Après les sous-doués de la drague, les surdoués. Ou comment devenir un grand dragueur. Attention : amoralité présente à haute dose, mais gifle de réalisme garantie.
Toute analogie avec votre duo d’articles préféré (7 raisons de sortir avec une fille Russe et 7 raisons de ne pas le faire) ne serait pas une coïncidence !
Comment devenir un grand dragueur ? Les 7 profils qui ont tout compris
7. L’homme célèbre, riche ou puissant : le grand dragueur par excellence
A l’opposé sur l’échelle de l’attirance de notre bon vieux geek-nolife-nerd-etc., l’homme célèbre riche et puissant, fût-il petit et laid comme Sarkozy dont l’ex-femme racontait qu’il ne se passait pas 1h sans qu’il reçoive une ou plusieurs propositions féminines équivoques, n’a rien à faire pour séduire, sinon disposer, saillir et jeter.
Et la dimension symbolique de son pouvoir servant de parfait substitut à ses performances réelles en matière de sexe et de séduction, il peut se permettre de se comporter comme un vrai connard dans des proportions absolument inimaginables au commun des mortels (rapports « hygiéniques » à éjaculation précipitée et à tendresse nulle, qui avaient valu à Mr J. Chirac son surnom de « 5 minutes douche comprise »), dans des chambres d’hôtels réservées à cet effet par les fonds spéciaux de la république, où l’or côtoie la pute qui dort.
Se comporter comme un connard, donc, et pour l’instant sans aucun risque de départ de celle qui se fera appeler plus tard, dans son probable livre, la « victime consentante ». Consentante à quoi ? A tout (sadomasochisme, bondage, etc.), ce qui contribuera à lui conserver l’usufruit du confort, du luxe et de l’oisiveté à laquelle sa vie est désormais dévolue. Comme une certaine héroïne de 50 shades of grey, dont les femmes aiment à m’expliquer que si elle consent à se faire fist-fucker, c’est « par amour », bien que cet argument ne soit jamais avancé, ni le mot prononcé, tout au long du livre que j’ai pourtant lu en intégralité.
Pour notre homme de pouvoir, donc, le seul véritable risque est ailleurs : préserver la façade d’harmonieuse relation avec son épouse officielle (bonjour Mme Sinclair, où est Dominique aujourd’hui : ah c’est étrange ces deux bosses qui vous poussent sur les côtés de la tête), mais surtout éviter les paternités non désirées, souhaitées corps et âmes par les « victimes » dans l’espoir non vain de tous les chantages financiers les plus sordides (Rachida Dati, Prince Albert de Monaco, etc.).
Chantages devant lesquels ils posent systématiquement genou à terre si la fille a eu l’intelligence de se faire prendre son petit … avant ses 18 ans révolus (bonjour mlle Zahia), mettant ainsi loi et juge de son côté et extirpant au « satire » (généralement un sportif pro, seul à pouvoir être aussi con) une pension suffisante à lui racheter, à défaut de sa pureté et de sa vertu, la vague sensation d’infini que seul donne le luxe quand celui-ci est vertigineux.
7 bis… et sa variante, l’héritier
Variante de la catégorie précédente car jeune pousse n’ayant pas encore totalement moissonné la récolte de ce que ses parents ont semé, l’héritier de bonne – c.a.d grande, c.a.d riche – famille n’attend paradoxalement pas pour enchaîner les amitiés et les conquêtes intéressées.
Et à l’instar de notre précédent milliardaire, il peut aussi (mais dans une moindre mesure), se comporter comme un ingrat, jaloux, dépressif et rancunier, bref un véritable enculé, sans trop de risque de se faire lâcher par tout le monde : l’anticipation – toujours plus proche – du moment où le notaire, avec ses petits yeux gras et bilieux, signera le transfert de tous les biens parentaux (surtout la maison, accessoirement le bateau) à son privilège tenant lieu de d’excuse à des comportements qui n’en mériteraient pourtant pas, et solidifiant des « amitiés » qui n’en ont que le nom.
6. L’artiste
Catégorie délicate car jouant sur une grande ambiguité sociale (vie basée sur l’accomplissement personnel et la prise de risque, en apparence tout du moins car presque toujours « backupée » par une situation parentale privilégiée qui, seule, autorise le luxe de choisir un métier à la rentabilité si incertaine), le cerveau artiste, qui promet beaucoup sans se soucier de tenir, a toujours son petit succès auprès de celles chez qui les rêves tiennent lieu de réalité.
Presque toujours promis à une vie de bohème, il doit généralement son existence à l’héritage d’un grand loft familial en banlieue de Paris ou d’un appartement Romain avec terrasse sur le toit dans le quartier du Coliseo (voir La Grande Bellezza), que sa famille aura eu l’intelligence de lui léguer en toute discrétion, lui permettant de prolonger le doute sur l’origine de ses revenus et donc de garder la face dans un milieu où, de toutes façons personne ne peut dénoncer personne car tout le monde a fait de même.
5. Le serial killer
Beaucoup plus surprenant, le gangster, meurtrier, etc. qui depuis sa prison reçoit des demandes en mariage d’inconnues dont on pourrait légitimement penser qu’elles sont complètement déboussolées mais dont le nombre toujours croissant incite à la prudence : quand le déboussolage est aussi nombreux, il convient d’admettre qu’il rejoint la norme. Ou la contient.
Je pourrais ici me risquer à une analyse mais qui me vaudrait bien trop de foudres féminines pour ce qu’elle me rapporterait (les hommes entre eux n’étant ni particulièrement communautaires ni particulièrement portés à toute forme de gratitude, ils me regarderaient bien sagement me faire saigner sans jamais prendre la plume pour me défendre).
Bornons-nous donc simplement à constater ce qui existe : un fou dangereux emprisonné à vie pour meurtre ou pour viol reçoit plus de déclarations d’amour et de désir qu’un employé de la poste, qu’un électricien ou qu’un surdoué. Et pour l’analyse, à vous de prendre le risque de vous faire défoncer par les chiennes de garde et assimilées, dans la rubrique commentaires. Moi j’ai assez donné, maintenant je vous regarde.
4. L’observateur
On rentre dans la catégorie des normaux, certains diront qu’il était temps.
Les gens aimant toujours plus réagir aux idées des autres qu’en avoir eux-mêmes, l’être doté d’un véritable et beau sens de l’observation – propre à lui conférer d’infinis sujets de conversation – n’a généralement que peu de mal à attiser et nourrir la curiosité d’autrui.
Généralement intelligent d’une façon ou d’une autre (intelligence manuelle, sociale, logique, etc.), l’humain observateur dispose généralement d’une capacité d’apprentissage supérieure à la moyenne (normal : il apprend de tout) et d’une autonomie qui peut aller jusqu’à une totale indépendance.
Doté d’esprit, il est également difficilement manipulable, sa mémoire lui rappelant toujours tel ou tel détail observé auparavant qui confirme ou infirme les tentatives de son interlocuteur de l’assujettir.
Bref, en séduction comme ailleurs, l’être observateur s’en sort toujours, à condition qu’il résiste à la tentation du « revers de la médaille », à savoir confondre observateur et rêveur. Car le rêveur, lui, depuis le balcon de son univers imaginaire moulé sur les plans exacts de son propre cerveau, n’arrive généralement jamais à rien.
3. Le charismatique
On peut reconnaître l’immense difficulté à définir le charisme tout en admettant que, de facto, il existe des gens beaucoup plus charismatiques que d’autres. De la même façon qu’il existe des regardants et des regardés, des leaders et des suiveurs, et que les 2 espèces coexistent tout en ayant besoin l’une de l’autre mais sans jamais se confondre ou se mélanger durablement.
Le charismatique peut agacer, énerver, il peut même horripiler parfois, mais il n’a jamais besoin de conseils pour séduire. C’est ainsi. Et ça le range d’emblée à la troisième position de notre liste. Aussi agaçant que ce soit pour ceux qui ne le sont pas.
A ce propos, j’ai une solution pour vous, pour devenir charismatique.
2. L’affranchi
La timidité étant essentiellement l’incapacité à se soustraire au regard et à la validation d’autrui, l’affranchi (des conventions) mérite d’emblée sa place tout en haut (ou plutôt tout en bas, celle-ci étant inversée) de notre liste.
Capable de braver les opinions de son entourage au profit de la sienne propre qu’il sait juste, il saisit sans vergogne les opportunités que les immobiles laissent passer, s’octroyant au passage toute leur admiration.
Profiteur sur les bords, on ne peut lui retirer le mérite d’une bravoure certaine. En tous cas il n’a pas volé sa place de numéro deux sur la grille. Il a même frôlé la pole.
… et sa variante, l’homme-enfant
Sorte d’affranchi « à l’envers », l’homme-enfant, délivré des obligations de respectabilité envers la société et riche d’un univers intérieur généralement fascinant (fût-il fascinant de connerie, comme c’est souvent le cas) entraîne facilement dans son sillage celles qui en sont totalement dénuées. C’est à dire l’immense majorité.
Egoïste, changeant et buté, sa capacité à sourire, surprendre et à désarmer désarçonne les armures les plus vérouillées.
Il fait notamment des merveilles dans la rue, quand il s’ennuie trop.
And the winner is…
1. Le généreux
Comment devenir un grand dragueur ? Apprenez déjà à les reconnaître, ces grands dragueurs :
- tous ceux qui savent provoquer le destin,
- ceux destinés aux aventures les plus mémorables (intellectuelles, sensorielles ou charnelles),
- tous les hommes qui ne se contentent pas d’aimer les femmes (80%), mais qui veulent les connaître (moins de 10%),
- les hommes qui aiment les femmes qui aiment les hommes,
- ceux et celles qui vivent de leur chance,
C’est bien cet unique trait de caractère, au delà duquel tout le reste diffère au point de devenir indifférent :
1- Les « grands dragueurs » sont juste des gens très séduisants.
2- Les gens séduisants donnent bien plus que les autres.
3- Et notamment bien plus que vous.
Le caractère humain (et donc féminin) se résumant, pour ceux qui acceptent la réalité telle qu’elle est au lieu d’y projeter l’image qu’ils ont derrière la tête, en une mare d’égoïsme (rationalité limitée à la poursuite de leurs propres intérêts et ceux de leur cercle, à l’exclusion de tout autre), dont surnagent des ilots d’altruisme, l’essentiel du travail de séduction consiste donc :
- ni à jouer un simili-« jerk » en caoutchouc, sur la base de conseils et d’exemples trouvés sur des sites pathétiques (livemylive-bynight, top-gun-baise, toufik-seduction point fr, etc.), dont la seule vue du propriétaire des lieux, probablement reconverti aujourd’hui dans le web-marketing aujourd’hui et la chemise parme à col haut et gros boutons carrés, aurait dû vous pousser à vous interroger sur votre propre lucidité, au lieu de l’écouter servilement dans l’espoir d’y puiser la toute dernière « phrase d’accroche » qui vous manquait pour (croyiez-vous) venir à bout de votre timidité (et ne me dites pas que vous ne l’avez jamais fait, je ne compte plus le nombre de lecteurs chez qui figure, dans l’onglet favori du navigateur, spikeseduction mais aussi tous les sites de séduction plus cons les uns que les autres, sans que cette coexistence leur paraisse anormale le moins du monde)
- ni à tenter de manipuler les filles pour mieux les circonvenir, sur la base de ce que vous croyiez avoir compris de la connexion émotionnelle, au travers d’articles gratuits ici et sur Internet, mais bien sûr sans jamais avoir fait d’atelier (pensant, à tort, que l’essentiel se trouvait gratuitement en fouillant quand c’est en réalité c’est le contraire : si nous vous donnons autant d’éléments gratuitement, alors imaginez la richesse de ce qu’il y a en plus en venant nous rencontrer en séminaire ou en atelier)
- ni à se fixer pour seul objectif l’accès à la pénétration (unique) de leur corps par ses parties les plus charnues, confondant ainsi le voyage et la destination, étrangers qu’ils sont à toute forme de connexion sexuelle
… essentiel du travail de séduction qui consiste donc à donner de la patience, de l’attention, de l’humour, du confort, de l’initiative, des sensations, de la surprise, du plaisir et, in fine, si elle le mérite, de l’amour sans (trop) vous préoccuper de l’équilibre de l’échange, c’est à dire en acceptant que vous ne serez jamais vraiment payé de retour au centime près, mais que malgré tout il n’existe nulle autre voie, nulle autre conduite à tenir, nul autre caractère à forger que celui de s’entraîner au don vaguement désintéressé.
Stéphane
Crédit photo : Hannes Engelbrecht
- Osez aborder les gens qui vous intéressent
- Consolidez les relations et épanouissez-vous en couple
- Décodez la psychologie féminine comme un livre ouvert
- Osez aborder les gens qui vous intéressent
- Changez de vie et exploitez votre potentiel
- Ayez confiance en vous pour oser plus
- Décrochez enfin ce que vous méritez
- Assumez et développez votre masculinité
- Terrassez la timidité à grands coups de poings dans la g.
« Bonjour, je suis une jeune fille de 15 ans. J’habite La Roche-en-Ardenne. Vous m’avez toujours fascinée. Vous êtes une personne connue. Quand je vois vos belles photos, je ne peux que croire que vous êtes honnête », écrit une jeune fille dont la lettre a été saisie par l’administration pénitentiaire. « Voulez-vous correspondre avec moi? Si tu veux, je peux envoyer ma photo », ajoute-t-elle.
« un fou dangereux emprisonné à vie pour meurtre ou pour viol reçoit plus de déclarations d’amour et de désir qu’un employé de la poste, qu’un électricien ou qu’un surdoué. »
Voici une illustration de ce phénomène « étrange » avec l’un des plus fous fous dangereux de ces 25 dernières années:
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Des-ados-fascinees-ecrivent-a-Marc-Dutroux-1807403/
Très bel article qui met tout à fait en valeur cette valeur inégalable qu’est le désintéressement. On touche l’essence même de la séduction : ni enjeu ni attentes. Simplement le plaisir de partager.
@Steve : lequel de ses livres conseilles-tu ?
Le serial killer: laissez un autre Stéphane vous expliquer pourquoi.
Stéphane Bourgoin
A la lecture de cet article (quelques jours après en fait), ce que je me demande c’est ce que va devenir ce site dans 5 ans, maintenant que j’ai vu, lu ce qu’il est devenu depuis ces 5 dernières années. Aux « débuts », le conseil essentiel était « get a life » (je crois) et maintenant on est passé au don, qui contient le précédent et le dépasse. Alors, qu’aura-t-on dans 5 ans?
Apte, et a priori quelques atouts dans ma besace ; à moi d’exploiter !
Mais la catégorie 1 m’a fait penser à cette phrase de César (Pierre Mondy) dans Kaamelott :
« Des chefs de guerre, il y en a de toutes sortes. Des bons, des mauvais, des pleines cagettes il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un. Exceptionnel. Un héros. Une légende. Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun ? Tu sais ce que c’est, leur pouvoir secret ? Ils ne se battent que pour la dignité des faibles. »
Les catégories sont très juste, mais…j’attends avec impatience l’article qui mixera ces profils avec ceux des inaptes à la séduction ! Car rien n’est tout blanc tout noir, et j’ai déjà croisé :
– des gros bosseurs généreux
– des enfoirés observateurs
Pour rire, pourquoi ne pas monter un test psycho à la Marie-Claire ? « découvrez votre profil séducteur » :D
Par exemple, je ne serais pas surpris de découvrir que mon profil est 10% faux sympa, 10% robot, 30% gros bosseur, 15% observateur, 10% affranchi, et 25% généreux.
A refaire 1 an plus tard pour observer l’évolution (ma plus grande peur est ma robotisation toujours plus forte, à force de lutter pour mon affranchissement).
En bonus: faire faire des illustrations de ces profils par un designer pour mieux mémoriser les profils et rendre ça ludique. Ca se prêterait même à la création de cartes à jouer, un jeu unique dont le thème principale est la séduction…
@ Kais.
Apprenez donc à faire la différence entre la qualité de mon argumentation et de la vôtre et revenez discuter. (Indice : comparez la longueur de nos interventions).
Ou pour le dire autrement, si je suis absolument intéressé par un point de vue opposé au mien sur cette question comme sur d’autres, cela ne peut être qu’avec des arguments sérieux basés essentiellement sur des faits, et non par des phrases à l’emporte-pièces qui ne doivent convaincre que vous, et encore…
« Beaucoup plus surprenant, le gangster, meurtrier, etc. qui depuis sa prison reçoit des demandes en mariage d’inconnues, … »
C’est un fait avéré. Entre autres exemples, Richard Ramirez qui lors de son procès, avait un fan club de groupies. Les détails sur ce site : http://tueursenserie.org/spip.php?article20&decoupe_recherche=richard%20ramirez&artpage=2-2
@maurice plus royaliste que le roi, il s’avère que l’idéologie qui ressort de ton analyse est au poil de cul de belette près celles des isabelle alonso caroline fourest et autre chiennes de garde, en gros l’idéolgie dominante
J’adore… aussi bien le fond que la forme ! Vivement la suite ;)
Je me porte totalement en faux avec les explications de Kais et ses « instincts archaïques de mort et de destruction, une fascination pour la violence et le chaos dont les hommes sont prémunis ».
Jusqu’à preuve du contraire, ce sont les hommes surtout qui font la guerre, ce sont surtout les hommes qui sont serial killer, ce sont surtout les hommes qui chassent (pour en revenir à l’archaïsme), ce sont surtout les hommes qui tuent en abattoir, ce sont surtout les hommes qui sont bourreaux, ce sont surtout les hommes qui vont mater des films ultra violents au cinéma et en sont bel et bien fascinés.
Ce qui fascine pour la femme à mon sens dans le personnage du psychopathe (et d’ailleurs, nombre de politiques, de chefs d’entreprise etc sont des psychopathes – il y a 2% de psychopathes dans la population selon le DSM V), c’est le Mystère Masculin de la Bête brute et du Pouvoir – et la testostérone joue manifestement un rôle dans ce processus. Mais en soit la femme n’est absolument pas fascinée par le sang, les organes qui giclent, les agonies cruelles… Elle en est en même temps moins dégoûtable que les testéronés, puisque pour être dégoûté d’une chose il faut l’avoir goûté, ce qui fait qu’elle est apte à avoir la distance nécessaire pour être infirmière.
Contrairement à ce qu’on croit à Paris, où les femmes ont une féminité plus travaillée, plus polie et peut-être plus pervertie, le prestige de l’uniforme reste vivace en Province… mais jamais elles n’iraient accompagner leurs hommes pour voir comment ils réduisent en pâté pour chat tel ou tel énnemi.
Le Président de la République dont Stéphane nous parle, c’est un serial baiseur. Comme tous les psychopathes, il prend, il jouit, il jette. Tolstoï était ainsi d’ailleurs (autrement dit, dans la vie réelle, le contraire du personnage qu’on lui prête au travers de ses livres !). Mitterrand était un manipulateur hors pair (le Sphinx était son surnom) qui aurait fait un merveilleux escroc. Sarkozy n’est pas mal dans le genre non plus, mais laisse trop voir son caractère psychopathe et son goût pour le luxe.
Entre le « serial killer » et le « puissant », il y a juste sans doute une question de degrés, les deux se sont donnés de moyens de jouir sans entraves et de quoi satisfaire leurs désirs. Mais tous se donnent à fond dans les moyens qu’ils ont à leur disposition, légaux ou pas, pour parvenir à leur fin.
***
La distinction entre observateur et rêveur est fondamentale, et la frontière poreuse entre les deux, parfaitement pertinente.
Je sens qu’il va y avoir du Soral pour les trois premiers. :)
Les tueurs en série, les psychopathes et les meurtriers en tout genre réveillent chez la femme des instincts archaïques de mort et de destruction, une fascination pour la violence et le chaos dont les hommes sont prémunis grâce à ce qu’ils possèdent entre les jambes qui contrairement à ce que tout le monde pense fait qu’elles sont plus cruelles que nous et redoutablement plus efficaces dans leur ruse.
Les tueurs en série, les psychopathes et les meurtriers en tout genre réveillent chez la femme des instincts archaïques de mort et de destruction, une fascination pour la violence et le chaos dont les hommes sont prémunis grâce à ce qu’ils possèdent entre les jambes et qui contrairement à ce que tout le monde pense fait que les femmes sont plus cruelle que nous et redoutablement plus efficace dans leur ruse.
ces personnes ne font rien pour draguer. leurs « succés » n’est que la conséquence du coté vénal présent chez beaucoup de femmes (lien direct avec l’idéologie de la modernité).
ce genre de femmes c’est du one-shot, aucun mec équilibré n’irai imaginer sa vie avec. Sarkozy, DSK, Chirac ou dutroux peut etre.
Ouch ! Article pour le moins couillu.
Ca me rappel la claque que j’ai pris la première fois que j’ai ouvert Sociologie du dragueur.
Merci
Stéphane serait-il un descendant de Balzac ? Une piste à suivre… Bravo !
C’est pour lire des articles comme ça que je viens sur le site !
Elle va être génial cette série. Vite la suite!
Enormissime, saisissant de réalisme.
Je pourrais mettre le nom exact d’ une « connaissance » sur ce premier portrait.