L’homme est ainsi fait qu’il préfère souvent de petits contes consolants aux vérités blessantes de l’expérience. Du chanceux qui gagne au loto, à la belle amoureuse d’un clochard, loin d’être innocentes, certaines fables collectives ont condamné des générations au malheur et à la désillusion. En matière amoureuse, le mythe le plus nuisible mais aussi le plus solidement ancré dans les consciences masculines est certainement l’opposition séculaire entre la sainte et la pute. Aussi appelé syndrome de la maman et la putain. Je dirais même que c’est une sorte d’équivalent féminin du Prince Charmant. J’avoue n’avoir que peu d’espoir de vous convaincre de ce que je m’apprête à avancer mais si je n’en converti qu’un, j’aurai déjà rendu un grand service à l’humanité ! (Je suis une fille modeste)
La maman et la putain, c’est dans tes rêves avant tout
Dans vos rêves, la population féminine se divise en 2 catégories (en oubliant les moches souvent abstinentes par défaut) :
La putain
Qu’elles s’affichent clairement (robe rouge et canines de hyène sauvage) ou masquent leur stupre sous les apparences de l’honorabilité, ces femmes sont des manipulatrices avides de sexe et d’argent aussi dénuées de moralité que de poils au pubis. On les reconnait aisément au nombre de leurs conquêtes et à la facilité avec laquelle elles passent en position horizontale.
Bien sûr, aucune fidélité ou douceur à attendre de ces pècheresses : non contentes de tromper systématiquement les pauvres hères tombés sous leur charme, elles jugeront sans complaisance vos performances sexuelles et la taille de votre pénis (car elles en ont vu passer d’autres, les petites cochonnes !).
La maman
Visage angélique et âme délicate, la pure est un oiseau rare dans ce monde perverti. Vêtue de coton blanc et timide par nature, elle seule est capable de sincérité et d’amour. Vierge ou presque (seulement 1 ou 2 relations très sérieuses), elle est le Graal de l’homme moderne qui trouvera en elle compréhension infinie et adoration éternelle. Inexpérimentée, la jolie sera, en effet, en pamoison (à peu de frais) devant votre exceptionnelle maturité et vos talents d’amant. Mentor généreux, vous la guiderez vers des pratiques plus exotiques qu’elle acceptera avec pudeur, uniquement parce que vous êtes le chevalier de son cœur (car, paradoxalement, personne ne veut d’une fille coincée). Je caricature, évidemment, mais avouez que vous êtes nombreux à fonctionner avec ce type de dichotomie binaire. Une fille bien, pour beaucoup (femmes comprises d’ailleurs) est une fille sexuellement peu active.
Je trouve, personnellement, qu’il y a quelque chose de dégoutant à juger de la valeur de quelqu’un à l’aune de son « utilisation » comme si on parlait d’une voiture ou d’un téléphone portable. Vous me direz que le passé de quelqu’un laisse présager de son futur. Je n’en suis pas convaincue mais, dans l’hypothèse où cela est vrai, êtes-vous alors sûrs qu’un tel profil psychologique promet forcément fidélité et sincérité ? Je dirais pour ma part que c’est à peu près l’inverse.
Et la réalité
Pour connaître l’ennemie de l’intérieur (et donc avoir une idée précise de qui trompe qui), je peux vous dire que vous avez 20 fois plus de chance de finir en mille morceaux avec une petite sainte-ni-touche (quel que soit son âge) qu’avec une séductrice aguerrie. Pourquoi ?
De la putain et la maman, c’est la séductrice la plus fidèle (et oui)
Plusieurs raisons à cela :
- Premièrement, « La souffrance d’autrui est chose qui doit s’apprendre » (Nietzsche). Aussi évident que cela puisse paraître, peu de gens ont conscience que la compassion et le respect pour l’autre s’acquierent en constatant concrètement les conséquences de ses actes et la souffrance que l’on a causée. De ce point de vue, la jeune
innocente est bien plus encline à l’infidélité : elle la commet sans perspective, avec l’insouciance des enfants qui torturent en s’amusant.
- Deuxièmement, qui dit inexpérimentée dit souvent manipulable (laquelle de la maman et la putain est la plus manipulable à votre avis ?). Adolescente, j’ai le souvenir d’avoir rompu plus de 8 fois avec un garçon avant de parvenir à mes fins. Chaque fois, je subissais un lavage de cerveau en règle où il me démontrait par A+B que je n’avais aucune raison de le quitter et, qu’en somme, il ne s’agissait que d’une lubie hormonale ou d’un moment de folie passager et, chaque fois, je cédais… Tout ça pour dire que les relations amoureuses sont également un apprentissage difficile pour une femme. L’enjeu n’est évidemment pas le même : il s’agit surtout, de notre côté, de savoir clarifier une situation rapidement et de ne pas se laisser entrainer dans une spirale d’attouchements non désirés. Vous retrouverez ainsi souvent l’oie blanche en pleurs, expliquant avec toute la bonne foi du monde qu’elle « ne voulait pas » comme si elle avait été la marionnette d’un complot ou la victime d’un pervers. Mais une fois que la trahison est là, dite adieu à votre couple, rien ne sera plus jamais comme avant. Au contraire, une routarde du sexe maîtrise depuis longtemps les petits jeux de séduction et il lui faudra bien plus qu’un bellâtre avec un peu de verve pour l’épater et bien plus qu’une soirée arrosée pour finir dans le lit d’un inconnu.
- Troisièmement, quelqu’un qui a l’habitude de plaire (donc, à votre avis, laquelle de la maman et la putain ?), sera forcément plus fidèle. De la même manière que les hommes séduisants sont rarement volages avec leurs relations longues, les filles qui se sont déjà prouvées de nombreuses fois leur pouvoir de séduction seront beaucoup moins tentées de le tester et d’en abuser. Elles savent que demain, si leur couple éclatait, elles n’auraient aucune peine à rencontrer quelqu’un d’autre et que plaire à un homme attirant n’est pas une chance rare et inespérée.
Nota bene : C’est d’autant plus vrai qu’elles ne se « casent » pas avec le premier venu et ont donc un intérêt beaucoup plus solide une fois en couple.
De la maman et la putain, c’est parfois la maman qui est le plus vénale
- Une séductrice (une « putain ») n’attend pas le Prince Charmant ; elle construit sa vie, gère ses problèmes et rencontre des hommes pour le plaisir, sans arrière-pensée de carrière maritale.
- La gentille fi-fille (une « maman »), elle, est bien souvent une « gentille assistée » qui voit dans ses amours la clé de son identité et le moyen d’être respectée. Beaucoup ont ce fantasme du papa Noël qui, non seulement la couvrira de cadeaux et de prestige mais, en plus, la sauvera d’une vie ennuyeuse.
Je sais que c’est choquant d’affirmer pareil chose mais quand une fille place sa valeur dans une sorte de label fraicheur, demandez-vous deux secondes comment elle se perçoit (une marchandise) et comment elle vous perçoit (un acquéreur). Entre la fille facile qui se donne gratuitement et celle qui exige un tribut, c’est à dire entre la maman et la putain, qui est vraiment la plus sincère ?
Prenons l’exemple de Sex & The City, série qui, au passage, m’exaspère au plus haut point mais qui cristallise et illustre à merveille beaucoup de fantasmes féminins.
- D’un côté, on a Carry, la fille romantique, sensible et un peu artiste qui cherche l’amour, le vrai. Bref, la maman.
- De l’autre, Samantha, séductrice et libertine qui évite à tout prix tout engagement émotionnel avec ses nombreux amants. Bref, la putain.
A la fin, ça donne :
- Carry, après s’être humiliée et avoir trompé Aidan (le seul mec bien et amoureux qu’elle rencontre), devient la poule de luxe de Big (l’archétype du connard qui bosse dans la finance). Le dernier épisode comporte d’ailleurs une scène complètement mythique (traduire par « écœurante ») où Carry atteint presque l’orgasme parce que Big lui offre un dressing géant… Sans commentaire.
- Samantha, elle, après des décennies de célibat assumé rencontre un homme de 20 ans son cadet qu’elle propulse star planétaire grâce à son agence de relations publiques. Cette relation purement physique prend une dimension bien plus profonde lorsqu’elle apprend son cancer, Smith se rasant la tête en signe de soutien …
Là encore, ce sont deux portraits dessinés au hachoir mais ils montrent bien l’hypocrisie du modèle idéaliste auquel s’identifie beaucoup de jeunes prudes.
De la maman et la putain, la sainte n’est pas celle que vous croyiez
Mon but n’est absolument pas de prôner la mort du romantisme ou d’attaquer mes consœurs un peu naïves mais de souligner le manque total de fondement de cette légende urbaine de la maman et de la putain. J’ai vu tellement de mes amis repousser des filles vraiment exceptionnelles pour un CV sexuel un peu trop chargé et je me dis souvent qu’ils cherchent peut-être en vain une femme qu’ils ont déjà rejetée.
J’ai, au contraire, la conviction profonde que les plus belles trahisons sont toujours commises dans une innocence effroyable. Il faut avoir bien festoyé pour aimer se reposer et avoir beaucoup voyagé pour savoir vraiment où l’on veut habiter.
Il ne s’agit pas, bien sûr, d’ériger la débauche en école philosophique car multiplier les partenaires sexuels, sans aucune découverte de l’autre, est plutôt, de mon point de vue, un appauvrissement qu’une source de réflexion. Je vous parle d’une certaine forme de liberté et d’indépendance que les hommes fuient à cause d’un mythe absurde, d’une croyance limitante.
De la même façon que l’idée d’un apprentissage de la séduction est décrié au nom d’une spontanéité illusoire, on voit partout portée aux nues une pureté ignorante qu’un simple examen révèle dangereuse et contradictoire. J’aurais appelé cet article Les soupirs de la sainte et les cris de la fée, si Stéphane ne m’en avait pas empêché.
Diane
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Moi j’ai trouvé ma femme 22 ans dans un bordel espagnol, nous nous sommes marié. une vie parfaite sexuellement et dans la vie de tout les jours.
A 35 ans elle m’a donné un enfant à partir de là je n’ai plus eu de relation sexuelle avec elle, j’étais bloqué et ce pendant 3 ans elle n’arrangait rien et me parlée très mal ce qui me paralysé au lit. Puis cet été elle m’a trompé avec un homme de 30 ans et m’a quitté pour lui.
J’ai vu un urologue qui après des examens cliniques m’a assuré que je n’avais point de problemes mécaniques et m’a aiguillé vers psycologue qui m’a dit que j’étais un cas d’école. ( entre une religion catholique en pensionnat, une relation amoureuse avec une pute qui devient mère par la suite) j’avais complètement tout mélangé et que j’avais besoin de me reconstruire. Voilà mon histoire et pour couronner le tout elle m’a laissé notre enfant de 3 ans.
Apprenons donc à aimer la putain qu’il y a en chaque femme … Ce côté qui lui confère cette aptitude intelligente à rebondir en cas d’adversité … Ce côté qui par ailleurs, si par malheur elle devenait mère et veuve à la fois, lui permettrait de continuer à aller de l’avant. Seule, mais juste le temps de pouvoir discerner ou discriminer le prochain »Mac » qui voudra devenir père et compagnon de vie … (Car il ne peut en être autrement : Histoire d’Amour entre une putain et un bad-boy en quelque sorte, un bad-boy qui aura su aussi évoluer et qui pourra prétendre à la fidélité d’une putain … Ego masculin oblige). Aussi, bibliquement, s’il elle a connu plus d’un homme, une femme n’est déjà plus une sainte (c’est ce que nous renvoi l’image de la sainte-vierge) . Et qui voudrait d’une sainte pour épouse ? Par définition la dévotion d’une sainte n’est ni pour son foyer, ni pour son homme, et par extension ni non plus pour sa famille … Mais pour le genre humain en général, sans parti-pris (donc pas un parti à prendre …).
(suite) Au final, aucune fille n’est parfaite et dans ses relations avec elles, il faudra composer avec ceci.
PS: Vous remplacez fille par homme et mon propos est le meme.
Diane a ecrit un presque bon article mais il se revele mauvais car pollue par la duperie argumentative utilisee pour soutenir son parti pris.
On ne casse pas un mythe par un autre mythe qui sied plus a notre subjectivite quand on veut donner son avis car cela revient a tromper son monde.
La partie « La realite » devrait s’appeler « tes reves » qui decrit le second mythe sur les filles saintes ou putes vehiculees par les societes occidentales modernes aux moeurs tres liberees. Il y avait donc deux mythes a detruire sur les deux types de filles.
Dans la realite, la sainte a connu au sens biblique du terme un chiffre de mecs beaucoup plus proche de dix que de un (les chiffres etant ici indicatifs). Du coup, elle a connu suffisament de mecs pour savoir ce qu’elle veut dans le domaine et/ou depasser la situation enfantine dans laquelle elle pourrait tout casser, emue par la satisfaction d’un interet masculin. On retrouvera dans ces types de filles, celles qui savent ce qu’elles veulent car elles ont une personnalite affirmee, celles qui n’ont pas besoin d’enchainer les hommes, celles qui plaisent peu aux hommes mais aussi celles qui pensent a tort que leur bonheur doit passer uniquement par un couple. Finalement pas que des filles parfaites mais bien terrestres.
Si la « pute » ou seductrice reelle n’est pas forcement l’infidele, la Jezabel du premier mythe, elle est tres loin d’etre la fille parfaite qui domine tout son monde comme le veut le second mythe dont elle est l’exemple de sa vacuite. En fait, la seductrice ne fait que demontrer son immaturite en croyant aux fantasmes de domination et de perfection qui sont l’essence de ce mythe, en etant incapable de s’engager dans la duree et en temoignant soit d’une meconnaissance de ce qu’elle veut soit de volontes irrealisables.
De plus, dans la vie reelle, elle papillonne avec des mecs qui lui plaisent mais pas aucun d’eux ne corresponde a ceux qu’elle veut car quand on tient ce que l’on veut, on s’engage donc elle demeure insatisfaite. Deuxiemement, ce besoin frenetique de plaire et d’enchainer est la preuve d’un manque de confiance en soi et de realisation de sa personne. Troisiemement, si rien ne dit mathematiquement que ce genre de femmes soient moins fideles, il y a quelques elements a charge contre elles. A passer son temps a vivre dans ses relations avec les hommes a l’oppose total de ce que suppose la vie en couple, on a pris des habitudes et cela devient tres difficile de savoir non seulement etre fidele mais aussi vivre en couple au quotidien et c’est evident: plus on s’eloigne d’un point, plus le chemin pour y revenir est long et complique. Du coup, on retrouve dans ce groupe, les seductrices, les filles immatures qui ont besoin d’hommages masculins, celles qui savent la vacuite de ce mythe sont en cheminement personnel vers la maturite.
Au final, perfections dess le
Bien ficelé comme article…Mais le lieu de publication de celui-ci l’oblige à épurer certains concepts pour une lecture dédié à un publique large, je suppose.
Je pense aussi que c’est applicable aux hommes en réalité…
Des réserves sur la fin ou la rédactrice déffinie ses copines comme femmes « bien » ;-) Quels critères, permetent de l’affirmer?
Sex & The City est une abominablerie…Trufée de clichés, je suis d’accord…
Lexpérience mène effectivement à des bon point:-)
Sous réserve qu’une succession d’expériences sexuelles ne soient pas issu d’un besoin frénétique de validation de soi ou d’autre pathologies.
Mais de toute façon une femme déséquilibré ce trahie rapidement en générale ;-)
Un article qui cherche à renverser la « doxa » mais qui n’y parvient pas. L’éloge, à peine avoué, de la « routarde du sexe » est non convaincant. Des clichés phares, certes souvent « paradoxaux », s’accumulent et ne dessinent rien que les contours d’un néant conceptuel.
C’est vulgaire, odieusement simpliste, et pour ce que j’en ai lu actuellement, indigne de la qualité du site. Spike a pourtant une autre tenue…
Vraiment… je suis stupéfaite. Chacun a sa façons de voir le monde c’est certain. Mais voyez-vous, je me situe plus parmi les saintes et pourtant sa ne veut pas dire que je n’ai point eut d’expérience… Comme s’il l’envie allait me reprendre aujourd’hui de tromper ou quoi que ce soit… j’ai eut le peu d’expérience et ce fut largement suffisant ! Oui j’ai cherché à séduire mais sa n’a pas durer longtemps et j’ai toujours été calme comparer à d’autre… Alors pourquoi dire qu’il faut se méfier de ce genre de femmes ? Mes amies aussi sont respectueuses de leurs partenaires et j’en connais de tous les âges (de 20 à 50) et elles n’ont pourtant point été des sautes moutons. Nous ne sommes pas toutes pareilles au fond de nous-meme, nous n’avons pas toutes les mêmes aspirations… Néanmoins, ce texte peut être valable pour les jeunes personnes durant leurs passages à l’âge adulte – plus ou loin. Je doute fort qu’aujourd’hui nous puissions faire des généralités dans notre société humaine. Il est indéniable qu’on ne puisse mettre des gens dans des cases ? Et, pourquoi ? parce qu’on se trompe… oui, on se trompe. Il y aura toujours des gens hors cases, toujours des gens à part. cet article souligne peut être une certaine forme de généralité… certes mais cet article est exactement équivalant d’un point de vue féminin envers les hommes et c’est vraiment dégradant de dire la catégorie pute ! SI elles veulent vivre à leur manière qu’elles le fassent mais qu’on ne les insultes pas ! Je ne suis pas une de ces féministes qui râlent à tord et à travers… mais un minimum de respect autant pour les hommes, les femmes et les gens qui ne nous ressemblent pas est nécessaire. Des hommes ont dirait quoi ? Des « Don Juan » ? Il est vrai, que sa ne fait pas longtemps cette liberté féminine dans notre société mais veuillez faire attention à votre langage. On pourrait dire courtisane ou que sais-je ! Nous pourrions dire des hommes des pervers sexuels… vous êtes tous des pervers ! es-ce juste parce que je l’ais énoncé et que je le pense ? Non, cet exemple démontre que c’est ma propre vérité si je le dis. alors ici, l’auteure a énoncé sa propre vérité mais sa ne veut pas dire qu’il n’en existe pas d’autres. d’ailleurs, de nombreux commentaires ci-dessus ont soulignés qu’il n’était pas tout à fait en accord avec ces idées de cet article.
@passant + 10
j’aime venir sur le site de spike lire régulièrement mais c’est vrai que avec le recul je me rend compte des montagnes que j’ai du soulever depuis le jour ou j’ai apris ce qu’etait un AFC et que j’en étais un.
Tout ces efforts, pour des meufs… y a pas de quoi etre vraiment fier vu comme ça.
@John Valjean
Mieux vaut lire Mademoizelle.com et ne pas avoir besoin d’un coach pour coucher avec des femmes que le contraire.
Non??
@Patrick +1000
j’ajouterais une chose, et c’est vraiment une aberration que je percute pas : l’exigence ENORME qu’on demande aux mecs dans les articles du site (lifestyle, investissement en centaines d’€, attitudes à adopter souvent contre nature, routines à « apprendre »..) et avec ca on pardonne rien aux mecs maladroits, on flingue ceux qui ont un avis différent.
Face à cela, on considère que les femmes sont ce qu’elles sont, autorisées à suivre leurs instinct (jugé infaillible pour nous éjecter nous les « gentils_loosers_maladroits »), bien entendu, elles n’ont RIEN à changer dans leurs attitude, et c’est A NOUS de nous adapter à leurs humeur bizarroïde.
j’ai envie de dire : pourquoi ? ou est la fameuse fierté d’être un homme? sommes-nous si obsédés que ca pour accepter de faire n’importe quoi juste pour tirer ? pourquoi ne pas renouer avec la solidarité masculine ? emmerdez les meufs et dire tout simplement « les meufs, ca fais chier, ca pue la pisse ! on est bien entre potes ! » d’autant plus qu’a part le sexe et les fameux FC, j’ai pas l’impression qu’on recherche une quelconque communion avec l’autre !!
Au secours, j’ai l’impression de lire Mademoizelle.com…
Et les filles normales? Et les hommes normaux (ce qui ne sont pas obligé de passer par un site internet et payer 1000 balles pour proposer à une fille de venir à la maison) ?
Si vous regardez les 20 derniers articles paru sur ce site, tous vous disent que si vous êtes un homme, à part si vous devenez le prochain Don Juan, toutes les filles vont se foutre de vos le restant de vos jours. C’est faux! Ne croyez pas cette propagande. Suffit de reussir sa vie et toutes les filles veulent de vous. Et si vous voulez coucher avec pleins de femmes une fois passé 25-28 ans , vous êtes sérieusement obsédés!
A plus,
Patrick
Hum. Un article qui se base beaucoup sur des opinionset un très mauvais films pour faire mal passer un message pertinent qui pouvait être véhiculé plus simplement.
Par ailleurs, je m’interroge sur le niveau de maturité de l’auteure quand je lis ceci:
» De la même manière que les grands PUA sont rarement volages avec leurs relations longues »
A moins que vous n’ayez des données sur ces « grands PUA » (sur quels critères l’est-on d’ailleurs), vous n’en savez rien, mais vous le dites parce que ça vous semble logique. Ce que confirme la suite:
« les filles qui se sont déjà prouvées de nombreuses fois leur pouvoir de séduction seront beaucoup moins tentées de le tester et d’en abuser. »
A ce stade, ce n’est pas une question de tempérament/comportement (séductrice) mais de confiance en soi (femme assurée). La façon dont cette confiance est acquise importe peu, et le comportement personnel également. Une fille pas séductrice peu assurée est plus sensible à la gratification égotique de l’intérêt masculi que la séductrice sûre d’elle. Mais il existe énormément de séductrices qui n’atteignent jamais le niveau d’assurance qui leur permettrait de se passer de vérifier l’intérêt que les hommes leur portent. Et ce, sans compter que séductrice peut également désigner celle qui se contente de l’attention (ce qui sous-tend son tempérament).
Je sais que le niveau d’exigence pour éclairer des mecs inexpérimentés sur Internet doit être faible, mais c’est quand même flou.
Désole de ne pas faire partie de l’unanimité ici présente, mais je ne suis pas d’accord avec cet article.
Qu’une femme est connue quelques relations avant d’être avec moi ce n’est pas bien grave, et même tout a fait normal de notre époque.
Qu’une femme est couchée avec beaucoup d’hommes avant d’être avec moi c’est un problème. Aucun homme au monde ne voudra avoir une relation longue avec une fille facile. Car qui peut garantir que pendant qu’on sera au boulot elle n’ira pas coucher avec le plombier ou le voisin ou son boss du travail ? Après tout, c’est une fille facile.
Désole Diane, mais pour les yeux d’un homme plus une femme a eu d’hommes dans sa vie et moins on voudra avoir une relation longue avec elle.
Pour ce qui est d’une partie de jambes en l’air, un homme ne dira (quasiment) jamais non.
oui les articles de DIANE sont toujours excellents. seulement je me demande combien de ces personnes enthousiastes qui s’empressent de crier leurs approbation pourraient assumer d’épouser une femme qui s’est tapé la moitié du village.
Les articles de Diane sont TOUS excellents.
Comme l’a fait remarquer un auteur de commentaire, Diane me fait également penser à un équivalent de Stéphane féminin.
Merci pour ces quelques minutes de réalisme !
Salut Diane,
c’est un article de très grande qualité!
Ton point de vue est intéressant, merci de nous l’avoir fait partager.
Michael
Salut Diane, merci pour ton avis qui a le mérite de relativiser les choses.
Passant a dit: « Je ne pense pas que les hommes à notre époque puissent reprocher à une femme d’avoir eu des relations sexuelles ou « trop » de relations, surtout qu’ils ne se gênent pas pour ca. »
Il en existe. Moi par exemple. Je pense qu’aucun homme vraiment masculin ne peut accepter si facilement que sa femme ait (eu) de nombreux partenaires autres que lui. L’idée me refroidit et diminue l’estime que j’ai pour une femme, quelque intéressante qu’elle puisse se révéler en dehors.
Un article article qui fait mouche, je me situais (où me situe encore un peu…) dans cette façon de pensée.
Je m’en rends compte vraiment qu’une séductrice (au sens « noble » du terme, sans tomber dans l’archétype du vagin béant qui a constamment besoin d’être colmaté) est plus fiable du fait qu’elle n’est pas frustrée, contrairement à la pseudo-prude… Je le vois avec le temps. Encore une fois tout est dans l’équilibre.
Finalement, le plus triste c’est de faire le deuil de cet idéal parfait de la sainte, mais je n’en suis pas un alors autant grandir un peu…
Excellent article ! Excellent sujet ! Diane tu es une femme et tu as compris comment les hommes pensent !
Comme tu le dis, même un playboy finira par se caser avec une fille prude, pensant ainsi qu’il est à l’abri.
Comme toi je pense que c’est une erreur fondamentale et moi aussi je pense qu’il est bien moins risqué de vivre avec quelqu’un qui a une » échelle comparative ».
Encore félicitations pour ton article :-)
Juste dans l’ensemble : mais si l’on s’en tient à un point de vue purement sexuel : une femme qui aura vu défiler des amants à sa porte sera beaucoup plus « large » et donc beaucoup moins à même de donner du plaisir qu’une « jeune vierge effarouchée » aux mœurs somme toute relativement modérées.
Salut Diane, merci pour cet excellent article qui m’a offert plusieurs recadrages dans mon système de croyances. Pour avoir croisé à de nombreuses reprises des filles de la catégorie « putes », elles ont souvent une personnalité bien marquée et sont, à mes yeux, bien plus intéressantes que les petites prudes. En revanche, là où c’est problématique selon moi, c’est pas les antécédents mais la facilité et la rapidité avec laquelle tu les mets dans ton lit… ça enlève immédiatement tout challenge et ça crée une perte d’intérêt.
@Jaray +1 .
j’ai eu la même réflexion (en gros). l’article décrit tout simplement une fausse poufiasse et une fausse sainte. Je ne pense pas que les hommes à notre époque puissent reprocher à une femme d’avoir eu des relations sexuelles ou « trop » de relations, surtout qu’ils ne se gênent pas pour ca.
Une poufiasse pour moi c’est une femme qui a 4 copains en même temps, qui manipule chacun pour avoir ce qu’elle veut (sorties gratuites, invitations..), enfin gratuites c’est relatif puisqu’elle paye de sa personne. si elle aime le sexe elle aime tout autant le pouvoir qu’il donne! ce genre de femmes n’apporte rien, on ne peut rien construire avec, pour moi c’est l’antithèse de la vie.
La vrai sainte, est une femme capable d’aimer vraiment et de se consacrer à un seul homme parce qu’elle aura trouvé en lui sa moitié. Elle peut être timide, extraverti, carriériste ou plutôt famille, l’un n’empêche pas l’autre ! elle ne correspond pas à l’image de Loose que l’article veut nous faire croire. c’est juste qu’elle a des valeurs morales qui la guident dans sa vie.
J’ai vécu cela ! Une sainte pas vraiment saine au final
Après une petite introduction de dix lignes un peu hachée, cet article m’a littéralement transporté.
Good good et encore good…
Bonjour Diane,
juste une observation (d’homme) personnelle :
– ton image de la séductrice ressemble plus a une « independante women » comme j’en cotoie tout le jours.
– ta sainte, ressemble a une personne ayant une faible estime d’elle même.
au niveau du nombre de partenaire :
je dirais que les personne ayant une faible estime d’elle même, si elle sont mignone (et souvent manipulatrice) peuvent battre un record en partenaire , par le simple fait qu’elle se font systematiquement larguer, causer entre autre par leur dependance affective.
du coup lorsqu’on annonce un nombre de partenaire, l’image de la fille systematiquement largué vient en premier a l’esprit (femme qui a quelquechose a se reprocher),
bien avant l’image de la la fille independante, qui a choisi un mode de vie.
…
je te laisse méditer la dessus.
PS: p****** encore un lien vers un séminaire, vous pouvez vraiment pas vous en empecher ici !
Du caviar de pertinence !
Bravo et merci à Diane.
A la fois juste et tranchant, cet article parvient à relativiser (même à révolutionner dans un sens) certains clichés culturels tout en maniant des concepts très simples, ces choses que nous avons constamment sous les yeux mais que nous ne voulons pas voir. Comme l’a justement fait remarquer Neike, c’est une vraie claque de lucidité, donnée avec une clarté des plus limpides.
Bravo pour cet article, une vraie claque comme Stéphane sait en donner. A mon avis, le meilleur article de Diane, à mettre absolument dans le Best of!