si certains, peut être même tout le monde, dira que l’essentiel c’est justement cet aspect là. ). Tout devient quantifiable, on progresse plus vite et on apprend de ses erreurs. Pas de regrets car chaque choix a été guidé par la raison et non par une pulsion.

    Mon monde est gris et terne, mais je l’aime comme ça.

    En tout cas merci à toi Stéphane, être mis face a la réalité entraîne toujours une introspection, ce qui ne peut être que bénéfique.

    PS : Autre erreur dans l’analyse, je suis de moins en moins seul et frustré. Ce qui explique peut-être l’absence de haine dans mon post.

  • Je sens que Stéphane va me détester encore mais…

    « ce sont les gens qui se désintéressent le plus de la publicité qui en sont le plus victimes, étrangers qu’ils sont à tous les ressorts de celle-ci. »
    Je me désintéresse complètement de la publicité, je trouve ça con, niaiseux, stupide, débilisant, nuisible, laid… Et certes j’en connais certains ressorts, qui me la rend encore moins sympathique !
    Et à côté de ça, je mène une vie assez ascétique relativement loin de la consommation. Je me fiche des marques et suis relativement bon dans la recherche du meilleur rapport qualité/prix dans le peu que j’achète.

    Prudence donc avec les généralisation, c’est toujours tellement difficile avec nous autres humains.

    Je crois que cet article doit plutôt être à prendre comme un ensemble de pistes de réflexion qu’il conviendrait de creuser. Encore une fois, il est bien difficile de catégoriser les humains (dans le domaine de la santé mentale, ce n’est pas un hasard d’ailleurs s’ils en sont à la 5ème version du DSM, livre de consensus des psychiatres américains qui répertorie les différentes pathologie et qui est passionnant notamment en ce qui concerne les Troubles de la Personnalité – qui concerneraient bien plus de personnes que ce que l’on peut penser de prime abord).

    Ceci étant, ce défrichage n’est certes pas inutile et donne à réfléchir (et rien que pour ce don… merci !)

  • Pour ceux qui n’auraient pas percé l’un des secrets de la pertinence de Stéphane, je pense qu’il est là :
    « L’avantage du recul, c’est l’expérience. Et l’expérience consiste d’abord, avant de se la péter, à savoir compter : compter les successions de coïncidences, qui portent d’ailleurs un nom : les récurrences. »
    Naturellement, on construit tous mentalement des modèles théoriques et des techniques qui semblent très logiques. C’est ainsi qu’on construit des choses qui, on en est sûr, devraient marcher mais qui ensuite ne marchent pas… Stéphane commence avec une page blanche sur chaque sujet, en observant, regroupant, acceptant pleinement la réalité qu’il voit même si elle va en sens inverse de la logique, ce n’est qu’une fois les données collectées que la théorie apparaît. Vous devriez commencer à faire de même.

  • j’ai adoré le numéro 4,

    à prôner l’amoralité et les relations calculées à qui veut bien l’entendre, dans les séminaires, il est de plus que normal (et heureusement) de se faire prendre a son propre piège,

    bref si amitié il y a, ce n’est pas dans vos clients (surtout ceux qui ont payer le plus) qu’il faut piocher, ou alors il faut y voir le numéro 3 (et je suis sur qu’il y en a beaucoup ;-) )

    le ponpon reste :

    « un héritage familial qu’il n’avait surtout pas oublié de ne jamais mentionner, ou toute autre opération chanceuse à son profit. »

    Depuis quand parle t’on argent avec ses amis ?

    vous espériez lui surcoter vos conseils « amicaux » sachant cela ?

    qu’il vous offre un plein pour profiter de votre jaguar type-E, parcequ’il est votre « amis » ?

    bref je comprend tout à fait votre frustration, mais tout cela me semble malheureusement inévitable en l’état.

    « Dans le monde, vous avez trois sortes d’amis : vos amis qui vous aiment, vos amis qui ne se soucient pas de vous, et vos amis qui vous haïssent. »

    je vous laissent trouver l’auteur de cette citation ;-)

  • @ Nico

    Et alors ? Tu n’as pas couché avec des hommes et seulement avec des femmes, tu as par ailleurs ton histoire et je ne vois pas ce que vient faire l’allusion à l’homosexuallité dans l’article (qui me semble d’ailleurs avoir été légèrement modifié depuis mon intervention).

    Autrement dit, tu as eu et tu as une sexualité normale – étant entendu que le terme « hétérosexuel » est une invention des groupes de pression arc en ciel… Et qu’il serait bon parfois que les gens ait un peu de distance par rapport aux termes novlangues que les médias essaient de faire avaler.

    Ensuite que tu aies développé une sensibilité différente par cette proximité des femmes n’a pas fait que tu te sois mis à reluquer les culs des mecs. Alors basta avec ces idées de faux hétéro ou d’homo refoulé. Surtout que si l on excepte les cas exhitionnistes qui se pavanent dans le Marais, ce sont bien souvent ceux qui le paraissent le moins qui en sont pourtant (et alors quoi ? On appellera ces gens des hétéros refoulés ? Des faux homos ? Foutaises !)

    Et d’ailleurs, les homos, ca n’existe pas, je veux dire par essence. Il y a des comportements homosexuels, mais tant qu un mec n a pas eu une attirance pour un autre mec, il n y a pas de comportement homosexuel. Donc pas d’homo, ni refoulé, ni inconscient, ni quoi que ce soit entre psychanalyse et beauferie. Simplement un type qui n agit peut être pas tout à fait selon la norme masculine actuelle dans d autres domaines que sexuels – parce qu encore une fois, tout n est pas sexuel non plus dans cette vie, enlevez-vous les délires freudiens du crâne.

  • Et merde, je suis un faux hétéro … Et Maurice, ça ne veut pas dire que je suis secrètement attiré pas les hommes … ça n’est pas du tout le propos de Stéphane. ça veut dire que j’ai été élevé par ma mère, que j’ai fait des études de Lettres, que j’exerce un métier avec une forte présence féminine et que naturellement, je suis super à l’aise avec les femmes … qui ont toutes la fâcheuse tendance à m’appeler « Chouchou » … Super ! Alors petite nuance, lorsque j’ai passé 1 an dans la Marine je me suis aussi senti bien dans cet univers de camaraderie très masculine et non Maurice, je n’ai pas « croqué la biscotte » ! Bref … Stéphane, tu m’as cloué.

  • Moi je ne comprends pas l’affirmation «on devrait tous rencontrer des femmes de notre niveau, ce serait la meilleure motivation à l’augmenter régulièrement»… Niveau de quoi..? Niveau sur l’échelle sociale ? Niveau dans le « game » ?

  • Pour l' »homo refoulé », absolument pas d’accord. Je n’aime pas cette catégorie issue de la psychanalyse qui ressort pour moi du concept proprement pénible, comme bien des concepts psychanalytiques.

    Pourquoi voudriez-vous qu’il en vînt à préférer les hommes ?

    Par contre, c’est peut-être quelqu’un qui ne se remet pas d’un coup de massue amoureux passé et qui se trouve en position de déçu perpétuel de laquelle il n’arrive pas vraiment à se défaire, car aucune n’est comme celle qu’il a connu. Ou plus prosaïquement encore quelqu’un avec un tout petit appétit sexuel, il paraît que cela existe.

    Bref, je ne rangerais certainement pas cette catégorie de personnes dans la catégorie homo.

    Je vais continuer ma réflexion sur le forum…

  • Marrant, parce qu’au début du « gros bosseur », je trouvais que ça ne collait pas avec ma situation, et pourtant si l’on retire certains éléments décrits qui ne cadrent effectivement pas, les solutions citées tombent au millimètre !

    Notamment dire oui aux sollicitations qui m’arrivent souvent au travail (mais en tant que « gros bosseur », la tête dans le guidon…)

    Ça me rappelle une cliente qui avait l’age de ma mère et qui n’arrêtait pas de me solliciter pour n’importe quoi (enfin surtout pour ma pomme), je sais pas si c’était pour elle ou pour la nana qui était soit sa fille ou la copine de son fils présent ce jour-là, mais elle avait fait la remarque que je tirais la tronche (concentré que j’étais par le travail à faire)

    Révélateur

  • Le 4 fait mal (et sent un peu le règlement de comptes), et le 5 fait montre d’une empathie humaine certaine et rare, en particulier sur la dernière phrase :
    « personne – aucun ami – ne l’aimera ni ne le détestera assez pour lui mettre devant les yeux la réalité de ce qu’il est. »
    Je ne suis pour l’instant dans aucune catégorie, je continue de croiser les doigts.

    Pour la remarque de Reza et Stéphane, je rappellerais Hank Moody :
    « And 3, while I’m down there it might be nice to see a hint of pubis. I’m not talking about a huge 70’s Playboy bush or anything. Just something that reminds me that I’m performing cunnilingus on an adult. »
    Mais je ne dois pas être encore assez écrivain pour ça ;)

  • @Reza : je préfère les gazons peu ou pas tondus, personnellement, et j’aimerais bien qu’on soit plus nombreux dans ce cas là ;)

  • Peut-on cataloguer les consultants Michael Page qui travaille vers chez moi dans la catégorie : Gros Bosseur ?

  • En 5, le gros bosseur peut aussi visiter de temps en temps des musées et des parcs/jardins publics. Et surtout, en laissant son ordinateur portable à la maison !

  • Bonsoir,

    Je suis d’accord avec tout ça, néanmoins j’ai une petite précision à apporter sur la vie professionnelle.

    Dans la période de stage/alternance de fin d’études, n’êtes vous pas d’accord qu’il faille passer par une période d’investissement dans son travail pour se démarquer et se faire sa place?

    Dans mon cas ce fut cette année, je devrais avoir à la clé un job épanouissant où je travaille sur de nombreuses problématiques avec de nombreuses personnes.

    Puis c’est quand même en ayant un certain niveau de vie qu’on peut s’acheter des habits de qualité, manger dans de bons restaurants, voyager, développer ses qualités humaines (dans mon cas je suis plus à l’aise à l’oral, j’ai plus de confiance en moi, une meilleure élocution, du charisme… et un statut social!)

    Après je parle pas de 21h tous les soirs, mais 9h 18h30 – 19h ça me parait pas si terrible!

  • « L’avantage du recul, c’est l’expérience. Et l’expérience consiste d’abord, avant de se la péter, à savoir compter : compter les successions de coïncidences, qui portent d’ailleurs un nom : les récurrences. »

    En 4 lignes, dès le début, tu viens de tout conceptualiser sur le thème de « qu’est ce que l’experience ? ». Merci, c’est le genre de phrases qui faut dire à ses gosses ça.

  • haha très juste …

    j’aurai tendance a fusionner le no-life avec le manager compulsif-cadresuperieurparisladefensejadorelesteambuildings.

    ce sont finalement deux facettes de la meme nolife-itude: ceux qui sont completement a coté de ce qui interesse les femmes…

    Je terminerai par la citation d’un milliardaire US et grand entrepreneur dont je ne suis plus sur du nom, qui disait en gros « A partir du moment ou un businessman consent a organiser des réunions avec des petites bouteilles d’eau pétillante à intervalles reguliers de 80 cm sur tables blanches, à organiser des courses de karting pour motiver son equipe ou jouer aux légos entre collègues pour comprendre les problématiques de son entreprise, je ne donne pas cher ni de sa vie professionnelle, ni de sa vie personnelle »

    et je rajouterai que moi je verrai bien sa femme jouer avec des sextoys a la maison, manipulés par le jardinier qui était de passage pour tondre le gazon (sans jeux de mots)…

  • Je n’ai pas des amis mais des connaissances comme cela. A noter que le « total business man » existe aussi en version « total business woman »… Avocates et Auditrices, bonjour !

    Pour le gros bosseur, c’est un peu un problème Français ou on est jugé au temps passé à travailler et à être bien docile. D’abord à l’école puis en stage puis au travail. Il y a des pays ou lorsque l’on sort à 21h c’est qu’il y a un problème d’organisation dans la boite.

    Sinon de manière générale, je trouve que depuis quelques temps Spikeséduction est très axé sur l’impact de notre mode de vie plus que sur la pure séduction et je trouve que c’est très intéressant. Je suis au chômage depuis peu et je dois dire que c’est l’occasion de réfléchir à ces problématiques qui ont plus d’impact que ce que l’on y pense a priori.

    Vivement la suite !